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Un salon des NTIC en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 21/10/2007 13:51
Pour promouvoir le secteur des NTIC en Algérie, le Salon international Hi-Tec 2007 a réuni les professionnels du secteur du 17 au 20 octobre à Alger.Organisé par le World Trade Center Algeria (WTC Alger) en partenariat avec la SAFEX au palais des expositions, l’édition 2007 du salon a était dédié aux nouvelles technologies en Algérie. Regroupant une vingtaine d’exposants, citant Djezzy, Mobilis, CBSxerox, et Divona Algérie, BEA, panasonic, etc.., et environ 3000 visiteurs, le Hi-Tec s’est affirmé auprès des Participants professionnels et des visiteurs comme le rendez-vous incontournable des nouvelles technologies ainsi que leurs applications. Le Salon international Hi-Tec 2007 a eu pour objectif cette année, de favoriser la diffusion et l’utilisation des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) en Algérie en soutenant les initiatives prises à cet effet, tant au niveau local qu’international.L’innovation de ce salon, c’est la création de l’allée de la découverte, qui est un coin consacré a montré l’évolution de chacun du train et du téléphone au cours des années. L’organisation de la nouvelle édition du salon Hi-Tec est destinée exclusivement aux nouvelles technologies ainsi que leur développement et application. En effet, l’Algérie dont l’économie aujourd’hui s’ouvre de plus en plus, offre des opportunités non négligeables notamment en matière d’absorption des nouvelles technologies, que ce soit dans les télécommunication, l’énergie, la sécurité, ou le médical etc. En cela le Hi-Tec se veut un partenaire des entreprises modernes et innovantes, car il est de notoriété que la technologie peut améliorer le quotidien de tous les humains en général.
Communication : Oran abritera le prochain CITIC en juin 2008 - par AbdelmalekAMINE le 21/10/2007 09:15
Après la précédente édition organisée à Oued Souf, Oran accueillera, au courant du mois de juin de l'année prochaine, le carrefour international des technologies de l'information et de la communication. A ce grand rendez-vous, prendront part, apprend-on auprès d'Algérie Télécom, les leaders mondiaux de l'information et de la communication. Au menu de cette manifestation, des conférences et des expositions sont programmées.
Concours de magister en économie à Batna - par avunet le 21/10/2007 00:49
L’école doctorale « économieappliquée et management des organisations » de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université de Batna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre 2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, un parcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :- Université de Batna 12 postes ;
- Université de Biskra 10 postes ;
- Université de Guelma 10 postes ;
- Centre universitaire de Khenchela 10 postes ;
- Centre universitaire d’El Oued 10 postes.
Condition d’accès et modalité de l’examen : - Etre titulaire d’une licence en sciences économiques,gestion ou sciences commerciales avec une moyenne générale d’au moins 11 /20pour l’ensemble des quatre ans.
- Délai de rigueur de dépôt du dossier de candidature :20 novembre 2007.
Sujet d’examen : - Micro économie : coefficient 2
- Economie et management des connaissances : coefficient 1
Pour davantage de détails, voir l’annonce sur le site del’université de Batna (www.univ-batna.dz)ou sur le site du directeur de l’école doctorale (http://fares.boubakour.free.fr)
Le PDG de Canon Algérie a dévoilé la nouvelle stratégie sur le marché algérien du représentant du gé - par Behaz le 20/10/2007 10:03
D’emblée, Abdelhamid Messaoudi, directeur général de Canon Algérie, a mis l’accent sur les possibilités présentées par les nouveaux produits de la firme japonaise Canon, laquelle a particulièrement amélioré la fiabilité de son nouvel appareil numérique qui intègre une fonction Internet. A propos de celle-ci, M.Messaoudi affirme que « la seule limite est celle du temps consacré à la saisie ou à la création des données. La possibilité d’effectuer des recherches dans le contenu de votre site donne à l’internaute la possibilité de trouver immédiatement, au coeur de votre documentation, l’information re-cherchée. Il est donc possible, par la mise en ligne des documents, de faciliter l’utilisation des produits par vos clients actuels. Internet crée une rupture avec les modèles économiques traditionnels. »
Sabisystems, représentant officiel de Canon en Algérie, veut ainsi profiter de ces nouvelles tendances pour dynamiser ses affaires et aller plus loin dans sa politique d’adaptation et de partage par des contacts de proximité avec le marché. Se rapprocher toujours plus de la clientèle, sur son propre lieu de vie et de travail est une « constance dans notre action commerciale et après-vente » indique, d’autre part, le directeur général de Canon Algérie. Il est certain que les clients que Canon Algérie souhaite toucher, utilisent ou utiliseront plus tard Internet. L’entreprise Canon s’inscrit ainsi dans un mouvement d’anticipation au lieu de réagir dans la précipitation à la concurrence ou subir la loi du marché. Internet est le moyen idéal dans la recherche de nouveaux clients pour un investissement modéré. Cette tendance est de plus en plus lourde dans le monde de l’informatique. L’entre-prise cible autant les produits mass market (grand public) que les solutions d’entreprise.
