Nouvelles

Alors qu’il se développe à une vitesse effrénée dans les pays occidentaux, notamment aux Etats-Unis et au Canada, le système numérique est au stade des premiers balbutiements dans les pays sous-développés, particulièrement en Afrique, où le développement économique de la quasi-totalité des pays est encore dans les langes. Dans ce domaine névralgique, la fracture entre les pays du Nord et ceux du Sud est immense. En Algérie, quoique timidement, le développement des technologies de l’information et de la communication reprend avec, notamment, l’opération Ousratic, grâce à laquelle 6 millions d’Algériens ont pu acquérir un PC. Mais cela n’a pas évité à l’Algérie, 10e au niveau africain, d’occuper la dernière place derrière le Maroc et la Tunisie. En effet, notre pays, qui compte selon les dernières estimations 2 millions d’internautes, dont 200 000 foyers abonnés à l’ADSL, occupe la dernière place derrière la Maroc, avec 6 millions d’internautes, dont 460 000 abonnés à l’ADSL et la Tunisie, avec 3 million d’internautes. C’est ce qu’a indiqué le Pr Mentalechta lors d’une conférence animée, hier, à la salle des conférences de la Safex. Le conférencier affirmera, d’emblée, que la fracture numérique n’est pas un fait du hasard, mais la conséquence du fossé économique qui sépare les pays du Nord et ceux du Sud. L’utilisation du numérique, selon le même orateur, ne profite pas aux pays sous-développés, puisqu’il a été constaté un faible recours au numérique. Pour étayer ses propos, le conférencier, par ailleurs expert international auprès de l’Unesco, affirmera que sur un milliard d’internautes de par le monde, plus de la moitié, soit 55%, sont soit du Canada soit des Etats-Unis, alors qu’en Afrique, qui représente 10% de la population mondiale, le taux d’internautes ne dépasse pas 1%, et si l’on supprime les pays du nord de ce continent et l’Afrique du Sud, le taux sera réduit à 0,4%. D’où l’appel lancé par les participants au dernier salon mondial des technologies de l’information et de la communication pour une aide de la communauté internationale aux pays sous-développés. Le Pr Mentalechta a sérié les causes à l’origine desquelles sont survenues les fractures numériques. Il a cité, entre autres, l’insuffisance des infrastructures, l’analphabétisme, les coûts exorbitants ainsi que l’âge et le sexe. Sur ce dernier point, il dira que les femmes sont les moins informées que les hommes. Et pour réduire un tant soit peu les fractures numériques, la même voie a proposé un certain nombre de solutions. Il s’agit de recenser, autant que faire se peut, les raisons et les origines de ces fractures, pour réaliser les infrastructures nécessaires, mettre une culture d’apprentissage des technologies de l’information et de la communication et des contenus, réduire les coûts et, surtout, mettre en place une politique de promotion. Il est à signaler qu’une série de conférences traitant de l’analphabétisme numérique a été animée durant la journée d’hier.
Source : Horizons (18/10/2007).

