Nouvelles

le 25.11.12 | 16h20

Les citoyens algériens "sont en droit d'exiger la disponibilité d'Internet et la qualité des services qui lui sont liés", a souligné le ministre de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, M. Moussa Benhamadi, lors d'une rencontre avec les fournisseurs d'accès à Internet en Algérie (ISP), a indiqué dimanche le ministère dans un communiqué.

Benhamadi a notamment rappelé aux ISP que "l'heure est à la nécessité de l'accélération de l'Internet, et que les citoyens sont en droit, aujourd'hui, non seulement de le demander mais aussi d'exiger sa disponibilité et la qualité des services qui lui sont liés", a-t-on affirmé de même source.

Pour le ministre, "il est inadmissible que notre pays qui a engagé des moyens financiers et matériels importants pour la mise en place, la mise à niveau et le développement des infrastructures des télécoms puisse enregistrer des poches dans différents lieux en matière d'accès à l'Internet".

Il a estimé, dans ce cadre, que le citoyen réclame aujourd'hui "plus que l'eau, l'électricité et le gaz". Il exige, a-t-il dit, l'accès à l'Internet.

Le ministre a annoncé, à l'adresse des ISP, que la loi 2000/03 sera remplacée par une nouvelle loi en 2013, laquelle, a-t-il expliqué, va prendre en charge les différentes insuffisances sur le plan juridique, "ce qui va donner plus de latitude aux ISP afin de s'accomoder de leur rôle de partenaire, non seulement pour le service d'accès à l'Internet, mais aussi pour le développement du contenu numérique".

El Watan avec APS
 

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Selon Zoheir Meziane, conseiller auprès du ministère de la Poste et des TIC (MPTIC) et directeur de la communication, les directions des technologies de l’information et de la communication de chacune des wilayas algériennes organisent donc depuis hier des activités et des portes ouvertes sur le domaine des TIC, incluant des jeux, des concours, ainsi que des espaces d’accès internet.

Émanant d’une initiative de l’Union africaine, la Semaine africaine des TIC a pour objectif de promouvoir l’utilisation des ces technologies en Afrique. Elle est d’ailleurs très médiatisée par le ministère algérien de la Poste et des TIC, à travers des communiqués de presse, l’envoi de SMS, ou encore sur le site web du ministère.

Par ailleurs, afin de célébrer l’évènement, les universités d’Oran, de Ouargla, de Constantine et de Bechar, ont été reliées par satellite à d’autres entités africaines.

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PR Newswire

AMSTERDAM, November 15, 2012 /PRNewswire/ --

Elsevier, a world-leading provider of scientific, technical, and medical information products and services, announces the winners of the Algerian Senior and Early Career Researcher Awards in Chemistry. The award ceremony was held on November 8 at the Sofitel in Algiers, Algeria.

The awards, sponsored by Reaxys®, are designed to highlight and reward two generations of chemists in Algeria. The criteria used to assess candidates included: recent publication history, publications in impactful journals, citations, and H-index. Award winners were selected by members of the General Directorate for Scientific Research and Technological Development from the Algerian Ministry of Higher Education & Research.

The Algerian Senior Researcher Award in Chemistry was awarded to Prof. Zahia Kabouche from the Université Mentouri Constantine. Prof. Kabouche has published extensively in the field of natural products chemistry. Her career began in 1987 at the University of Constantine. She is currently professor of Organic Chemistry and director of the Therapeutic Substances Laboratory at the Université Mentouri Constantine. Prof. Zahia was presented with a trophy and one of Elsevier's major reference-works.

The Algerian Early Career Researcher Award was awarded to Mr. Dr. Khaldoun Bachari from the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. Dr. Bachari's research is in the field of mesoporous materials. His career began in 2000 at the Université of Sciences and Technology Houari Boumediene (USTHB). He is currently a research director and the President of the scientific board of the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. In recognition of his award, Dr. Khaldoun Bachari will be provided with funding to enable his attendance at a leading European chemistry conference in 2013.

"In science it is a sacred duty for us to discover the truth and it is a researcher's duty to protect science," said Professor Hafid Aourag, Director General of Scientific Research of the Ministry of Higher Education, Algeria in his congratulatory speech at the award ceremony. "I am very pleased we are meeting tonight to honour two of our nation's most distinguished researchers."

