Nouvelles

A l’issue d’une première réunion de trois jours du groupe de travail algéro-malaisien, un plan d’action dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) entre les deux pays a été mis en place.

C’est ce qu’a indiqué lundi, le secrétaire général du ministère des Postes et des technologies de l’information et de la communication (PTIC), M. Mohammed Bait. «Le groupe de travail algéro-malaisien, réuni à Alger du 22 au 24 avril dernier, a élaboré un plan d’action dans le domaine des technologies de l’information et de la communication», a fait savoir M. Bait, lors d’une conférence de presse tenue au siège du ministère de la PTIC. «Ce plan, qui entre dans le cadre de la redynamisation du mémorandum d’entente signé entre les deux pays en 2003, prévoit la mise en œuvre dans les six prochains mois, d’un certain nombre de projets portant sur trois volets, dont la Malaisie est leader. Il s’agit, selon M. Bait, de «la gouvernance électronique, la cyber-sécurité, les parcs technologiques et l’innovation».

Le responsable a indiqué qu’au volet de l’e-gouvernement, l’Algérie se penchera dans un délai d’une à deux années sur le développement du système de gestion des ressources humaines. Le deuxième volet con-cerne les cyber-parcs. L’intervenant a indiqué que la coopération prévoit la mise en place d’un prototype innovant algérien sur la base du modèle malaisien. «L’échange des expériences et la formation des for- mateurs ainsi que le développement des centres d’appel figurent au menu de cette coopération escomptée dans le cadre d’un partenariat intelligent dans le domaine des TIC», a affirmé M. Bait, qui a fait état de l’étude de la possibilité d’un partenariat algéro-malaisien pour le parachèvement de la réalisation des deux tours de Sidi Abdallah, et le développement des laboratoires de métrologie. Il a annoncé également que la Malaisie apportera son concours pour la conception et le développement d’un cyber- parc à Oran. S’agissant du volet de la cyber-sécurité, M. Bait a indiqué que la coopération dans ce domaine repose sur la promotion du cadre juridique de la cybernétique. Il convient de souligner que ce plan d’action a été soumis aux gouvernements des deux pays, pour examen et approbation dans un délai de six mois.

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Actualités : PRODUCTIVITÉ SCIENTIFIQUE
L’Algérie au 59e rang selon Elsevier

Le Soir d'Algérie. Samedi 28 avril 2012

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/04/28/2-133481.php

Onze chercheurs algériens ont été récompensés par les prestigieux «Scopus Awards» que discerne l’éditeur néerlandais d’information scientifique Elsevier qui contrôle 25% des publications mondiales en science et technique. Une belle performance pour la recherche scientifique en Algérie qui a vu sa productivité doublée en six ans, la hissant au 59e rang suivant le classement se référant aux bases de données de cet éditeur.


Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - C’est la première fois que ce prix est mis en place en Algérie pour identifier l’excellence. Les lauréats ont été classés par rapport à leur «indice h», un outil d’évaluation suggéré en 2005 par Jorge Hirsch. L’indice quantifie la productivité scientifique et l’impact d’un scientifique en fonction du niveau de citation de ses publications dans des revues à comité de lecture. «Un chercheur avec un indice h a publié h articles qui ont été cités h fois. Dès lors, l’indice h reflète à la fois le nombre de publications et le nombre de citations par publication.

Les chercheurs ont été évalués sur la période s’étendant de 2007 à 2011», précise-t-on. Elsevier a ainsi classé l’ensemble des chercheurs algériens en science et technologie dans dix disciplines différentes, à savoir sciences des matériaux, physique, sciences de la terre, sciences de la vie, environnement, chimie, mathématiques, médecine, électronique et énergie.

Les lauréats ont été choisis parmi les profils extraits de Scopus, base de données bibliographique et bibliométrique référençant 18 000 revues validées par les pairs et publiées par plus de 5 000 éditeurs internationaux.
 

Le ratio budgétaire par habitant consacré à la recherche scientifique est faible
Les lauréats par discipline sont : Abdelouahed Tounsi (Laboratoire des matériaux et hydrologie de l’Université de Sidi Bel-Abbès), Bachir Bouiadjra Belabbes (Laboratoire de mécanique physique des matériaux de l’Université de Bel-Abbès), Nadjib Badache (Laboratoire des systèmes informatiques de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Saïd Djadoun du laboratoire des matériaux polymères, faculté de chimie de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Noureddine Soltani (département de biologie, Université d’Annaba), Oualid Hamdaoui (Département de génie des procédés, faculté des sciences de l’ingénieur, Université d’Annaba), Abdelmadjid Bouhemadou (département de physique de l’Université de Sétif), Zoubir Harrat (service d’éco-épidémiologie parasitaire et génétique des populations, Institut Pasteur d’Algérie) et Sofiane Bouacida (département des sciences de la matière de l’Université d’Oum El Bouaghi).

Un prix spécial, toutes disciplines confondues, est attribué au Pr Maïouf Belhamel, 62 ans, directeur du Centre de développement des énergies renouvelables. Ce diplômé de l’Ecole nationale polytechnique d’El Harrach et pas moins thésard de l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique de Poitiers (France) a eu le plus haut indice h (19).

Dans sa communication donnée jeudi dernier à l’hôtel Mercure d’Alger, à l’occasion de la cérémonie organisée à l’honneur des lauréats, Olivier du Dumon, directeur de marketing chez Elsevier a précisé que : «Elsevier publie 520 000 articles par an et les téléchargements sur ses bases de données sont à hauteur de 37/seconde.