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Dans ce cadre, 12 000 sites Intranet interconnectant différentes institutions de l’Etat pour l’échange électronique sécurisé de données et de documents sont déjà opérationnels. L’annonce a été faite, hier, par Boudjemaâ Haichour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, en marge du 11e salon Hi-Tech 2007 organisé au palais des Expositions.
Les spécialistes de la question se sont souvent interrogés sur l’aboutissement de ce grand projet numérique, initié, rappelle-t-on, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de la e-commission depuis 2004.
Ce système permettra, explique le ministre, de développer les services publics, de moderniser les administrations et les entreprises. Il ne se limite pas seulement, selon lui, à l’introduction des outils informatiques dans les institutions mais aussi à l’amélioration de la gestion interne et des relations avec le citoyen. Ce portail gouvernemental, devant raccorder tous les portails ministériels, sera, de ce fait, à l’usage des citoyens et des entreprises. Il vise, d’après M. Haichour, à l’élimination totale du papier, de façon à mettre fin aux tracasseries bureaucratiques.
Après avoir procédé à l’inauguration de la conférence initiée par le World Trade Center dont le thème a été « l’analphabétisme numérique », le ministre s’est déplacé ensuite au pavillon G où s’est déroulé le salon Hi-Tech 2007. 25 exposants, où Djezzy, Algérie Télécom, Mobilis, Sitel, Sororcom sont présents en vue d’afficher les grandes nouveautés du monde numérique en Algérie.
« Le secteur de la télécommunication est en train d’aller graduellement vers la maîtrise des technologies de l’information et de la communication pour combler à jamais le fossé de l’illettrisme numérique existant entre les pays avancés et ceux en voie de développement », estime le ministre.
Des textes sont en préparation sur la cybercriminalité
M. Haichour indiquera, sur un autre registre, que des textes législatifs sont en préparation en collaboration avec le ministère de la Justice sur la cybercriminalité. Cette démarche s’inscrivant dans le cadre de la cyberlégislation vise, selon lui, à maîtriser au mieux les réseaux et les sites générant des situations de violence. S’agissant de l’opération Ousratic (un PC pour chaque famille), le ministre a déclaré qu’un grand travail est train de se faire à l’échelle nationale en vue de booster ce projet. Tout en se déclarant conscient que le développement économique et local est tributaire du développement des infrastructures numériques, le ministre fera savoir, par ailleurs, que 1600 localités vont bénéficier de réseaux de télécommunication.                    &n bsp;                        &n bsp;                        &n bsp;                        &n bsp;   Source : Horizons (18/10/2007).

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‘Boune’ Questionn Les nouvelles technologies de l'information et de la communication peuvent-elles participer utilement aux changements pédagogiques dont l'université algérienne a tant besoin aujourd'hui?Dans quelles conditions les technologies de l’information peuvent effectivement faciliter l’apprentissage ? Est-ce les produits informatiques conçus et les activités pédagogiques proposées sont-ils vraiment efficaces pour l’acquisition de connaissances? Ces produits vérifient-ils un certain seuil de qualité psycho-ergonomique, ces activités pédagogiques sont-elles en adéquation aux besoins des apprenants?Que faut-il mettre dans l’ordinateur et  comment s’en servir pour obtenir de bons résultats pédagogiques? A défaut des études théoriques et expérimentales quels sont les principes méthodologiques permettant de construire une expertise nécessaire à une véritable ingénierie des médias éducatifs?Faut-il  faire la recherche sur la technologie ou plutôt sur l’apprenant, ses capacités cognitives et ses besoins éducatifs? Comment identifier pour chaque objet d’enseignement ce qui fait obstacle aux apprentissages, en particulier chez les apprenants les plus faibles? Une réflexion sur la psychologie de la compréhension, qui nous guide à déterminer les bons choix de conception et des usages, est-elle nécessaire?Les technologies de l’information soigneusement adaptées aux besoins des apprenants compte tenu des objectifs pédagogiques sont-elles porteuses de nouvelles opportunités d’apprentissages?Le corps enseignant est-il appelé à être impliqué dans la conception des technologies éducatives? N’appartient-il pas aux enseignants de décider quand et sous quelle forme la technologie peut contribuer utilement à la pédagogie?L’université algérienne n’a-t-elle pas besoin de mettre en place de véritables opérations de recherche afin d’évaluer scientifiquement l’impact de ces technologies sur les apprentissages? L’université ne devrait-elle pas procéder à des expériences et des méthodes d’observations  pourront donner naissance à une ingénierie  capable de concevoir des instruments de qualité et de les utiliser pour le plus grand profit des étudiants? Devrait-on se contenter  des sites Web publicitaires ? 

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SAHA AIDKOUM - par AbdelmalekAMINE
A l’occasion de la fête de Aïd el-Fitr, je souhaite une heureuse et joyeuse fête à tous les musulmans d’Algérie, de France et de toute la planète.Saha aidkoum wa koulou aam wa antoum bi alf kheir. 

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Aid El Fitr - par chellama
A l'occasion de l'Aid el fitr je vous presente mes meilleurs voeux

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Voeux Chaleureux - par ZIDAT
Chers Abonnés musulmans de Avunet , mes vœux chaleureux pour notre Aid et je demande au Dieu de paix et de miséricorde de vous donner à tous une bonne santé, la sérénité et la prospérité. Takabala Allah Mina wa Minkoum.  Amine.