"For Reaxys, our goal is to enable researchers to do what they do best: make new discoveries", said Dr. David Evans, Scientific Affairs Director, Reed Elsevier Properties SA. "To help them do this, we strive to deliver the right information to them at the right time in the right context. Initiatives like these awards help motivate the scientific community to drive new discovery and ultimately bring exciting results and innovations."

About the Algerian Ministry of Higher Education & Research
The Ministry of Higher Education and Scientific Research is the department responsible for the development and the progress of the academic sector and scientific research in Algeria. To achieve these objectives, the ministry has created two institutions: The Research Centre on Scientific and Technical Information (CERIST) was founded in 1985 with the primary objective to implement programs of scientific research and technological development in the field of information science and technology. The General Directorate for Scientific Research and Technological Development (DG-RSDT) came into being in September 2009, and was set up by law # 08-05 of February 23, 2008, which defines the five-year scientific national research plan (2008-2012), expected to move the Algerian research system to excellency for a sustainable development. By this law, the DG-RSDT is the principal enabler of national scientific research and development.

About Reaxys
Reaxys® is a workflow solution for research chemists. Offering a wealth of experimentally validated information, Reaxys® combines reaction and substance data in organic, organometallic, inorganic and physical chemistry with synthesis planning. Researchers can get the information they need in a single overview, from source publications carefully selected for their importance and relevance to research chemists. Elsevier continues to engage with the chemistry community to ensure that Reaxys® continues to reflect how chemists think and work. https://www.reaxys.com/info/

Reaxys® and the Reaxys® trademark are owned and protected by Reed Elsevier Properties SA. All rights reserved

About Elsevier
Elsevier is a world-leading provider of scientific, technical and medical information products and services. The company works in partnership with the global science and health communities to publish more than 2,000 journals, including The Lancet and Cell, and close to 20,000 book titles, including major reference works from Mosby and Saunders. Elsevier's online solutions include ScienceDirect, Scopus, Reaxys, ClinicalKey and Mosby's Nursing Suite, which enhance the productivity of science and health professionals, and the SciVal suite and MEDai's Pinpoint Review, which help research and health care institutions deliver better outcomes more cost-effectively.

A global business headquartered in Amsterdam, Elsevier employs 7,000 people worldwide. The company is part of Reed Elsevier Group PLC, a world-leading publisher and information provider, which is jointly owned by Reed Elsevier PLC and Reed Elsevier NV. The ticker symbols are REN (Euronext Amsterdam), REL (London Stock Exchange), RUK and ENL (New York Stock Exchange).

Media contact
Harald Boersma
Senior Manager Corporate Relations Elsevier
+31-20-485-27-36
h.boersma@elsevier.com

 

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Près 60% des internautes Algériens sont âgés entre 15 et 34 ans. Ils sont également les plus grands utilisateurs de l’internet en Algérie, selon une étude effectuée en 2010 par la société IMMAR Research & Consultancy.

Sur les 4,3 millions d’internautes algériens, 2. 525 000 sont âgés de 15 à 24 ans (36,9%), 1.125.000, de 25 à 34 ans (20,2%). Ces deux catégories d’âge (15-34 ans) représentent près de 60% des internautes algériens.

En revanche, le taux chute davantage chez les 35-44 ans (9,7%) avec 425. 000 internautes, 225.000 chez les 45-54 ans (5,23) et 55 ans et plus (2,1%).

Toujours selon la même étude, l”Est de l’Algérie compte le plus grand nombre d’internautes (1.773.000), le Centre occupant la deuxième position avec 1.330.000 internautes, suivi de l’Ouest avec 847.000 et le Sud avec 350.000.

Par sexe, ce sont les hommes qui sont beaucoup plus portés sur l’internet puisqu’ils sont 3 .025.000 à se connecter contre 1.275.000 chez la gent féminine.

Alors que par catégorie d’âge, les internautes de 15 à 24 ans arrivent en tête (36,9%), suivis de loin par la tranche 25-34 ans, puis chez les 45-54 (5,3%) et les plus de 55 ans (2,1%).

Par niveau d’instruction, le taux le plus élevé est à l’actif des universitaires dont 60,5% se connectent. Ceux justifiant d’un niveau secondaire atteignent un taux de 40,4%, contre 24,8% pour le niveau moyen (collège), 9,9% pour le primaire et 2,9% pour les non-scolarisés.