Le taux d’accès à Internet en Algérie est estimé à près de 6% loin derrière ceux constatés en Tunisi - par Behaz le 20/10/2007 10:01
En dépit de son potentiel inestimable ( population jeune à plus de 60%, aisance financière sans précédent avec près de 100 milliards de dollars de réserves de change...), l’Algérie s’accroche mal au train de la modernité et du développement notamment en terme d’accès à Internet. Les objectifs de l’accès aux nouvelles technologies de l’information et de la communication et la généralisation de leur utilisation dans les différents domaines de la vie économique sont aujourd’hui loin d’être réalisés, estiment les spécialistes. Ces derniers sont unanimes à déplorer la modicité du taux de pénétration de l’Internet et la sous-utilisation de l’outil informatique en dépit des tentatives prises dans le cadre des différents projets initiés par les pouvoirs publics.
Le faible taux d’accès à Internet en Algérie est dû, selon eux, à plusieurs facteurs, notamment l’absence d’une vision stratégique globale quant au développement des technologies de l’Internet avec la fixation d’objectifs clairs et le développement des sites Internet à contenu numérique localement accessible. La faible croissance du réseau de téléphonie fixe et le coût encore élevé comparativement au pouvoir d’achat, du matériel informatique constituent également des obstacles pour l’édification de la société de l’information. Les spécialistes insistent sur la nécessité de mettre en place un plan d’action stratégique en mobilisant les ressources humaines et financières nécessaires, si on veut réellement se mettre au diapason des défis imposées par la globalisation avant de rater définitivement le train de l’évolution.
Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 oc - par TalhiSaid le 19/10/2007 11:59
Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 octobre 2007
Le site de l’association des compétences algériennes (ACA) a été, tout récemment, activé. Il s’agit du : www.aca-dz.org/default.aspx. Le site en question devra être présenté en version finale très prochainement. Le visiteur de ce site censé être en trois langues (Arabe, Français et Anglais) a la possibilité de connaître la très récente association des compétences algériennes dont les fondements ont été établis à l’issue de la première conférence des compétences algériennes organisée en avril dernier. Une conférence à laquelle, rappelons-le, ont participé des chercheurs, universitaires et autres chefs d’entreprises établis à l’étranger ainsi qu’un certain nombre d’académiciens algériens vivant en Algérie. Le site très acceptable sur le plan technique et esthétique n’est pas encore riche en information en raison du fait que l’ACA ait été créé depuis peu et n’a donc pas beaucoup d’activités à son actif. Le site assure, en outre, des liens vers des institutions et des organisations algériennes et internationales. Le site évoque, dans la rubrique « conférence 2008 », la tenue de la deuxième conférence des compétences algériennes, prévue les 17, 18 et 19 avril à l’hôtel Aurassi à Alger. D’après un document exclusif que nous nous sommes procuré récemment, la deuxième conférence des compétences algériennes sera bien plus riche en terme de sujets et de participants que la première. Le nombre de sponsors a lui aussi augmenté, un certain nombre d’entreprises et d’institutions ayant manifestement pris conscience de l’importance que revêt désormais cet événement. En ce qui concerne la participation, outre les algériens d’Europe et d’Amérique du nord, des cadres vivant dans des pays telles que les Emirats Arabes unis, l’Arabie Saoudite ou encore l’Australie viendront enrichir cette rencontre. La conférence d’avril prochain portera sur six thèmes. Il s’agit de la santé, de l’agriculture et la biotechnologie, les nanotechnologies, l’énergie et l’environnement, le transport et le développement urbain et la sécurité. Il s’agira pour les participants venus de différents pays et horizons de livrer leurs expériences et celles de leurs pays d’accueil en ce qui concerne ces thèmes en vue d’aider les décideurs et autres cadres algériens à avoir une meilleure visibilité sur les avancées technologiques dans plusieurs domaines d’activité. Sur un autre plan, le site de l’ACA permettra de jeter des ponts permanents entre les algériens d’ici et d’ailleurs. Il fera