Les Algériens ont publié 3 200 articles en 2011, une production qui représente le double comparativement à 2006. Les publications des Algériens chez Elsevier représentent 52 % de l’ensemble de leurs publications. Des publications qui leur ont valu 20 000 citations entre 2007 et 2010.

L’Algérie vient au 59e rang suivant le classement d’ Elsevier, soit parmi les meilleurs des pays d’Afrique. Elle compte entre 20 000 et 25 000 chercheurs et dépense 1% de PIB dans la recherche scientifique, soit environ 1,5 milliard USD et un ratio budgétaire par habitant équivalant à 10 % de celui de l’Angleterre.»

Et de conclure par offrir les services d’Elsevier à l’Algérie : «Le président Bouteflika a invité les Algériens de la diaspora à contribuer au développement de leur pays. A Elsevier, à travers nos bases de données, nous pouvons repérer pour vous les meilleurs cerveaux ayant fui le pays et vous établir un fichier référençant y compris leurs similaires des autres pays.»

Il convient enfin de signaler qu’étaient présents à cette cérémonie le DG de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Hafid Aourag, une représentante de l’ambassadeur néerlandais. Aussi, l’indice h s’applique également aux universités et centres de recherches, aux universités de Constantine et l’USTHB qui ont été également distingués par des prix honorifiques.
L. H.

 

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L’éditeur WhiteCanyon Software, spécialiste des solutions d’effacement sécurisé et certifié des données, lance la commercialisation de sa suite logicielle WipeDrive en Algérie.
La distribution exclusive sera assurée par le revendeur algérien de produits et de services IT, CBS Xerox. Acteur majeur dans le domaine de l’impression, des arts graphiques et de l’engineering en Algérie, la société CBS Xerox est présente sur tout le territoire. Elle dispose de quatre antennes commerciales : Alger (siège social), Oran, Annaba et Hassi Messaoud et d’un réseau de partenaires revendeurs. Site : www.cbs-xerox.com WipeDrive est un logiciel d'effacement certifié et sécurisé des données, facile à mettre en œuvre et économique, parfaitement adaptée aux obligations des sociétés et des organismes en matière de protection de données. Certifié EAL4+ par les Common Criteria, WipeDrive a déjà permis d’effacer plus de 25 millions de disques durs dans le monde. Site : www.whitecanyon.eu.

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La cybersécurité, le développement des parcs technologiques et la e-gouvernance sont aux centre de la première réunion de travail mixte algéro-malaisienne, qui a débuté dimanche à Alger.

Les deux parties ont identifié trois axes de travail à savoir la cybersécurité, le cyberparc et la e-gouvernance, a indiqué le secrétaire général du ministère de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, M. Mohamed Baït, en marge de cette rencontre.

Concernant la cybersécurité, le responsable algérien a expliqué que la rencontre permettra à l'Algérie de tirer profit de l'expérience malaisienne en matière de réglementation relative au commerce, à la signature et la certification électroniques. "Nous allons profiter aussi de l'expérience malaisienne pour gérer au mieux nos cyberparcs, ainsi que dans la e-gouvernance pour le développement du contenu et la formation des capacités humaines.

La Malaisie est membre fondateur de l'OCI-CERT (Computer Emergency Response Team, qui dépend de l'Organisation de la Conférence islamique), une organisation qui apporte une réponse rapide dans le domaine de la cybersécurité. Elle est classée 28e rang mondial en matière de développement des TIC pour l'année 2008-2009, selon le Readiness Index Ranking.

Cette réunion a été coprésidée par M. Mohamed Baït, et la secrétaire générale-adjointe du ministère malaisien de la science, de la technologie et de l'innovation, Mme Khatijah Benti Mohamad Yusoff, en visite officielle en Algérie.

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Premier appel à communication ICACIS 2012 à Batna

Le Laboratoire des Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (LaSTIC) &
Le Département d'Informatique de l'Université de Batna

En partenariat avec le Réseau de Recherche FORMATIC


Organisent à Batna (Algérie) la conférence internationale

ICACIS2012

International Conference on Advanced
Communication and Information Systems


du 12 au 13 Décembre 2012

Dates importantes

  • Intention de Soumission: 15 juillet, 2012
  • Soumission d'articles: 15 Septembre 2012
  • Notification : 1er Novembre 2012
  • Réception de la version finale : 20 Novembre 2012
  • Conférence ICACIS12 : 12-13 Décembre 2012
  • Information : http://icacis2012.dzportal.net

 

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La 21ème édition du Salon international de l’informatique, de la bureautique et de la communication (SICOM-2012) s’est ouverte aujourd’hui au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger en présence du ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi. D’après les organisateurs, près de 150 entreprises spécialisées, dont 13 étatiques et 20 étrangères, exposent dans ce salon qui s’étale jusqu’au 16 avril.


Dans une déclaration à la presse en marge du SICOM, M. Benhamadi a indiqué, qu’à travers le SICOM, « nous voulons permettre à des porteurs de projets de les concrétiser et d’en faire des solutions au service du citoyen, de l’entreprise et de l’administration algérienne ». Le SICOM est aussi un espace qui permet aux citoyens de découvrir le niveau de développement technologique atteint par l’informatique et les services et aux professionnels de faire connaître leurs produits, a ajouté le ministre des PTIC.