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Windows perd sa tête - par Belkherfi
Cette nuit, l’annonce a surpris le monde informatique : Steven Sinofsky quitte Microsoft ! Steven était l’homme qui avait sous son contrôle Windows, qui a redressé Internet Explorer, Office, Windows Live. Il avait œuvré à Windows 7 et au tout dernier Windows 8. Steven quitte toutes fonctions au sein de Microsoft dès aujourd’hui et est remplacé par Julie Larson-Green. Ce départ immédiat intrigue et les messages officiels ne fournissent finalement aucunes informations précises sur les raisons de ce départ aussi précipité.

Est-ce un problème de gestion interne ? Sont-ce les faiblesses de Surface ? Des problèmes d’ego ? Difficile de dire. Microsoft se fait très discret sur les ventes des tablettes Surface sous Windows RT, Steve Ballmer se bornant à évoquer un bon accueil et à évoquer les prochaines tablettes. Ce dernier point est intéressant car cela démontre une certaine fébrilité sur les actuelles tablettes Surface mais parler des futurs produits n’aide pas à vendre et à positionner Windows RT qui souffrent d’une visibilité très limitée en magasins, de plusieurs défauts remontés par les acheteurs, incompatibilité des applications actuelles et la polémique récente sur le volume de stockage réellement disponible. Steve Ballmer évoque dans son hommage à Steven le fait d’aller plus vite dans la conception et la sortie des produits. Est-ce une cause de cette annonce surprise ?

Le patch de sécurité a aussi suscité quelques commentaires avec la présence de corrections de plusieurs failles critiques dans les Windows sortis il y a quelques semaines… Sans oublier, un autre chantier qui s’annonce périlleux : l’interface Moden UI (ex-Metro) notamment sur l’ordinateur non tactile… D’ailleurs, Facebook a dit de ne pas avoir de plan (au moins à court terme) sur une application Facebook pour Windows 8 – Modern UI !

A suivre.

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Internet Explorer 10 est donc disponible en préversion pour Windows 7. Microsoft est donc « dans les temps » puisque l’éditeur avait indiqué le mois dernier que l’évènement se tiendrait mi-novembre. Rappelons que le nouveau navigateur maison ne concernera que Windows 7 pour les anciens Windows.

Globalement, Internet Explorer 9 et 10 sont similaires dans leur présentation. L’installation par exemple ressemble trait pour trait à la précédente version. Notez évidemment qu’il s’agit d’une préversion et cela peut changer d’ici la version finale. La présentation générale est également la même, mais ce n’est pas une surprise. En effet, Internet Explorer 10 dans Windows 8 n’a rien changé à son interface. Côté utilisateur, on se retrouve donc en terrain familier.

Le même moteur que pour la version Windows 8

Finalement, les nouveautés sont à chercher sous le capot. Et ici, pas de surprise non plus puisque les améliorations portent essentiellement sur les performances et le support des technologies du web. Pour ces dernières, on notera surtout la prise en charge :

  • De plusieurs éléments CSS3 tels que grid, flexbox, multi-column, positioned floats, regions, et hyphenation
  • Des effets visuels CSS3 : Text Shadow, 3D Transforms, Transitions, Animations et Gradient
  • Des SVG Filter Effects
  • De technologies diverses encadrant le HTML5 : la File API, le Sandboxing, le Drag-drop, les Web Workers, les Web Sockets, Application Cache, IndexedDb ou encore le Strict mode de l’ECMAScript 5.

Le moteur de rendu est donc le même, et Microsoft précise que les performances seront, à machines égales, les mêmes elles-aussi.

On remarquera cependant que le lissage des polices n'est pas le même, celui sous WIndows 8 donnant parfois une désagréable impression de flou que l'on ne retrouve pas dans Windows 7 :

 

Le Do Not Track activé par défaut

La similarité est telle que même le réglage DNT (Do Not Track) est activé par défaut. Il s’agit pour rappel de la fonctionnalité permettant de bloquer le suivi publicitaire opéré par les sites et permettant de personnaliser les publicités en ligne. L’activation par défaut dans Internet Explorer a provoqué de nombreuses discussions sur le sujet et la répercussion dans Windows 7 ne va pas calmer les débats. À noter toutefois que Microsoft parle du DNT comme d’une technologie dans ses premières étapes d’élaboration, s’ouvrant ainsi une porte de sortie en cas de nouvelle ligne de conduite.

La préversion d’Internet Explorer 10 pour Windows 7 peut être téléchargée depuis liens ci-dessous (version française) :

Attention : l'installation de cette préversion remplace toute version d'Internet Explorer présente sur le système.