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Une plate-forme expérimentale de type moodle  sur le site http://avunet.free.fr  est maintenant opérationnele.

Par ce message, je lance un message aux enseignants pour l'expériementer et surtout a proposer des cours en ligne pour les étudiants

Vous pouvez aussi dire a vos collègues de faire pareil.

On pourra utiliser le site comme plate-forme de telechargement de vos publications disponibles sur le web.

Je compte à nouveau sur vous pour l'animation du site http://avunet.info.free.fr

Saha Aidkoum a vous et vos familles et je compte sur vous.

Mahieddine DJOUDI

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Fonctions attribuées aux TIC en enseignement universitaire k La vision des TIC en tant que simples véhicules d’information serait encore assez répandue chez la majorité des enseignants universitaires algériens. Ils perçoivent à tort les TIC essentiellement, voire exclusivement, comme des moyens de présenter l’information selon des modalités originales par rapport aux « anciens » médias d’apprentissage. Les usages les plus fréquents des TIC concernent l’usage du traitement de texte, de publication assistée par ordinateur et du PowerPoint pour construire du matériel de cours.De ce fait,  ils limitent le potentiel de changement pédagogique que peut favoriser l’usage des TIC en éducation.Les TIC permettent  aux étudiants et aux enseignants  non seulement de présenter et de prendre connaissance d’informations prenant divers formats médiatiques, mais également d’en rechercher, d’en produire, d’en communiquer, d’en analyser et d’en transformer. En ce sens, elles nous invitent à élargir la définition même du « média d’apprentissage ». Celui-ci peut avoir une fonction non seulement de véhicule de messages éducatifs mais également de systèmes symboliques, d’outil cognitif et d’outil de médiation entre des personnes, des objets et des idées. Les TIC appelle à un élargissement de la définition des médias en tant qu’extensions des capacités humaines. Certains auteurs croient qu’elles constituent, de fait, de véritables partenaires intellectuels.  On peut dès lors parler d’une « cognition distribuée » : l’apprenant collabore activement avec le média pour construire le savoir. L’apprentissage avec un média devient une sorte de travail conjoint : les représentations sont construites et les procédures exécutées parfois par l’apprenant, parfois par le média. Norman (1991) utilise l’expression artefact cognitif pour désigner ces dispositifs informatiques qui non seulement transforment les capacités de l’individu mais changent qualitativement la nature de la tâche que la personne accomplit, ainsi que les habiletés humaines.L’usage des TIC en tant que véhicules de messages pédagogiques pourrait expliquer, en bonne partie, la crainte qu’éprouvent certains de voir l’enseignant, considéré ici comme le principal, sinon l’unique, transmetteur de connaissances, remplacé par les TIC au sein de l’acte pédagogique. Il y a encore beaucoup à faire avant que les TIC deviennent pour les enseignants d’université, non pas des remplaçants, mais de véritables « partenaires pédagogiques ». Pour ce faire, ces derniers devront élargir leur vision des TIC en tant qu’outils cognitifs et de médiation de l’acte pédagogique. Ils devront apprendre à exploiter, de la manière la plus appropriée aux objectifs d’apprentissage visés, les fonctions diversifiées qu’elles peuvent assumer au sein de l’acte d’enseignement et d’apprentissage. Les besoins de formation des enseignants en ce domaine semblent pressants.k

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La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie - par Behaz
La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie devrait voir plus d’un million d’étudiants rejoindre les bancs des universités algériennes.
Avec plus d’un million d’étudiants inscrits, cette rentrée s’annonce difficile et compliquée tant un malaise diffus règne au sein du corps des enseignants, déçus autant par la nouvelle grille salariale « défavorable et discriminatoire » que par la manière avec laquelle celle-ci a été élaborée. L’ouverture officielle de l’année universitaire 2007-2008 en Algérie aura lieu après le mois du Ramadhan, lorsque les établissements universitaires à travers le pays auront achevé les préparatifs que nécessite la rentrée pour l’accueil des étudiants. Après avoir achevé les examens de rattrapage, la plupart des établissements universitaires ont annoncé la nouvelle rentrée conformément à ce qui a été décidé par le ministère de tutelle, a indiqué, hier, à l’APS le conseiller chargé de l’information au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Ben Hamouda. Les établissements universitaires accueilleront 1.052.000 étudiants, tous cycles confondus (graduation, post-graduation et université de la formation continue « UFC »), dont 270.285 nouveaux étudiants.