Le thème arrêté pour cette 21ème édition du SICOM est « La place des réseaux sociaux dans la communication de masse ». Pour Mme Samira Hocine, organisatrice du SICOM, ce salon est destiné aux professionnels du matériel informatique et bureautique qui proposent des équipements performants dans ce domaine ainsi que des solutions technologiques efficaces. Dans ce cadre, elle dira qu’une surface de plus de 9.000 m2 a été dédiée aux exposants. Aussi, un espace pour la vente de produits a été réservé aux consommateurs qui pourront bénéficier d’une multitude de promotions. « Le SICOM 2012 ambitionne de renforcer la dynamique enclenchée lors de la dernière édition par l’encouragement des PME dans les activités de création de logiciels et progiciels en tant que moyen privilégié d’assimilation des TIC par les compétences nationales», a-t-elle déclaré à la presse présente à l’ouverture de cet évènement.

Par ailleurs, vingt ateliers sur divers thématiques dont l’emploi, les réseaux sociaux, les technologies numériques et l’innovation, seront animés par des universitaires et experts nationaux et étrangers en marge du SICOM-2012. Concernant les nouveautés attendues pendant les sept jours que durera le SICOM, une bonne animation assurée essentiellement par des étudiants embauchés à cette occasion.
« Nous avons développé entre autre, le pôle emploi après le succès qu’il a eu l’an passé avec plus de 50 recrutements durant la tenue du salon. Un pôle que nous avons renforcé par un partenariat avec le leader du « e-emploi » en Algérie », a-t-elle encore précisé. Aussi, des formations sont prévues pour les postulants.
« D’ailleurs, nous prévoyons trois ateliers de formation avec ce même partenaire », conclut Mme Samira Hocine.

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2nd International Conference on Model & Data Engineering (MEDI’2012)

October 3 - 5 2012

Poitiers, Futuroscope - France

http://medi2012.ensma.fr

 

Authors are invited to submit research and application papers representing original, previously unpublished work. Papers should be submitted in PDF or Word format. Submissions must conform to Springer's LNCS format and should not exceed 12 pages (including all text, figures, references and appendices). Authors who want to buy extra pages may submit a paper up to 15 pages with the indication that the authors will purchase extra pages if the paper is accepted.

 

Submissions which do not conform to the LNCS format and/or which do exceed 12 pages (or up to 15 pages with the extra page purchase commitment) will be rejected without reviews. Submitted papers will be carefully evaluated based on originality, significance, technical soundness, and clarity of exposition.

 

All accepted papers will be published in Lecture Notes in Computer Science (LNCS) by Springer-Verlag. Duplicate submissions are not allowed. A submission is considered to be a duplicate submission if it is submitted to other conferences/workshops/journals or it has been already accepted to be published in other conferences/workshops/journals. Duplicate submissions thus will be automatically rejected without reviews. Submissions require explicit consent from all listed authors.
 

The submission site is open at:

https://www.easychair.org/conferences/?conf=medi2012
 

Important Dates

  • Abstract submission: April 13th, 2012
  • Full-paper submission: April 20th, 2012
  • Acceptance notification: June 24th, 2012
  • Camera Ready: July 16th, 2012

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Le salon international des Technologies de l'Information se tiendra comme chaque année les 24, 25 et 26 septembre 2012 au Palais de la Culture Moufdi Zakaria, sous le haut patronage du Ministre de la Poste et des TIC. Cette année, le thème de l'innovation IT sera mis en avant avec l'organisation habituelle des trophées Med-IT 2012 qui récompenseront les meilleures start-ups IT.


Le tout premier Med-IT en Algérie remonte à 2004. Cet évènement a su devenir au fil des années un rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur des Technologies de l'Information et de la Communication. Chaque année, plus de 5 000 visiteurs professionnels et 150 exposants, dont les principaux acteurs algériens du secteur des TIC et 30% d'entreprises étrangères parmi lesquelles de grandes multinationales, participent au Med-IT afin de s'informer sur les grandes tendances du marché, nouer des relations ou tout simplement découvrir les nouvelles solutions IT.

Près de 50 conférences et ateliers sont programmés suscitant un vif intérêt du public, et un outil gratuit accessible depuis le site web du Med-IT permet à chacun de programmer à l'avance ses rendez-vous.

De plus, l'édition de cette année récompensera, via les fameux trophées Med-IT, les jeunes talents ayant lancé une start-up innovante dans le domaine IT en Algérie (Internet, télécoms, applications web ou mobiles, logiciels, services en ligne, e-commerce, réseaux sociaux, jeux,...). Peuvent concourir : tout dirigeant officiel d'une start-up, âgé de moins de 35 ans au 01 mars 2012, de nationalité algérienne et résidant en Algérie; toute start-up ayant été créée depuis moins de trois ans dont l'activité se concentre dans le domaine de l'IT.

7 experts dans le domaine du conseil, du financement, des start-ups et des TIC, retiendront les projets les plus innovants selon différents critères : innovation majeure et technologique objet de la création de la start-up, expertise de l’équipe porteuse du projet, perspectives de développement et de rentabilité sur le marché algérien et international.

4 lauréats recevront les fameux trophées le mercredi 26 septembre à 16h. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 31 juillet 2012 ici dans la rubrique "Trophées".

Bonne chance à tous...

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Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012


Abruti" : "qui est inapte à réfléchir", dit le dictionnaire. Et traiter une bande d'"abrutis" serait un pléonasme, selon une récente étude du Virginia Tech Carilion Research Institute, un centre médical de recherche américain.Le seul fait de travailler en groupe affecterait en effet le quotient intellectuel (QI) des participants. A la baisse, pour ceux ayant un statut social inférieur aux autres, ou se percevant comme tels. Car ils ont alors peur de mal faire, perdent confiance dans un environnement compétitif qui les inhibe. Les femmes se retrouveraient particulièrement dans ce cas de figure, souligne l'étude. On s'en serait douté ! L'âge n'aurait, en revanche, aucune incidence.