 

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Le ministère de l’éducation nationale a eu l’ingénieuse idée de lancer lundi dernier un réseau informatique internet et intranet, tout beau, tout neuf, qui le relie à des directions de wilayas via 14 sites de communication.



Cette connexion concerne 6 wilayas stratégiques et je cite, Alger, Blida, Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bouira et Tamanrasset mais aussi l’Institut National de Recherche sur l’éducation, le Centre National d’insertion des Innovations Pédagogiques et de Développement des Technologies de l’Information et de la Communication en matière d’éducation.

A travers cette ouverture sur les nouvelles technologies, le secteur de l’Education tente –et c’est le cas de le dire !- d’ »améliorer le niveau d’instruction des élèves et la performance des enseignants et agents administratifs », a indiqué dans ce cadre, le ministre de l’Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed.

Ce projet se fera en trois étapes. La première concernera la liaison de 50 directions de l’éducation à l’administration centrale, la seconde 2000 lycées et 5000 collèges tandis que la troisième étape touchera 18.000 écoles primaires.

Le lancement officiel de la connexion de 50 directions de l’éducation aura lieu avant la fin de l’année 2012, a fait savoir M. Baba Ahmed.

Par ailleurs, le ministre de l’Education a précisé pour le grand bonheur de nos charmantes petites têtes blondes que le contenu du livre scolaire a été totalement numérisé et se trouve sur des CD-ROM à l’Office National des Publications Scolaires (ONPS) et que ces derniers pourraient bientôt être mis sur une base données, sur laquelle ils pourront être consultés par les élèves ainsi que les enseignants et ce, pour enfin se débarrasser définitivement du fardeau cauchemardesque du cartable scolaire qui a créé plus de hernies discales que de génies.

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La fondation Mozilla n’est guère ravie et se choppe un gros coup de blues, et ça se comprend. Entre février 2011 et juillet 2012, elle aurait perdu entre 6 et 9 millions de téléchargements en raison de l’absence d’écran de choix du navigateur dans Windows 7.


Source : Mozilla.org
Cité par le site ZDNet.fr, Harvey Anderson, le directeur juridique de la fondation, a affirmé que le taux de téléchargement a ainsi chuté à 20 000 par jour durant cette période.

Une fois que cette écran a été remis en place, les téléchargements ont bondi de 150% à presque 50 000 par jour.

Pour autant, une procédure a été ouverte par la commission européenne qui attend désormais les explications de Microsoft quant à ce manquement à ses obligations légales.

Le chiffre communiqué par Mozilla ne tombe donc pas du tout par hasard. Microsoft risque une amende équivalente à 10 % de son chiffre d’affaires en 2011, soit 7 milliards de dollars.

A votre avis, complot, ou pas complot ? Mystère et boule de gomme.

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Le dernier OS de Microsoft, Windows 8, sorti le 26 octobre dernier à travers le monde, devrait débarquer chez nous au début de l’année prochaine, et plus précisément en janvier.


Source photo : TechRadar
Selon le communiqué de Microsoft Algérie, l’OS sera disponible en deux versions : Windows 8 et Windows 8 Pro. Déjà vendu à 4 millions d’exemplaires, le dernier né de la firme de Redmond signe un remaniement de Windows, selon le PDG de Microsoft Algérie.

Le site officiel de Microsoft offre également la possibilité de passer à la dernière version de son OS en achetant une licence, professionnelle ou grand public.

En sus de la mise sur le marché du Windows 8, Microsoft Algérie a tenu à rappeler la mise hors service de deux autres produits maison, à savoir Windows-XP et Microsoft Office 2003 et ce, avant avril 2014.

Amenés à les remplacer à terme, Windows 7 et Office 2010 sont d’ores et déjà disponibles en attendant la mise en vente de Windows 8 et Office 2013.

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Bien arrivé En Algérie!!!
L'opportunité QNet est à la disposition de toute personne désireuse et capable de travailler d'arrache-pied dans un secteur dynamique en plein essor.

Conditions requises

Le marketing de réseau permet aux vendeurs de choisir leurs horaires et leur lieu de travail et ne nécessite qu'un investissement financier limité. En outre, aucune qualification spécifique n'est nécessaire pour devenir vendeur pour le compte d'une entreprise de marketing en réseau. En effet, l'entreprise propose une formation visant à développer les compétences nécessaires, ainsi qu'une formation en marketing. Ce volet formation fait partie intégrante des opportunités d'affaires proposées.