Volet infrastructures, le secteur a réceptionné 72.290 nouvelles places, 5 salles de conférences ainsi que 24 bibliothèques universitaires, fait savoir le même responsable. La capacité d’accueil du secteur s’élève, cette année, à 996.036 places. En matière d’oeuvres universitaires, le secteur a réceptionné 55.500 nouveaux lits et 28 restaurants dont 5 restaurants centraux. La capacité globale d’hébergement a atteint le nombre de 390.150 lits en Algérie. A propos de la préparation pédagogique, les formations du nouveau système ont été élargies à 278 points de formation pour le cycle licence couvrant 13 domaines de formation au niveau de 40 établissements universitaires. Dans le cadre de la réforme globale du système de l’enseignement supérieur entamé il y a 3 ans, il est prévu à cette rentrée universitaire d’entamer la formation en cycle master pour tous les licenciés de la première promotion du système Licence-Master-Doctorat (LMD). Il est programmé, à cet effet, l’ouverture de 184 masters au niveau de 10 établissements universitaires outre les préparatifs concernant l’ouverture de classes préparatoires aux écoles nationales supérieures.

D’après le Quotidien d’Oran

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La qualité dans nos universités d

La qualité peut être définie comme étant l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit, d’un service ou d’une entité, qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les besoins et exigences exprimés et/ou implicites des clients et autres parties intéressées. Dans l’acceptation large de la définition de client, ce n’est pas seulement celui ou celle qui achète un service et qui l’utilise directement qui est concerné.
Toute personne ou entité constituée qui a des attentes directes ou indirectes envers un organisme de service peut être considéré comme un client. Depuis plusieurs années, l'Université algérienne est critiquée de toute part en raison de la baisse de la qualité de la formation qu'elle dispense. Le mécontentement quant à son efficacité est déclaré par les pouvoirs publics, les employeurs et les diplômés en exercice. Actuellement cette insatisfaction gagne largement l'opinion publique. La réforme de l’Université algérienne est de nouveau à l’ordre du jour.
En effet, beaucoup se demandent si l’enseignement supérieur ne serait pas un monde à part dans lequel les modèles de gestion en général, et plus particulièrement les principes de la qualité ne seraient pas applicables, du moins tels qu’ils sont employés dans le milieu industriel. Dans l’environnement actuel, la qualité de l’enseignement dans nos universités algériennes est presque entièrement garantie par les compétences des enseignants. En effet, les étudiants  ne sont pas exigeants, ils sont des consommateurs passifs car ils se contentent de subir leur enseignement.
La dégradation des conditions pédagogiques et de l’exercice du métier d’enseignant : amphis et salles de TD surchargés, faiblesse des moyens matériels, suppression des TP, des mémoires de fin d’études et des stages de terrain, vont faire perdre l’équivalence aux diplômes universitaires algériens avec les diplômes européens et américains.
Les compétences des enseignants ne constituent donc plus une garantie suffisante de qualité. Si nous considérons que l’enseignement supérieur propose un service comme les autres, il va donc utiliser des normes et des certifications comme dans les autres secteurs. Il y a les normes internationales de la série ISO 9000. En ce qui concerne l’ISO, elle existe depuis 1946. Elle est une organisation non gouvernementale, mais occupe néanmoins une position privilégiée entre les secteurs privés et publics.
La norme ISO 9001, la plus souvent demandée par le secteur éducatif, concerne le management de la qualité, et plus particulièrement la satisfaction du client. Cette norme internationale spécifie « les exigences à utiliser pour évaluer l’aptitude de l’établissement à répondre aux exigences des clients et aux exigences réglementaires applicables pour traiter de la satisfaction des clients.

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La visite du président de Microsoft en Algérie a été l’occasion pour Steve Ballmer de réaffirmer les ambitions du géant informatique dans le marché algérien.