"Vous pouvez vous moquer des réunions qui vous semblent débiles. Mais nos travaux suggèrent que ces réunions pourraient bien vous rendre débiles, vous aussi", explique ainsi Read Montague, directeur du laboratoire d'imagerie cérébrale de Virginia Tech, responsable de cette étude.

Celle-ci est s'appuie bien sûr sur des preuves scientifiques. Des individus de QI équivalents, mais d'une moyenne supérieure à celle de la population américaine, ont été mis en situation de travail en groupe. La façon dont leur cerveau fonctionnait a été suivie par un équipement d'imagerie par résonance magnétique (IRM).

Les clichés ont confirmé la moindre activation des zones cérébrales nécessaires à la résolution de problèmes chez ceux ayant le sentiment d'avoir un statut social inférieur.

Elémentaire, peut-on penser : un être plongé dans un groupe aux participants impressionnants - à tort ou à raison - peut avoir tendance à se replier sur lui-même, voire à bloquer sa réflexion.

Une mère, ou un père, sait ainsi qu'il faut parfois se battre pour laisser les plus discrets de la fratrie s'exprimer, et éviter ainsi de les voir se renfermer ou perdre confiance.

Néanmoins, les chercheurs en neurosciences s'interrogent : "En accentuant la concurrence au sein des équipes, ne perdons-nous pas le potentiel d'une grande partie des personnes de talent ?"

A l'heure où le travail en groupe est valorisé, il est en effet urgent de se poser la question. Et d'avoir l'audace de fournir la réponse. A savoir : oui et non. Oui, les groupes de travail entre semblables en concurrence sont contre-productifs. Non, car selon d'autres études, les groupes diversifiés sont au contraire plus performants, la complémentarité des compétences étant source de progrès. De vraies bandes de cracks !


Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012

 

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Le business du spam - par elabweb

Vous en avez plein vos boites mail mais qui profite du spam et comment ? Tour d’horizon d’une pratique qui a déjà agacé plus d’un internaute.

Il sature nos boîtes aux lettres mail et nous fait perdre chaque jour un temps précieux à trier nos messages. Qui est-ce ? Le spam évidemment ! « Il a beau être sans danger pour notre ordinateur, le spam est un virus doux en pleine expansion » affirme Franck Cresson, administrateur réseau d’un cabinet d’expertise comptable.

Et cet informaticien de reconnaître que ces communications électroniques également connues sous le nom de « pourriel » portent très bien leur nom, a fortiori lorsqu’elles utilisent le carnet d’adresses des internautes à leur insu. « Ma boîte a été complètement gangrenée par des spams qui utilisaient mon compte pour envoyer des messages publicitaires à tous mes contacts y compris professionnels. C’est dire si ça faisait sérieux surtout lorsqu’il s’agissait de la promotion du Viagra ! » témoigne Stéphanie « Beaucoup de spammers sont des entreprises qui vendent des produits illicites ou contrefaits qui rivalisent d’ingéniosité pour diffuser leurs messages » constate F

ranck qui explique leur manière de procéder : « Tantôt ils piratent des listes d’opérateurs, tantôt ils inventent une multitude d’adresses mails à partir de noms de domaine existants, tantôt enfin ils installent à distance des programmes sur la machine des internautes pour relayer leurs spams. » Simple, rapide et efficace, ces courriers publicitaires non sollicités ne coûtent pas un centime à leur expéditeur, raison pour laquelle de plus en plus d’entreprises « légales » s’y mettent. Les répercussions en revanche peuvent s’avérer très juteuses. « Sur des millions de mails envoyés, il y aura toujours quelques personnes qui passeront commande. La rentabilité est donc optimale ! » affirme ce spécialiste.

Même s’il est actuellement difficile de lutter contre ces messages intempestifs, il est possible de s’en protéger. « Tout d’abord, conseille notre interlocuteur, il faut privilégier les adresses des grands opérateurs type Orange, Free ou Neuf Télécom dont les serveurs utilisent des filtres assez sérieux pour protéger leurs utilisateurs. » Si néanmoins vous préférez utiliser une messagerie web (Hotmail, Yahoo, …), vous pouvez télécharger des antispams (http://www.01net.com/telecharger/windows/Securite/anti-spam/). Utilisez ensuite des adresses différentes selon l’utilisation que vous en faîtes : « Distinguez d’un côté celle réservée à la consultation de vos comptes et le paiement de vos impôts et de l’autre celle dédiée aux achats commerciaux » préconise Franck. Soyez enfin très vigilant avec les données que vous renseignez sur Internet « quitte à donner une fausse adresse ou un faux numéro de téléphone car les spams arrivent sur nos mobiles ! » conclut notre expert.

Sandra Franrenet

http://www.yahoo.monnaietime.fr/2012/03/27/le-business-du-spam/

 

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Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie.
Une convention, sous-tendant une banque de données, portant sur la mise en place d’un portail Web destiné à rendre moins complexe l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans différents programmes sectoriels de recherche a été signée fin 2011.

Elle l’a été entre le secrétariat d’Etat chargé de la Communauté nationale et le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce portail web sera mis en service en juin prochain. Il se donne pour objectif de diffuser l’information entre les compétences nationales à l’étranger autour de projets socioéconomiques en Algérie. De même, il permettra de créer une synergie entre ces compétences et les secteurs nationaux demandeurs de hauts potentiels humains.