Une opportunité véritablement unique

L'opportunité Qnet est basée sur une plateforme de commerce électronique et concerne principalement la promotion et la vente de nos produits à des clients et à d'autres entrepreneurs comme vous. Le marketing de réseau est un moyen viable et efficace de générer des revenus supplémentaires ou de remplacer entièrement un salaire, notamment au cours de périodes économiques difficiles. Cela est particulièrement vrai au cours des périodes de récession, dans la mesure où l'industrie du marketing de réseau se développe tout de même au cours de celles-ci et, bien évidemment, représente aussi un choix de carrière attrayant lorsque  l'économie est plus stable.

Votre rôle

Comme pour toute opportunité, la réussite se mesure à l'aune de ce qu'en fait une personne. Les activités QNet ne sont pas destinées aux personnes qui cherchent une solution facile, ni un « plan pour faire fortune rapidement ». À l'instar de ceux qui ont déjà connu le succès grâce à QNet, vous devez travailler dur, penser intelligemment, rester engagé, être préparé à affronter les échecs du départ et être engagé à suivre à la lettre le plan commercial établi et éprouvé. QNet vous procure tous les outils nécessaires pour couronner vos affaires de succès.

Un travail qui s'adapte

Un avantage réel de l'opportunité d'affaires réside dans le fait que vous pouvez réellement adapter votre activité, afin de l'intégrer dans votre vie et vos habitudes actuelles. Un autre avantage tout aussi excitant réside dans le fait que vous pouvez devenir votre propre patron et obtenir une indépendance financière selon vos PROPRES critères.
 

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Dernier Appel à la mise en ligne
des projets PNR et des rapports d'étape sur la plateforme "pnr.nasr.dz"

Date limite 15 novembre 2012


 

 

Il nous a été signalé d’importants retards dans le versement de la première tranche (25%) des rétributions des enseignants-chercheurs impliqués dans les PNR, ainsi que des difficultés rencontrées par des chefs de projets dans l’utilisation de leurs budgets de fonctionnement. Le Directeur Général a donné instruction afin que ces dysfonctionnements soient inventoriés et discutés avec les principaux responsables des établissements de domiciliation des projets. Il nous est très difficile de changer les domiciliations des projets d’un établissement à un autre, mais peut être qu’il y a lieu d’envisager une gestion centralisée au niveau du Vice-Rectorat de la Recherche, pour les projets en souffrance, où des conflits d’intérêts persévèrent.

Par ailleurs, Il est impératif que l’ensemble des porteurs de projets, ainsi que les chercheurs impliqués dans les PNR intègrent les données de leur projet sur la plateforme CERIST (pnr.nasr.dz). Seuls les projets mis en ligne sur la plateforme seront éligibles au financement de la deuxième année (rétribution et fonctionnement). Les chefs de projets PNR sont invités à compléter la saisie des données sur la plateforme, avant le 15 novembre 2012, délais de rigueur.

Les experts des projets PNR devront valider entre le 15 et le 20 novembre 2012 leur rapport d’étape sur la base des données intégrées dans la plateforme. Les projets non saisis ne seront pas reconduits de fait.

Mise en ligne le 24 Octobre 2012
Pr M. Sellami, DPREP

 

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Les numéros de mobiles utilisés dans la fonction de sécurité de Facebook « Login Approvals » ne seront plus consultables sur le réseau social.

Les utilisateurs de Facebook qui ont associé un numéro de mobile à leur compte afin d'utiliser la fonction de sécurité « Login Approvals » (ou autorisation de connexion) ne pourront bientôt plus être retrouvés à partir de ces numéros, a indiqué le réseau social hier. Le système de recherche de Facebook fournit une fonctionnalité de recherche inversée qui permet aux utilisateurs de trouver d'autres personnes sur le site en recherchant leurs numéros de téléphone ou adresses e-mail au lieu de leurs noms.

« Alors que nous l'avons constamment inséré sur nos outils de sécurité pour mieux protéger nos utilisateurs, nous avons désactivé la fonctionnalité de recherche inversée pour ceux qui utilisent l'autorisation de connexion jusqu'à ce que nous puissions fournir de nouveaux systèmes pour rendre ce service optionnel », a indiqué un porte-parole de Facebook.