Les perspectives d’associer Microsoft Corporation à la mise en oeuvre de programmes de transfert technologique et de pôles d’innovation en Algérie ont été soulevées jeudi lors d’un entretien entre le P-DG de cette firme, Steve Ballmer, et le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour. La participation aux activités du cyberparc de Sidi Abdellah, le renforcement du rôle de Microsoft dans l’opération "Ousratic" et l’expertise que pourrait apporter cette compagnie dans les systèmes de paiement de masse de la poste ont été également examinés.

Le président-directeur général de Microsoft, Steve Ballmer, a affirmé mercredi, à Alger, que son entreprise était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. "J’ai dit au président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie", a déclaré M. Ballmer à la presse, à l’issue d’une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le président Bouteflika "pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft", a-t-il souligné.

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Le groupe Algérie Télécom prévoit la construction d’un méga espace Internet à Béjaia en partenariat avec la wilaya.

L’entreprise Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa se sont entendues pour réaliser en commun un méga-espace Internet de 200 postes.

Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa restent, cependant, partagées sur les moyens à mettre en oeuvre pour réaliser le projet, la wilaya ayant opté pour la construction d’une structure neuve, alors que les responsables d’Algérie Télécom optent pour un local qui soit aménageable à cet effet.

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Le prix de l’accès à Internet en Algérie sera revu à la baisse pour permettre aux algériens de profiter de ses avantages.

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaa Haichour, a annoncé, samedi à Béjaïa, la volonté de son département de procéder, dans les mois à venir, à la baisse des prix d’accès à l’Internet en Algérie et de donner la possibilité au plus grand nombre de pouvoir disposer de cet instrument moderne de communication. "Nous allons casser les prix et démocratiser l’Internet en Algérie en permettant à chaque foyer d’y accéder", a affirmé le ministre en marge d’une visite de travail qu’il effectue dans la wilaya de Béjaïa.

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A l’occasion de sa visite en Algérie, le président de Microsoft Steve Ballmer a été accueilli par le président Abdelaziz Bouteflika.

A l’issue de l’audience que lui a accordée le chef de l’Etat, M. Steve Ballmer a affirmé que Microsoft était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. « J’ai dit au Président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie », a déclaré M. Ballmer. Le président Bouteflika « pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft », a-t-il souligné.

Le PDG de Microsoft a par ailleurs qualifié son entrevue avec le président Bouteflika de « fascinante et intéressante ». Le président Bouteflika « a réalisé des choses remarquables et est en train de réfléchir sur le développement de l’économie et de la société (algériennes). Nous avons eu une conversation passionnante et je suis extrêmement heureux et enthousiaste d’être en Algérie », a-t-il dit. Le PDG de Microsoft a été par la suite reçu par le ministre de l’Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, au siège de son département. L’entretien a porté sur les possibilités de partenariat et d’appui aux réformes du système éducatif entre le ministère de l’Education nationale et la campagne Microsoft visant à développer les technologies de l’information et de la communication en milieu éducatif algérien.

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Bill Gates bientôt en Algérie - par Behaz
Haichour l’a annonce a Blida Le P-DG de Microsoft sera très prochainement en Algérie. C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication , Boudjemaâ Haïchour qui a consacré sa journée de samedi dernier à une visite de travail à travers plusieurs communes de la wilaya de Blida. Le n° 1 du géant de l’ informatique se rendra à Alger dans le cadre d’une tournée maghrébine , qui débutera par le Maroc , pays où est implanté la direction régionale Afrique du Nord de cette firme. Pour rappel, Bill Gates, on ne peut plus connu de la population ne serait-ce que de la part des étudiants en informatique dont il serait l’idole , a déjà eu à s’adresser aux Algériens à l’ occasion du lancement du Windows XP en Algérie. Un message vidéo sur écran grand format avait été alors diffusé en plein jour sur le fronton de l’ immeuble abritant la Grande-Poste à Alger- Centre . Cette visite, lors de laquelle il ne manquera pas d’être reçu par les plus hauts responsables algériens, devra être surtout une opportunité à ne pas manquer par l’ensemble de la communauté des nouvelles technologies.