S’agit-il là d’une nouvelle politique à objectif à long terme ? Va-t-elle réellement attirer nos valeureux chercheurs établis à l’étranger ? Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie. Il a souhaité encadrer cette stratégie par des professionnels natifs du pays, craignant d’être floué par de grandes sociétés internationales peu scrupuleuses. De la sorte, l’Algérie veut récupérer l’investissement qu’elle a consenti pour la formation initiale de cette diaspora. Halim Benatallah se pose ainsi en facilitateur, pas plus. Il ne lui appartient pas d’apporter des garanties sur la politique gouvernementale relative à l’implication des compétences algériennes établies à l’étranger dans le processus de développement, ce n’est pas son rôle.

Le secrétaire d’Etat a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration récente, que la nature des projets à mettre en place dans le domaine des TIC « ne relève pas de mes compétences, mais de celles du ministère la Poste et des Technologies de l’information et de la communication ». Le partage des rôles a été ainsi opéré ? Justement, les difficultés auxquelles sont confrontées les compétences algériennes résident dans le fait qu’il n’y a pas d’interlocuteur habilité à les écouter, à les orienter et à prendre en charge leurs doléances.

Souvent, nos compétences sont ballotées entre plusieurs administrations dont le rôle reste diffus. Et souvent, elles s’en lassent, abandonnant la partie. Toutefois, dans le tableau, il n’y a pas que des zones grises ; des compétences algériennes à la pugnacité avérée ont réussi à monter des projets en Algérie, à s’y installer même. Elles se sont mises à contribution dans un processus de transfert de savoir-faire. La diaspora algérienne, issue de la technopole de Californie en est l’exemple. Elle s’attelle à la mise en place d’un projet d’accompagnement des entreprises innovantes algériennes, ce n’est pas rien. L’initiative est louable ; elle est fortement saluée par les jeunes promoteurs algériens.

Des représentants de cette diaspora feront le déplacement à Alger pour discuter affaires avec des jeunes promoteurs et autres chefs d’entreprises. Ce sera un important forum regroupant une trentaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de Silicon Valley avec les représentants des ministères de l’Industrie de la PME et de l’investissement, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la PTIC et du Travail ainsi que des associations patronales et des entreprises. Cette diaspora, attendue donc à Alger, sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google ou encore Intel, ainsi que d’Algériens, patrons de leurs propres sociétés technologiques.

Ce forum devra ainsi mettre au point une « feuille de route » à moyen et long termes avec pour finalité de promouvoir, en Algérie, les jeunes entreprises en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies. Les technologues algériens de Silicon Valley ont à cœur de travailler avec leur pays d’origine ainsi qu’avec les jeunes entrepreneurs algériens en ramenant avec eux l’expertise liée au savoir-faire nécessaire.

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Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national. Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie.
Une convention, sous-tendant une banque de données, portant sur la mise en place d’un portail Web destiné à rendre moins complexe l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans différents programmes sectoriels de recherche a été signée fin 2011. Elle l’a été entre le secrétariat d’Etat chargé de la Communauté nationale et le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce portail web sera mis en service en juin prochain. Il se donne pour objectif de diffuser l’information entre les compétences nationales à l’étranger autour de projets socioéconomiques en Algérie. De même, il permettra de créer une synergie entre ces compétences et les secteurs nationaux demandeurs de hauts potentiels humains. S’agit-il là d’une nouvelle politique à objectif à long terme ? Va-t-elle réellement attirer nos valeureux chercheurs établis à l’étranger ? Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national. Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie. Il a souhaité encadrer cette stratégie par des professionnels natifs du pays, craignant d’être floué par de grandes sociétés internationales peu scrupuleuses. De la sorte, l’Algérie veut récupérer l’investissement qu’elle a consenti pour la formation initiale de cette diaspora. Halim Benatallah se pose ainsi en facilitateur, pas plus. Il ne lui appartient pas d’apporter des garanties sur la politique gouvernementale relative à l’implication des compétences algériennes établies à l’étranger dans le processus de développement, ce n’est pas son rôle. Le secrétaire d’Etat a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration récente, que la nature des projets à mettre en place dans le domaine des TIC « ne relève pas de mes compétences, mais de celles du ministère la Poste et des Technologies de l’information et de la communication ». Le partage des rôles a été ainsi opéré ? Justement, les difficultés auxquelles sont confrontées les compétences algériennes résident dans le fait qu’il n’y a pas d’interlocuteur habilité à les écouter, à les orienter et à prendre en charge leurs doléances. Souvent, nos compétences sont ballotées entre plusieurs administrations dont le rôle reste diffus. Et souvent, elles s’en lassent, abandonnant la partie. Toutefois, dans le tableau, il n’y a pas que des zones grises ; des compétences algériennes à la pugnacité avérée ont réussi à monter des projets en Algérie, à s’y installer même. Elles se sont mises à contribution dans un processus de transfert de savoir-faire. La diaspora algérienne, issue de la technopole de Californie en est l’exemple. Elle s’attelle à la mise en place d’un projet d’accompagnement des entreprises innovantes algériennes, ce n’est pas rien. L’initiative est louable ; elle est fortement saluée par les jeunes promoteurs algériens. Des représentants de cette diaspora feront le déplacement à Alger pour discuter affaires avec des jeunes promoteurs et autres chefs d’entreprises. Ce sera un important forum regroupant une trentaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de Silicon Valley avec les représentants des ministères de l’Industrie de la PME et de l’investissement, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la PTIC et du Travail ainsi que des associations patronales et des entreprises. Cette diaspora, attendue donc à Alger, sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google ou encore Intel, ainsi que d’Algériens, patrons de leurs propres sociétés technologiques. Ce forum devra ainsi mettre au point une « feuille de route » à moyen et long termes avec pour finalité de promouvoir, en Algérie, les jeunes entreprises en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies. Les technologues algériens de Silicon Valley ont à cœur de travailler avec leur pays d’origine ainsi qu’avec les jeunes entrepreneurs algériens en ramenant avec eux l’expertise liée au savoir-faire nécessaire.