également office de banque de données donnant la possibilité de mieux connaître ce que font les algériens vivant à l’étranger mais surtout ce qu’ils pourront faire pour l’Algérie. Les compétences vivant en Algérie auront quant à elles la possibilité de dialoguer avec d’autres algériens travaillant dans des domaines similaires mais dans des conditions différentes. Il y a lieu de signaler, à ce propos, que le site Internet dédié aux inventeurs algériens vivant à l’étranger et qui devra être lancé prochainement par un algérien vivant aux Etats-Unis, mais aussi le projet de mise au point d’un listing détaillé des cadres algériens par l’agence de valorisation de la recherche scientifique sont autant de pas dans le bon sens, celui du transfert de technologie vers l’Algérie.
Omar Seddiki, unalgerien qui voit loin - par TalhiSaid le 19/10/2007 11:46
Omar Seddiki, un Algérien qui voit
très loin
Omar Seddiki, doctorant dans le domaine de la physique résidant au Canada, est sorti tout récemment de l’anonymat en mettant au point une nouvelle combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. A travers cette réalisation, l’Algérien Omar Seddiki réussit où beaucoup d’autres chercheurs ont échoué. Le miroir liquide en question est très adapté aux conditions extrêmes caractérisant la surface de la lune. Les travaux menés par M. Seddiki et son équipe ont été subventionnés et suivis par la très célèbre Agence spatiale américaine NASA. L’ancien étudiant de l’USTHB, désormais célèbre pour cette prouesse scientifique, nous parle de son parcours et des conditions à réunir pour permettre à l’Algérie de tirer profit des compétences algériennes établies dans différents pays du monde.It Mag : Tout d’abord, pouvez-vous nous donner une idée sur votre parcours universitaire et que faites-vous exactement en ce moment ? Omar SedikiPhysicien a mis au point le fabrication d’un telescope à miroir liquideM. Omar Seddiki : J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique en 1990 à l’université des sciences et technologies Houari Boumediene de Bab Ezzouar (USTHB). Après la fin de mes études universitaires, j’ai commencé ma carrière professionnelle dans le secteur industriel. J’ai travaillé pendant 12 ans dans l’industrie, dont 6 ans dans la société SMEI. Je me suis installé au Canada à partir de l’année 2003. Une année plus tard, j’intègre le groupe de recherche des miroirs liquides à l’université Laval. En 2006, j’ai obtenu une maîtrise en physique. Actuellement, je prépare un doctorat en physique dans la même université.Pouvez-vous nous parler de votre départ vers le Canada. Dans quelles circonstances avez-vous quitté l’Algérie et quelles étaient vos motivations ?A un moment donné, j’ai senti la nécessité d’enrichir ce que j’avais cumulé en matière d’expérience professionnelle, mais aussi sur le plan intellectuel. Suivant cette logique, il m’a semblé important de faire le nécessaire pour évoluer dans un milieu exigeant où je puisse acquérir une expérience répondant aux normes de travail internationales. C’est ainsi que j’ai quitté mon pays fin janvier 2003 pour le Canada.Vous avez réussi à trouver une combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. Pouvez-vous donner une idée plus précise sur cette trouvaille et surtout sur les avantages qu’elle présente ?Notre groupe de recherche a déjà développé des techniques de fabrication de télescope à miroir liquide pour les applications terrestres. Pour le projet de miroir liquide sur la lune, ces techniques ne peuvent pas être utilisées, car les conditions d’utilisation sur la Lune sont très différentes : très basse pression de vide due à l’absence d’atmosphère et très basse température d’utilisation. On a donc opté pour un procédé déjà utilisé pour la métallisation des miroirs de télescope en verre et qui consiste à l’évaporation d’un métal sous vide. La difficulté résidait dans le fait que ce procédé n’a jamais été essayé sur un liquide. Il fallait donc développer un savoir-faire et des techniques pour l’adapter et trouver le liquide qui pouvait convenir aux conditions extrêmes de l’environnement lunaire. Au départ, on procédait par essais et erreurs, et très vite on a pu franchir un premier palier lorsqu’on a pu déposer une couche d’aluminium sur un polymère liquide hydrophile. Puis une autre étape majeure a été franchie un an après nos premières