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LA PROBLÉMATIQUE DE L'EAD À L’UNIVERSITÉ ALGERIENNE Par ZIDAT samir L’Enseignement universitaire traditionnel est centré sur  un cours magistral associé à des travaux dirigés et pratiques, le « tableau noir », le support « papier », plus rarement la projection d’images (transparents, vidéoprojection). Les étudiants sont passifs, souvent intellectuellement absents du fait des conditions difficiles imposées par le surnombre.L’absentéisme est important. Pour la société un taux de réussite « réelle » (par rapport aux étudiants inscrits) est inacceptable et un rendement financier excessif. La puissance de l’Enseignement Supérieur à Distance est due à la conjonction de divers facteurs : personnalisation, interactivité, possibilité de bénéficier des meilleurs pédagogues, possibilité de s'inscrire à des formations pointues ou peu répandues, taux de réussite supérieur à celui de l'enseignement présentiel, solution au problème du surnombre, délocalisation du savoir... Dans l’Enseignement Supérieur à Distance, le système traditionnel peut être partiellement conservé à condition que cet « enseignement présentiel » soit rendu plus interactif.Une très grande partie de cet enseignement est sous une forme asynchrone par une utilisation de supports Multimédias. Enfin, le contenu de cet enseignement est découpé en Modules et le Tutorat joue un rôle essentiel.Dans ce contexte, les Technologies de l’Information (numérisation, traitement, conservation et communication de l’information) sont étroitement associées au dispositif de transfert des connaissances (Internet/intranet) dans lequel l’apprenant est plus actif. Conçu pour s’adapter aux contraintes de l’étudiant, il s’agit d’un enseignement personnalisé sur mesure. Malheureusement l’absence de l’adéquation des activités d’enseignant impliqué dans un projet de formation à distance avec son statut «  en cours ou à venir » pose un certain nombre de  problèmes et empêche de concrétiser un réel développement de formation à distance dans nos universités algériennes: Comptabilisation des heures de préparation de cours médiatisés, équivalence de diplômes délivrés, des  problèmes financiers… Le problème fondamental est pédagogique : D’abord au niveau de l'information, de la sensibilisation, de l'initiation, voire de la formation des enseignants  à la problématique générale de l'EAD, aux stratégies possibles, à la conception de produits multimédias, à l'organisation, l'administration et au suivi d'un projet EAD. Ensuite au niveau du contenu de chaque projet d'EAD, la répartition présentiel/autoformation, choix des technologies de communication utilisées, conception de produits pédagogiques (cours/exercices traditionnels/interactifs) et choix des supports, tutorat, correction des exercices, suivi, auto-évaluation, contrôle continu, examens...

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Concours d'accés à l’école doctorale d’Informatique 2007/2008 eL’Université El Hadj Lakhdar-BATNA, organise un concours d’entrée à l’école doctorale nationale en sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC) pour l’année universitaire 2007/2008.
  1. Conditions d’accès :

    Etre titulaire du diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou d’un diplôme reconnu équivalent).

    Options, Epreuves et Nombre de postes :


    Ingénierie des Systèmes Informatiques (ISI) :  Dix (10) Postes.

    Systèmes d’Exploitation & Réseaux :  Durée de l’épreuve : Trois (03) Heures ; Coefficient : Cinq (05).
Théorie des Langages & Compilation
  1. Durée de l’épreuve : Deux (02) Heures ; Coefficient : Trois (03).
Culture Générale : 
  1. Durée de l’épreuve : Une (01) Heure ; Coefficient : Un (01).

Dates et Lieu du Concours :

  1. Le 23 et 24 octobre 2007. Le concours aura lieu au Département d’Informatique.

Constitution du Dossier :

  1. Demande manuscrite (joindre le numéro de téléphone) ; Un Acte de Naissance ; Copies conformes légalisées du Baccalauréat et du Diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou diplôme équivalent) ; Un Enveloppe timbrée libellée à l’adresse du candidat (15 x 22cm) ; Une Photo d’identité.
Important !!!
  1. Les dossiers doivent être déposés au niveau du département d’informatique avant le 20 octobre 2007 ;   Tout dossier incomplet ou non conforme, ne sera pas pris en considération ;

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14 000 nouveaux inscrits attendus à Sétif

Le campus de l’université Ferhat Abbès, avec ses différents pôles, s’apprête, dans les prochains jours, à accueillir une importante masse d’étudiants, estimée à plus de 50 000 universitaires, dont 14 000 nouveaux inscrits.