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Faire des vidéos d’écran en toute simplicité

Screencast-o-matic est le logiciel idéal pour ceux qui veulent enregistrer des vidéos de leur écran en quelques clics. Ce logiciel ne nécessite aucune installation, il suffit simplement de se rendre sur le site de Screencast-o-matic. Vous pouvez en profiter de manière gratuite pour un enregistrement limité à 15min. Néanmoins, cela reste suffisant pour beaucoup d’usages d’autant plus que les options sont nombreuses et utiles.

1/ Accès direct sans installation

Pour utiliser Screencast-o-matic, pas d’installation, pas de téléchargement, il vous suffit de vous rendre à l’adresse suivante: www.screencast-o-matic.com

2/ Lancement en un clic

Arrivé sur la page, vous pouvez voir un bouton bleu « Start Recording ». Un clic sur celui-ci et le logiciel est lancé. Un applet Java est nécessaire, il faudra donc certainement autoriser le lancement du plug-in afin que Screencast-o-matic fonctionne.

3/ Réglage avant enregistrement

Après le court chargement de l’application, un cadre en pointillé s’affiche à l’écran. Il délimite la zone d’écran qui sera enregistrée. Vous pouvez la régler selon vos besoins en tirant sur les coins à l’aide de votre souris. Juste en dessous se trouvent les options d’enregistrement. Le premier bouton (rouge) est celui qui lancera l’enregistrement. S’en suit celui du microphone qui vous permet de choisir le périphérique d’enregistrement du son ou de couper le son (off). Le bouton suivant réglera le son du microphone. Le quatrième vous aidera à choisir une taille de vidéo prédéfinie allant de 640x480 au plein écran. Le bouton webcam vous permet d’incruster à l’écran la vidéo de votre webcam. Enfin, la croix annulera l’opération d’enregistrement.

4/ Lancer l’enregistrement

Après avoir soigneusement réglé les différents paramètres précédemment cités, vous pouvez lancer l’enregistrement de la vidéo de votre écran en cliquant sur le bouton rouge. Vous pouvez mettre pause à tout moment en appuyant sur les touches Alt+P (ou bouton pause de la barre). Réappuyez surle bouton d’ enregistrement pour reprendre. Vous pouvez recommencer depuis le début en cliquant sur Restart. Une fois votre enregistrement terminé, cliquez sur Done pour terminer la vidéo.

5/ Aperçu et réglage de la vidéo

Une fois l’enregistrement terminé, plusieurs choix s’offrent à vous pour éditer votre vidéo. En cliquant sur Show advanced option, vous pouvez choisir de faire apparaitre ou non la souris (show mouse cursor), ajouter un effet autour du curseur (show mouse halo), mettre en évidence les clics (show mouse clicks), couper le son, ou retirer la vidéo de la webcam. Grâce à l’aperçu, vous pourrez tester chacune de ces options avant la publication.

6/ Choix de l’enregistrement

Quand vous êtes satisfait du résultat, vous pouvez sauvegarder votre vidéo en la stockant sur Screencast-o-matic (un compte est nécessaire). Ou bien la publier directement sur YouTube HD en spécifiant le titre, la description, les mots clés, catégorie, etc. Enfin, vous pouvez récupérer votre vidéo en la téléchargeant sur votre PC en choisissant parmi les formats MP4, AVI et Flv movie.

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DOHA (Qatar)- L’Algérie figure parmi les sept pays arabes ayant progressé dans le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC), selon un rapport de l’Union internationale des télécommunications, établi sur la base de l’Indice de développement des TIC (IDI).
 

Selon ce rapport, présenté lundi à Doha (Qatar) où se tient le sommet sur la connectivité du monde arabe (5-7 mars 2012), l’Algérie fait partie des sept pays de la région du monde arabe (Algérie, Arabie saoudite, Comores, Egypte, Maroc, Oman et Qatar) qui ont progressé dans le domaine des TIC (large bande), sur la base de l’indice IDI qui combine 11 indicateurs comparatifs à l’évolution des TIC dans 152 pays du monde.

Le rapport fait ressortir que sur les 16 pays arabes, cinq ont perdu du terrain entre 2008 et 2010 et ont reculé au classement mondial, quatre pays ont conservé leur position et sept (dont l’Algérie), ont progressé.

Dans un rapport présenté par le secrétaire général de l’UIT, Dr Hamadoun Touré, il est relevé que le taux de pénétration des services mobiles actifs (large bande et 3e Génération) dans la région du Monde arabe avoisine les 13%, et demeure "inférieur" à la moyenne mondiale qui est de 17%.

"Le moment est venu aujourd’hui de passer à l’étape suivante et de faire en sorte que tous, quel que soit le lieu où ils vivent et quelle que soit leur situation, aient accès aux avantages du large bande", a souligné M. Touré, précisant qu’au XXIème siècle, "les réseaux de large bande doivent être considérés comme faisant partie des infrastructures de base, au même titre que les routes, les chemins de fer et les réseaux d’alimentation en eau et en électricité".