expériences, et cela lorsqu’on a déposé une mince couche d’argent sur un liquide ionique. Ces liquides sont des solvants qui peuvent être conçus avec un ensemble particulier de propriétés. Ils ne s’évaporent quasiment pas et ils restent liquides à des températures très basses. Ce qui fait d’eux les « candidats » les plus sérieux pour le projet d’un miroir liquide sur la Lune.Comment vous êtes-vous retrouvé impliqué dans les travaux relatifs à ce projet ?L’Agence spatiale américaine (NASA), via son Institut pour les concepts innovants (NIAC), a décidé en 2004 de subventionner l’idée de télescope lunaire proposé par le professeur Borra. Ce dernier, qui était mon directeur de recherche, m’a chargé de reprendre des expériences de métallisation sous vide qui ont été abandonnées il y a quelques années faute de résultats probants. J’ai repris les expériences en variant les liquides. J’ai fini par obtenir un premier résultat positif qui a démontré la faisabilité du projet, ce qui nous a permis d’obtenir des financements pour continuer nos recherches.Est-ce que les chercheurs et étudiants algériens résidant au Canada sont en contact (sous forme d’association ou autre) ? Existe-t-il suffisamment d’échanges entre les membres de la communauté scientifique algérienne ?Sur le plan humain, les contacts ent
TIC : L’analphabétisme numérique en débat. - par Herrouz le 18/10/2007 03:14
Alors qu’il se développe à une vitesse effrénée dans les pays occidentaux, notamment aux Etats-Unis et au Canada, le système numérique est au stade des premiers balbutiements dans les pays sous-développés, particulièrement en Afrique, où le développement économique de la quasi-totalité des pays est encore dans les langes. Dans ce domaine névralgique, la fracture entre les pays du Nord et ceux du Sud est immense. En Algérie, quoique timidement, le développement des technologies de l’information et de la communication reprend avec, notamment, l’opération Ousratic, grâce à laquelle 6 millions d’Algériens ont pu acquérir un PC. Mais cela n’a pas évité à l’Algérie, 10e au niveau africain, d’occuper la dernière place derrière le Maroc et la Tunisie. En effet, notre pays, qui compte selon les dernières estimations 2 millions d’internautes, dont 200 000 foyers abonnés à l’ADSL, occupe la dernière place derrière la Maroc, avec 6 millions d’internautes, dont 460 000 abonnés à l’ADSL et la Tunisie, avec 3 million d’internautes. C’est ce qu’a indiqué le Pr Mentalechta lors d’une conférence animée, hier, à la salle des conférences de la Safex. Le conférencier affirmera, d’emblée, que la fracture numérique n’est pas un fait du hasard, mais la conséquence du fossé économique qui sépare les pays du Nord et ceux du Sud. L’utilisation du numérique, selon le même orateur, ne profite pas aux pays sous-développés, puisqu’il a été constaté un faible recours au numérique. Pour étayer ses propos, le conférencier, par ailleurs expert international auprès de l’Unesco, affirmera que sur un milliard d’internautes de par le monde, plus de la moitié, soit 55%, sont soit du Canada soit des Etats-Unis, alors qu’en Afrique, qui représente 10% de la population mondiale, le taux d’internautes ne dépasse pas 1%, et si l’on supprime les pays du nord de ce continent et l’Afrique du Sud, le taux sera réduit à 0,4%. D’où l’appel lancé par les participants au dernier salon mondial des technologies de l’information et de la communication pour une aide de la communauté internationale aux pays sous-développés. Le Pr Mentalechta a sérié les causes à l’origine desquelles sont survenues les fractures numériques. Il a cité, entre autres, l’insuffisance des infrastructures, l’analphabétisme, les coûts exorbitants ainsi que l’âge et le sexe. Sur ce dernier point, il dira que les femmes sont les moins informées que les hommes. Et pour réduire un tant soit peu les fractures numériques, la même voie a proposé un certain nombre de solutions. Il s’agit de recenser, autant que faire se peut, les raisons et les origines de ces fractures, pour réaliser les infrastructures nécessaires, mettre une culture d’apprentissage des technologies de l’information et de la communication et des contenus, réduire les coûts et, surtout, mettre en place une politique de promotion. Il est à signaler qu’une série de conférences traitant de l’analphabétisme numérique a été animée durant la journée d’hier.