Ce gigantesque flux d’étudiants ne sera, qu’on le veuille ou non, pas facile à gérér, sachant que de nombreuses filières affichent, en matière d’encadrement, des déficits d’autant que le déséquilibre entre inscrits et sortants, au nombre de 5 600, est significatif et exempt donc de tout commentaire. La gestion et la répartition des structures pédagogiques et administratives ne seront, en outre, pas un jeu d’enfant. Les efforts de recrutement, sous diverses formules, n’atténueront que partiellement les manques qui se répercutent inévitablement sur la qualité de l’enseignement dispensé. Certaines filières des sciences sociales sont les plus touchées par ce problème. Les sciences médicales ne sont pas mieux loties. Cette année universitaire sera marquée par la sortie de la première promotion de licenciés en communication (journalistes). La corporation sera prochainement renforcée par du sang neuf qui va, sans nul doute, impulser une nouvelle dynamique à la confrérie. Ayant souffert, des années durant, des mauvaises conditions, les étudiants de la faculté de médecine, qui ont déjà entamé les cours, vont bénéficier de nouvelles structures d’une capacité de 4 000 places pédagogiques situées non loin des futurs centres anticancéreux et de la gériatrie, en réalisation sur le plateau d’El Bez où est implanté le deuxième pôle en pleine expansion, parallèlement au troisième en chantier, à la sortie nord-est de Sétif. Ce nouveau campus comprendra, une fois achevé, sept résidences universitaires avec 14 000 lits, ainsi que des infrastructures pédagogiques de plus de 14 000 places. En attendant ces nouvelles acquisitions, l’université de Sétif, fonctionnant avec 1 145 enseignants, dont 82 professeurs et 148 maîtres de conférences, devra faire face aux déficits de l’hébergement et de la restauration de cette masse, sachant que les capacités d’accueil, qui ont été ces dernières années pourtant renforcées par des milliers de lits et de nombreux restos, auront des difficultés à répondre à une forte demande. La réception prochaine de deux résidences de 4 000lits va, quelque peu, atténuer la tension, sans pour autant régler définitivement le problème. Et pour rapprocher les étudiants résidents des espaces d’enseignement, l’on parle d’une nouvelle organisation qui devra, nous dit-on, aider l’étudiant qui n’a pas manqué, la saison écoulée, de soulever le problème du transport qui demeure l’autre casse-tête des universitaires, obligés de composer avec les dérapages de certains transporteurs qui faisaient, selon de nombreux étudiants, la loi. Ces volets, qui auront des incidences sur le cursus des 50 000 étudiants de la 5e université du pays, seront-ils sérieusement pris en charge, vu que la politique des palliatifs a montré ses limites ?

K. B. EL Watan Edition du 3 octobre 2007

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L’émission hebdomadaire «Portes sur la science», diffusée hier sur les ondes de la chaîne 2 de la radio nationale a été consacrée aux technologies de l’informatique et plus particulièrement au niveau d’intégration d’Internet au sein de la société algérienne.

Ont été conviés au débat plusieurs spécialistes dont le président de l’association algérienne des opérateurs d’accès à Internet.

Ce dernier précise que l’opportunité de la présence du leader américain de l’informatique en Algérie, au même titre que tous les autres pays de l’hémisphère sud, afin de mieux vulgariser l’usage informatique, notamment dans des domaines stratégiques comme l’Education, doit constituer une base de décollage pour un secteur qui accuse un réel retard. L’intervenant dira que si, initialement, l’accès à Internet a été conçu par rapport à des besoins de recherche et de facilitation de la vie quotidienne, en Algérie on est encore au stade d’un moyen de divertissement.