"La large bande, qui agit comme un puissant catalyseur du développement socio-économique, contribuera à accélérer les progrès sur la voie de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement, lesquels doivent être atteints dans un délai de trois ans à peine", a ajouté le secrétaire général de l’UIT.

De son côté, le directeur du Bureau de développement des télécommunications de l’UIT, Brahima Sanou, a indiqué dans ses recommandations que l’UIT encourage tous les pays à promouvoir l’inclusion numérique en élaborant un plan national en faveur des TIC, incluant des cibles concrètes pour évaluer les politiques, suivre les progrès et mettre en évidence les débouchés commerciaux.

"L’UIT est déterminée à mettre ses compétences spécialisées et son expérience au service de chacun des membres, en accompagnant les autorités nationales sur la voie de l’élaboration de cadres politiques sur mesure et de processus d’examen adaptés aux spécificités de leur environnement et de leur vision des TIC", a-t-il dit.

Organisé par l’UIT en collaboration avec la Ligue des Etats arabes, le sommet sur la connectivité du monde arabe tend à réunir les parties ayant des intérêts communs en vue de réhabiliter le rôle du secteur des télécommunications et concevoir une approche unifiée à même de développer le secteur des TIC dans les pays arabes.

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OUARGLA - Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (P-TIC), Moussa Benhamadi, a mis l’accent, jeudi à Ouargla, sur la priorité à accorder aux projets novateurs en matière de TIC pour bénéficier des opérations d’accompagnement et d’orientation assurées par les parcs technologiques.
 

"La priorité sera accordée aux projets novateurs susceptibles d’apporter une valeur ajoutée et de répondre effectivement aux besoins des consommateurs", a indiqué M. Benhamadi lors d’une cérémonie d’inauguration du siège, temporaire, du techno parc régional d’Ouargla.

Pour le ministre, "ce techno parc régional, accueillant actuellement 16 porteurs de projets, constitue une occasion pour les jeunes doués et promus d’universités, de bénéficier du soutien nécessaire, d’obtenir un emploi et de se voir ouvrir de nouveaux horizons sur les marchés national, régional et même international".

Cet espace propose un incubateur pour l’accompagnement des porteurs de projets dans le domaine des TIC, a souligné M. Benhamadi, avant d’ajouter que la "réussite de ces techno parcs repose, en plus de la mobilisation des moyens humains et matériels nécessaires, sur la mobilisation des efforts de l’ensemble".

S’agissant de la faible couverture des régions du sud par l’Internet et son impact sur la qualité des prestations offertes, le ministre a fait état de "l’existence d’un plan à même de rattraper ce déficit et réduire l’écart existant en la matière entre les régions du Sud et du Nord du pays".

M. Benhamadi a signalé, dans ce cadre, que la wilaya d’Ouargla devra connaître prochainement une nette amélioration en matière de connexion à l’Internet, avec la mise en service de 9.000 nouvelles lignes en fibres optiques.

Dans le cadre de l’actuel programme quinquennal, "près de 6 millions de familles devront bénéficier de prestations, par fibre optique, et de nouvelles technologies assurant à la fois des prestations de téléphone, image et son, avec un haut débit atteignant 8 mégabits/seconde pour chaque utilisateur", a annoncé, en outre, le ministre.

Concernant la faible couverture des régions du Sud en téléphonie fixe et mobile, notamment sur certaines zones longeant l’axe de la RN-1, le ministre a affirmé que "des instructions ont été données aux directions de wilayas concernées pour faire une évaluation précise sur le taux de couverture dans les régions concernées afin de permettre d’entreprendre les mesures nécessaires à ce sujet".

M. Benhamadi a assuré, concernant le problème de disponibilité de liquidités dans certains bureaux de poste du sud du pays, que "les efforts se poursuivent pour remédier à cette situation, dont la généralisation de l’utilisation des cartes magnétiques afin d’atténuer le recours aux billets de banque et de réduire ainsi la demande sur la monnaie".

Au niveau du siège temporaire du techno parc de Ouargla, le ministre a suivi un exposé sur trois projets novateurs en N-TIC, en rapport avec l’exploitation de l’énergie solaire, l’agriculture et l’enseignement des langues étrangères.

M. Benhamadi a aussi inspecté, au niveau de la zone des équipements publics, le chantier du projet d’une nouvelle recette principale de la commune d’Ouargla.

D’une surface de 3.000 m2, ce projet, dont les travaux sont à 45% d’avancement, a bénéficié d’une enveloppe de 80 millions DA, selon sa fiche technique.

Le ministre a achevé sa visite d’une journée dans la wilaya par l’inspection du site devant accueillir le projet du techno parc régional, doté d’une enveloppe de 540 millions DA et couvrant une surface de 10 hectares.

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ALGER - Plus de 20.000 demandeurs d’emploi ont trouvé un poste de travail, dans différents secteurs d’activité, au cours des trois dernières années (2009-2011) grâce aux offres d’emplois publiées par les entreprises sur le portail "Emploitic.com", ont annoncé, lundi, les responsables de ce site.

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ALGER - L’accès au haut et très haut débit d’internet constitue un "défi national" à affirmé lundi à Alger le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi.
 

"Plus qu’un pari, l’accès au haut et très haut débit constitue désormais un défi national à relever", a souligné M. Benhamadi lors de la cérémonie d’installation de la commission nationale de large bande haut et très haut débit.

Evoquant la "mutation" que connaît l’Algérie à travers les multiples chantiers et réalisations en matière de développement socio-économique, il a souligné que les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont "incontournables", et les services d’accès haut débit et très haut débit (appelés aussi large bande), sont un "préalable" à leur généralisation dans le pays.