Source : Horizons (18/10/2007).
Le portail e-gouvernement achevé à 80%. - par Herrouz le 18/10/2007 03:09
Dans ce cadre, 12 000 sites Intranet interconnectant différentes institutions de l’Etat pour l’échange électronique sécurisé de données et de documents sont déjà opérationnels. L’annonce a été faite, hier, par Boudjemaâ Haichour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, en marge du 11e salon Hi-Tech 2007 organisé au palais des Expositions.
Les spécialistes de la question se sont souvent interrogés sur l’aboutissement de ce grand projet numérique, initié, rappelle-t-on, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de la e-commission depuis 2004.
Ce système permettra, explique le ministre, de développer les services publics, de moderniser les administrations et les entreprises. Il ne se limite pas seulement, selon lui, à l’introduction des outils informatiques dans les institutions mais aussi à l’amélioration de la gestion interne et des relations avec le citoyen. Ce portail gouvernemental, devant raccorder tous les portails ministériels, sera, de ce fait, à l’usage des citoyens et des entreprises. Il vise, d’après M. Haichour, à l’élimination totale du papier, de façon à mettre fin aux tracasseries bureaucratiques.
Après avoir procédé à l’inauguration de la conférence initiée par le World Trade Center dont le thème a été « l’analphabétisme numérique », le ministre s’est déplacé ensuite au pavillon G où s’est déroulé le salon Hi-Tech 2007. 25 exposants, où Djezzy, Algérie Télécom, Mobilis, Sitel, Sororcom sont présents en vue d’afficher les grandes nouveautés du monde numérique en Algérie.
« Le secteur de la télécommunication est en train d’aller graduellement vers la maîtrise des technologies de l’information et de la communication pour combler à jamais le fossé de l’illettrisme numérique existant entre les pays avancés et ceux en voie de développement », estime le ministre.
Des textes sont en préparation sur la cybercriminalité
M. Haichour indiquera, sur un autre registre, que des textes législatifs sont en préparation en collaboration avec le ministère de la Justice sur la cybercriminalité. Cette démarche s’inscrivant dans le cadre de la cyberlégislation vise, selon lui, à maîtriser au mieux les réseaux et les sites générant des situations de violence. S’agissant de l’opération Ousratic (un PC pour chaque famille), le ministre a déclaré qu’un grand travail est train de se faire à l’échelle nationale en vue de booster ce projet. Tout en se déclarant conscient que le développement économique et local est tributaire du développement des infrastructures numériques, le ministre fera savoir, par ailleurs, que 1600 localités vont bénéficier de réseaux de télécommunication. &n bsp; &n bsp; &n bsp; &n bsp; Source : Horizons (18/10/2007).