Dans la foulée, le président de l’association abordera le programme «Ousratic» qui tarde à prendre forme en raison de l’absence d’une stratégie globale en matière de développement d’Internet. L’invité de la Chaîne 2 dira que ce dernier nécessite 3 conditions à savoir: un micro, un accès fiable et rapide et enfin un contenu prédéfini. Sur ce point, il dira qu’au Mexique, l’Etat a offert un micro et un accès gratuit à Internet à tous les enseignants. Cela a permis à ces derniers d’améliorer le contenu des cours et le niveau de l’enseignement

L’intervenant abordera l’accessibilité à Internet pour affirmer qu’elle demeure plus chère qu’en France où un micro ne représente qu’1/10 du SMIG, alors qu’en Algérie c’est 3 fois le SNMG. La solution réside dans des actions courageuses pour stimuler l’usage, tout en contrôlant le contenu et en incitant toutes les entreprises et les institutions à créer leurs propres sites web. Cela reste du domaine du possible d’autant que les pouvoirs publics ont affiché une réelle volonté dans le domaine comme l’atteste l’objectif dévoilé par le président de la République à savoir qu’en 2010, 6 millions de familles auront accès à Internet. S’agissant d’ADSL, l’invité de l’émission dira que cette formule est loin d’atteindre l’objectif fixé en septembre 2003 à savoir 3 millions d’abonnés dans la mesure où 4 ans après, seuls 200.000 abonnés ont été inscrits. Pour l’intervenant, la solution n’est pas uniquement de réduire les prix, mais de faire d’Internet, un moyen incontournable dans la quotidienneté de chaque citoyen.

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Microsoft contraint de prolonger la durée de vie de Windows XP
L'éditeur annonce que les constructeurs de PC pourront commercialiser Windows XP cinq mois de plus, à la demande de ses clients. En cause, l'adoption plus lente que prévue de Vista.


Karine Solovieff , 01net., le 28/09/2007 à 18h55

Windows XP va devoir jouer les prolongations pendant cinq mois. Microsoft vient en effet d'annoncer que les fabricants d'ordinateurs pourront commercialiser le système d'exploitation avec des PC neufs jusqu'au 30 juin 2008, au lieu du 30 janvier. A cette date, XP fêtera presque ses sept ans. Un record de longévité pour un système d'exploitation Microsoft, et qui n'est pas forcément bon signe pour l'adoption de Windows Vista.

L'éditeur fournit une explication simple qui ne manque pas d'aplomb à cette décision : « Bien que Windows Vista soit le système d'exploitation qui se vend plus rapidement que tous ses prédécesseurs, certains de nos clients ne sont pas prêts et préfèrent garder XP. » Microsoft avait déjà surpris ses utilisateurs en confirmant cet été, la sortie en 2008 d'un service pack 3 pour son ancien Windows.

Selon le cycle de vie des produits de l'éditeur, un système d'exploitation reste disponible deux ans après la sortie d'une nouvelle version. Pour Windows Vista, Microsoft s'est montré plus optimiste. A tort. « Je pense que nous avons été un brin trop ambitieux de penser que nous pourrions retirer Windows XP du marché seulement un an après l'arrivée de Vista », déclare dans un communiqué Didier Burdinat, directeur de la division Windows de Microsoft France. Les pays émergents, eux, auront même droit à Windows XP jusqu'au 30 juin 2010, avec la version XP Starter Edition, qui leur est réservée.

Troquer Vista contre XP

En réalité, Microsoft ne fait qu'étendre une offre qu'il avait très discrètement mise en place à la demande des grands constructeurs comme Lenovo, Fujistu-Siemens et Dell entre autres. Depuis plusieurs mois, ces derniers peuvent proposer à leurs clients un programme spécifique de retour à Windows XP. Baptisé Windows Vista Downgrade, il s'adresse principalement aux entreprises ayant des machines livrées avec Windows Vista Business et qui rencontrent des problèmes de compatibilité avec leur parc d'applications existantes. Dans l'esprit de Microsoft, ce retour n'est que temporaire, le temps que les éditeurs sortent des versions compatibles avec Vista.

« En contactant simplement leur service après-vente, ils obtiennent gratuitement une copie de Windows XP Professional ou Tablet PC, confirme une porte-parole de Lenovo. Il s'agit bien d'une version complète, fournie avec tous les pilotes et accessoires nécessaires. » Le programme est également valable pour les possesseurs de Windows Vista Intégral, une édition spéciale qui devait être fournie avec une panoplie d'accessoires supplémentaires, qui tardent à venir. Le grand public, lui, n'a pas cette chance. En dehors de Dell, qui propose encore quelques machines équipées de Windows XP (et depuis peu sous Linux), tous les constructeurs ont adopté Vista. Sans aucune possibilité de retour vers son aîné.

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