Le ministre a, en outre, relevé qu’à terme, les "localités qui n’auront pas accès au bon débit à un coût abordable, connaîtront des difficultés de développement", faisant savoir qu’"une entreprise ne s’y installera que si elle peut accéder au réseau à des débits convenables pour son activité".

"Qu’elles soient dans les zones urbaines, rurales ou dans le sud, les localités doivent être correctement desservies en matière d’infrastructures transportant les données numériques à travers les réseaux à base de technologies de nouvelle génération filaire ou son fil", a-t-il souligné.

M. Benhamadi a insisté, dans le même cadre, sur la nécessité de tenir compte "particulièrement" des espaces ruraux où le coût de raccordement d’un abonné, notamment filaire, est bien plus élevé qu’en zone urbaine, "ce qui n’incitera donc pas les opérateurs privés ou publics à investir".

Il est devenu également nécessaire de "donner une impulsion" au déploiement des différents réseaux et "structurer" l’intervention des divers acteurs, a-t-il ajouté.

A cet égard, un réseau dorsal (backbone) à forte capacité de transport et suffisamment sécurisé par fibre optique constitue une "infrastructure fondamentale" dont le pays a besoin pour soutenir la croissance du large bande, a-t-il expliqué.

Les TIC représentent une "industrie de réseaux irriguant l’ensemble d’une économie et de son territoire" au même titre que les réseaux des transports de l’énergie, nécessaires pour le développement socio-économique, a-t-il encore relevé.

Le développement des infrastructures de télécommunications qui supportent ces réseaux requiert, de ce fait, le "concours de tout un ensemble d’intervenants au niveau central et au niveau local", où il est nécessaire de coordonner les apports de tout un chacun (pouvoirs publics, opérateurs, et autres acteurs du secteurs), afin de mieux planifier les programmes à mener et optimiser les investissements, a dit M. Benhamadi.

Concernant la commission nationale de large bande haut et très haut débit, il a précisé que le rôle de celle-ci consiste à "promouvoir" les accès haut et très haut débit aux réseaux de télécommunications à travers l’ensemble du territoire national afin de les "mettre à la portée de tous les citoyens dans le cadre d’une vision politique d’accélération de la réalisation des objectifs de développement national notamment à l’horizon 2014".

Il s’agit également de développer le large bande et répondre ainsi aux grandes priorités d’une société du savoir, "en accord avec les nouvelles réalités et les nouvelles opportunités du numérique dans une société et une économie connectées", a-t-il dit.

L’objectif de la commission porte, aussi, sur la généralisation de l’utilisation de l’internet et des autres TIC "dans l’intérêt de tous les citoyens et promouvoir le large bande comme moteur de la croissance économique", à la base d’investissements dans le secteur du numérique et créer ainsi une dynamique de développement du large bande, selon le ministre.

La commission aura également à "dresser l’état des lieux des infrastructures nationales du large bande et des taux de pénétration des accès aux réseaux de télécommunications et des usagers des TIC dans les différents secteurs socio-économiques du pays et par le grand public".

La mission de cette structure porte, en outre, sur les mesures réglementaires à entreprendre, par ordre de priorité, pour stimuler et appuyer fortement la généralisation de l’usage des TIC dans le pays", a ajouté le ministre.

La commission mènera également des "actions de sensibilisation relatives aux avantages socio-économiques du large bande", en donnant une importance particulière au "développement local des contenus, des applications et à la création d’une demande pour le large bande".

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Le cabinet d'études ComScore s'est intéressé à Google+ dans l'une de ses récentes études. Et la conclusion fait mal à Google surtout si on la compare au réseau social numéro un, Facebook...


3 minutes et 20 secondes ! C'est le temps que passeraient les utilisateurs de Google+ sur le site non pas par jour ni par semaine mais par mois! Un temps en baisse puisqu'il était estimé à 5 minutes et 60 secondes en novembre et à 4 minutes 48 secondes en décembre d'après le site d'information économique Bloomberg.

A savoir que les facebookeurs eux passent en moyenne 6 heures et 45 minutes sur Facebook par mois pour plus de 845 millions d'utilisateurs. Google+ lui ne recense que 90 millions de membres.

Google a tenu à s'exprimer suite à la parution de cette étude en prétendant que ces données étaient sous-évaluées mais le géant de Mountain View ne nous a fourni aucun chiffre pour nous convaincre.

Alors, qu'en pensez-vous ? Google+ vivrait ses dernières heures selon vous ?

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Mahieddine Djoudi, "eLearning in Algeria: Experiences On E-Learning in Algerian Universities", Demiray (Eds), e-LEARNING Practices, Cases on Challenges Facing E-Learning and National Development, Vol. 1, Anadolu University, Eskisehir, 2010, pp. 1-31.
 

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Lors d’une conférence de presse sur l’état actuel de la recherche scientifique en Algérie, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Hafid Aourag a indiqué que « L’Algérie a produit seulement 150 brevets depuis l’indépendance à cause du manque d’infrastructures de recherche et de moyens financiers ». Toutefois, M. Aouad a attribué ce nombre réduit de brevets au manque de moyens financiers des chercheurs.

Pour remédier à cette situation, M. Aourag a annoncé que « Les laboratoires de recherche scientifique vont désormais financer les brevets au profit des chercheurs » et ce, dans le cadre de la nouvelle procédure mise en place par le ministère de la Recherche scientifique et du développement technologique, estimant que le nombre de ces brevets va augmenter dans un roche avenir.

samedi 25 février 2012 | Khalil.Hedna@setif.info
http://www.setif.info/article6268.html

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