Boune’ Question - par ZIDAT le 16/10/2007 05:47
Boune’ Question
Les nouvelles technologies de l'information et de la communication peuvent-elles participer utilement aux changements pédagogiques dont l'université algérienne a tant besoin aujourd'hui?Dans quelles conditions les technologies de l’information peuvent effectivement faciliter l’apprentissage ? Est-ce les produits informatiques conçus et les activités pédagogiques proposées sont-ils vraiment efficaces pour l’acquisition de connaissances? Ces produits vérifient-ils un certain seuil de qualité psycho-ergonomique, ces activités pédagogiques sont-elles en adéquation aux besoins des apprenants?Que faut-il mettre dans l’ordinateur et comment s’en servir pour obtenir de bons résultats pédagogiques? A défaut des études théoriques et expérimentales quels sont les principes méthodologiques permettant de construire une expertise nécessaire à une véritable ingénierie des médias éducatifs?Faut-il faire la recherche sur la technologie ou plutôt sur l’apprenant, ses capacités cognitives et ses besoins éducatifs? Comment identifier pour chaque objet d’enseignement ce qui fait obstacle aux apprentissages, en particulier chez les apprenants les plus faibles? Une réflexion sur la psychologie de la compréhension, qui nous guide à déterminer les bons choix de conception et des usages, est-elle nécessaire?Les technologies de l’information soigneusement adaptées aux besoins des apprenants compte tenu des objectifs pédagogiques sont-elles porteuses de nouvelles opportunités d’apprentissages?Le corps enseignant est-il appelé à être impliqué dans la conception des technologies éducatives? N’appartient-il pas aux enseignants de décider quand et sous quelle forme la technologie peut contribuer utilement à la pédagogie?L’université algérienne n’a-t-elle pas besoin de mettre en place de véritables opérations de recherche afin d’évaluer scientifiquement l’impact de ces technologies sur les apprentissages? L’université ne devrait-elle pas procéder à des expériences et des méthodes d’observations pourront donner naissance à une ingénierie capable de concevoir des instruments de qualité et de les utiliser pour le plus grand profit des étudiants? Devrait-on se contenter des sites Web publicitaires ?
SAHA AIDKOUM - par AbdelmalekAMINE le 14/10/2007 12:27
A l’occasion de la fête de Aïd el-Fitr, je souhaite une heureuse et joyeuse fête à tous les musulmans d’Algérie, de France et de toute la planète.Saha aidkoum wa koulou aam wa antoum bi alf kheir.
Aid El Fitr - par chellama le 14/10/2007 11:27
A l'occasion de l'Aid el fitr je vous presente mes meilleurs voeux
Voeux Chaleureux - par ZIDAT le 12/10/2007 20:36
Chers Abonnés musulmans de Avunet , mes vœux chaleureux pour notre Aid et je demande au Dieu de paix et de miséricorde de vous donner à tous une bonne santé, la sérénité et la prospérité. Takabala Allah Mina wa Minkoum. Amine.
Plate-forme AVUNET - par avunet le 11/10/2007 14:08
Une plate-forme expérimentale de type moodle sur le site http://avunet.free.fr est maintenant opérationnele.
Par ce message, je lance un message aux enseignants pour l'expériementer et surtout a proposer des cours en ligne pour les étudiants
Vous pouvez aussi dire a vos collègues de faire pareil.
On pourra utiliser le site comme plate-forme de telechargement de vos publications disponibles sur le web.
Saha Aidkoum a vous et vos familles et je compte sur vous.
Mahieddine DJOUDI
Fonctions attribuées aux TIC en enseignement universitaire - par ZIDAT le 09/10/2007 16:23
Fonctions attribuées aux TIC en enseignement universitaire
La vision des TIC en tant que simples véhicules d’information serait encore assez répandue chez la majorité des enseignants universitaires algériens. Ils perçoivent à tort les TIC essentiellement, voire exclusivement, comme des moyens de présenter l’information selon des modalités originales par rapport aux « anciens » médias d’apprentissage. Les usages les plus fréquents des TIC concernent l’usage du traitement de texte, de publication assistée par ordinateur et du PowerPoint pour construire du matériel de cours.De ce fait, ils limitent le potentiel de changement pédagogique que peut favoriser l’usage des TIC en éducation.Les TIC permettent aux étudiants et aux enseignants non seulement de présenter et de prendre connaissance d’informations prenant divers formats médiatiques, mais également d’en rechercher, d’en produire, d’en communiquer, d’en analyser et d’en transformer. En ce sens, elles nous invitent à élargir la définition même du « média d’apprentissage ». Celui-ci peut avoir une fonction non seulement de véhicule de messages éducatifs mais également de systèmes symboliques, d’outil cognitif et d’outil de médiation entre des personnes, des objets et des idées. Les TIC appelle à un élargissement de la définition des médias en tant qu’extensions des capacités humaines. Certains auteurs croient qu’elles constituent, de fait, de véritables partenaires intellectuels. On peut dès lors parler d’une « cognition distribuée » : l’apprenant collabore activement avec le média pour construire le savoir. L’apprentissage avec un média devient une sorte de travail conjoint : les représentations sont construites et les procédures exécutées parfois par l’apprenant, parfois par le média. Norman (1991) utilise l’expression artefact cognitif pour désigner ces dispositifs informatiques qui non seulement transforment les capacités de l’individu mais changent qualitativement la nature de la tâche que la personne accomplit, ainsi que les habiletés humaines.L’usage des TIC en tant que véhicules de messages pédagogiques pourrait expliquer, en bonne partie, la crainte qu’éprouvent certains de voir l’enseignant, considéré ici comme le principal, sinon l’unique, transmetteur de connaissances, remplacé par les TIC au sein de l’acte pédagogique. Il y a encore beaucoup à faire avant que les TIC deviennent pour les enseignants d’université, non pas des remplaçants, mais de véritables « partenaires pédagogiques ». Pour ce faire, ces derniers devront élargir leur vision des TIC en tant qu’outils cognitifs et de médiation de l’acte pédagogique. Ils devront apprendre à exploiter, de la manière la plus appropriée aux objectifs d’apprentissage visés, les fonctions diversifiées qu’elles peuvent assumer au sein de l’acte d’enseignement et d’apprentissage. Les besoins de formation des enseignants en ce domaine semblent pressants.
La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie - par Behaz le 09/10/2007 11:41
La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie devrait voir plus d’un million d’étudiants rejoindre les bancs des universités algériennes.
Avec plus d’un million d’étudiants inscrits, cette rentrée s’annonce difficile et compliquée tant un malaise diffus règne au sein du corps des enseignants, déçus autant par la nouvelle grille salariale « défavorable et discriminatoire » que par la manière avec laquelle celle-ci a été élaborée. L’ouverture officielle de l’année universitaire 2007-2008 en Algérie aura lieu après le mois du Ramadhan, lorsque les établissements universitaires à travers le pays auront achevé les préparatifs que nécessite la rentrée pour l’accueil des étudiants. Après avoir achevé les examens de rattrapage, la plupart des établissements universitaires ont annoncé la nouvelle rentrée conformément à ce qui a été décidé par le ministère de tutelle, a indiqué, hier, à l’APS le conseiller chargé de l’information au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Ben Hamouda. Les établissements universitaires accueilleront 1.052.000 étudiants, tous cycles confondus (graduation, post-graduation et université de la formation continue « UFC »), dont 270.285 nouveaux étudiants.
Volet infrastructures, le secteur a réceptionné 72.290 nouvelles places, 5 salles de conférences ainsi que 24 bibliothèques universitaires, fait savoir le même responsable. La capacité d’accueil du secteur s’élève, cette année, à 996.036 places. En matière d’oeuvres universitaires, le secteur a réceptionné 55.500 nouveaux lits et 28 restaurants dont 5 restaurants centraux. La capacité globale d’hébergement a atteint le nombre de 390.150 lits en Algérie. A propos de la préparation pédagogique, les formations du nouveau système ont été élargies à 278 points de formation pour le cycle licence couvrant 13 domaines de formation au niveau de 40 établissements universitaires. Dans le cadre de la réforme globale du système de l’enseignement supérieur entamé il y a 3 ans, il est prévu à cette rentrée universitaire d’entamer la formation en cycle master pour tous les licenciés de la première promotion du système Licence-Master-Doctorat (LMD). Il est programmé, à cet effet, l’ouverture de 184 masters au niveau de 10 établissements universitaires outre les préparatifs concernant l’ouverture de classes préparatoires aux écoles nationales supérieures.
D’après le Quotidien d’Oran
La qualité dans nos universités - par ZIDAT le 07/10/2007 13:12
La qualité dans nos universités
La qualité peut être définie comme étant l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit, d’un service ou d’une entité, qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les besoins et exigences exprimés et/ou implicites des clients et autres parties intéressées. Dans l’acceptation large de la définition de client, ce n’est pas seulement celui ou celle qui achète un service et qui l’utilise directement qui est concerné.
Toute personne ou entité constituée qui a des attentes directes ou indirectes envers un organisme de service peut être considéré comme un client. Depuis plusieurs années, l'Université algérienne est critiquée de toute part en raison de la baisse de la qualité de la formation qu'elle dispense. Le mécontentement quant à son efficacité est déclaré par les pouvoirs publics, les employeurs et les diplômés en exercice. Actuellement cette insatisfaction gagne largement l'opinion publique. La réforme de l’Université algérienne est de nouveau à l’ordre du jour.
En effet, beaucoup se demandent si l’enseignement supérieur ne serait pas un monde à part dans lequel les modèles de gestion en général, et plus particulièrement les principes de la qualité ne seraient pas applicables, du moins tels qu’ils sont employés dans le milieu industriel. Dans l’environnement actuel, la qualité de l’enseignement dans nos universités algériennes est presque entièrement garantie par les compétences des enseignants. En effet, les étudiants ne sont pas exigeants, ils sont des consommateurs passifs car ils se contentent de subir leur enseignement.
La dégradation des conditions pédagogiques et de l’exercice du métier d’enseignant : amphis et salles de TD surchargés, faiblesse des moyens matériels, suppression des TP, des mémoires de fin d’études et des stages de terrain, vont faire perdre l’équivalence aux diplômes universitaires algériens avec les diplômes européens et américains.
Les compétences des enseignants ne constituent donc plus une garantie suffisante de qualité. Si nous considérons que l’enseignement supérieur propose un service comme les autres, il va donc utiliser des normes et des certifications comme dans les autres secteurs. Il y a les normes internationales de la série ISO 9000. En ce qui concerne l’ISO, elle existe depuis 1946. Elle est une organisation non gouvernementale, mais occupe néanmoins une position privilégiée entre les secteurs privés et publics.
La norme ISO 9001, la plus souvent demandée par le secteur éducatif, concerne le management de la qualité, et plus particulièrement la satisfaction du client. Cette norme internationale spécifie « les exigences à utiliser pour évaluer l’aptitude de l’établissement à répondre aux exigences des clients et aux exigences réglementaires applicables pour traiter de la satisfaction des clients.
Microsoft s’engage en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:08
La visite du président de Microsoft en Algérie a été l’occasion pour Steve Ballmer de réaffirmer les ambitions du géant informatique dans le marché algérien.
Les perspectives d’associer Microsoft Corporation à la mise en oeuvre de programmes de transfert technologique et de pôles d’innovation en Algérie ont été soulevées jeudi lors d’un entretien entre le P-DG de cette firme, Steve Ballmer, et le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour. La participation aux activités du cyberparc de Sidi Abdellah, le renforcement du rôle de Microsoft dans l’opération "Ousratic" et l’expertise que pourrait apporter cette compagnie dans les systèmes de paiement de masse de la poste ont été également examinés.
Le président-directeur général de Microsoft, Steve Ballmer, a affirmé mercredi, à Alger, que son entreprise était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. "J’ai dit au président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie", a déclaré M. Ballmer à la presse, à l’issue d’une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le président Bouteflika "pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft", a-t-il souligné.
Algérie Télécom lancera un espace Internet à Béjaia - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:06
Le groupe Algérie Télécom prévoit la construction d’un méga espace Internet à Béjaia en partenariat avec la wilaya.
L’entreprise Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa se sont entendues pour réaliser en commun un méga-espace Internet de 200 postes.
Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa restent, cependant, partagées sur les moyens à mettre en oeuvre pour réaliser le projet, la wilaya ayant opté pour la construction d’une structure neuve, alors que les responsables d’Algérie Télécom optent pour un local qui soit aménageable à cet effet.
L’accès à l’Internet en Algérie coûtera moins cher - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:04
Le prix de l’accès à Internet en Algérie sera revu à la baisse pour permettre aux algériens de profiter de ses avantages.
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaa Haichour, a annoncé, samedi à Béjaïa, la volonté de son département de procéder, dans les mois à venir, à la baisse des prix d’accès à l’Internet en Algérie et de donner la possibilité au plus grand nombre de pouvoir disposer de cet instrument moderne de communication. "Nous allons casser les prix et démocratiser l’Internet en Algérie en permettant à chaque foyer d’y accéder", a affirmé le ministre en marge d’une visite de travail qu’il effectue dans la wilaya de Béjaïa.