Prévenir les abus

« Login Approvals » est une fonction d'authentification à deux niveaux qui oblige les utilisateurs à saisir régulièrement des codes spéciaux envoyés sur leurs téléphones mobiles en plus de leurs mots de passe, lors de la tentative de connexion à partir d'un nouveau terminal. Le dispositif est conçu pour prévenir les abus au cas où le mot de passe de l'utilisateur serait compromis. Cette restriction supplémentaire ne s'applique qu'aux numéros de téléphones portables utilisés pour une authentification à deux niveaux, et non pas à chaque numéro ajouté en utilisant « Informations sur le contact » (Contact Info) sur les profils, a précisé le représentant de Facebook.

La semaine dernière, Facebook a limité la vitesse à laquelle les numéros de téléphone pouvaient être consultés sur sa version mobile afin de bloquer une méthode de collecte signalée par le chercheur indien en sécurité, Suriya Prakash. Celui-ci avait indiqué, le 5 octobre dernier, que cette fonctionnalité de recherche inversée pouvait être détournée pour rechercher des milliers de numéros de téléphone afin de trouver les profils Facebook associés. Les utilisateurs peuvent lier plusieurs numéros à leurs comptes et spécifier si ces derniers doivent être visibles pour le grand public, leurs amis ou seulement eux-mêmes. Toutefois, la suppression de la recherche à partir des numéros de téléphone se fait à partir de différentes options : dans « Paramètres de confidentialité » « Comment se connecter » et « Qui peut vous chercher en utilisant l'adresse email ou le numéro de téléphone que vous avez fourni. ».

Le paramètre par défaut pour cette option est «Tout le monde», mais il peut être modifié en « Amis » ou « Amis d'Amis »" Il n'existe aucune option pour le désactiver complètement. La suppression de la recherche à partir des numéros d'authentification est temporaire. Facebook travaille sur la mise en oeuvre d'un système qui permettra aux utilisateurs de décider s'ils veulent les rendre consultables. Toutefois, la société n'a pas précisé si le service permettra aux utilisateurs d'empêcher d'autres personnes de les trouver s'ils se sont basés sur l'un des numéros de téléphone qu'il ont ajouté à leurs profils.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-facebook-supprime-la-recherche-a-partir-des-numeros-de-telephone-d-authentification-50867.html

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Les États-Unis ont clairement indiqué aux Nations Unies, et à son agence UIT, qu'ils n'avaient pas l'intention d'abandonner le contrôle de l'Internet.

À l'heure actuelle, l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), est chargé de superviser l'immense réseau interconnecté d'identifiants uniques qui permet aux ordinateurs de se reconnaître entre eux sur Internet. L'organisme, basé aux États-Unis, est responsable de la coordination des espaces d'adressage IP, de l'attribution des blocs d'adresses, de la gestion des registraires et des noms de domaine nationaux de premier niveau.

Cependant, certains pays ont suggéré que l'Union internationale des télécommunications (UIT), l'agence de l'ONU chargée de favoriser le développement des technologies de la communication, pourrait prendre en charge des tâches gérées par l'ICANN. Lors de la conférence qu'organise l'UIT à Dubaï au mois de décembre, les représentants de 178 pays ont été invités à réviser le Règlement des télécommunications internationales (RTI), qui définit la façon dont doit circuler le trafic entre les réseaux de télécommunications dans différents pays. On sait, suite à une information publiée par le site Wcitleaks.org, que, pendant la conférence, la Russie a l'intention de demander à ce que l'UIT soit chargée de l'attribution des adresses IP et de « la détermination des conditions requises ». La proposition russe devrait être soutenue par plusieurs autres pays, dont la Chine.

Pas de concession sur le contrôle du réseau

Mais les États-Unis ont déjà fait connaître la position qu'ils défendront à Dubaï en indiquant qu'ils étaient préoccupés par le fait que « les propositions de certains gouvernements pourraient entraîner une augmentation des contraintes réglementaires pesant sur le secteur international des télécommunications ». Terry Kramer, le représentant des États-Unis à la conférence a également déclaré que «les États-Unis estiment également que les institutions multipartites existantes, y compris l'industrie et la société civile, ont fonctionné de manière efficace et continueront à s'assurer de la bonne santé et de la croissance de l'Internet et de tous ses avantages ».

De son côté, l'UIT a clairement indiqué que toute modification du traité devait se faire à l'unanimité, et qu'elle bloquerait les membres qui tenteraient de soumettre toute question à un vote. «Nous n'avons jamais voté parce que le vote signifie qu'il y a des gagnants et des perdants, et nous ne pouvons pas nous le permettre », a déclaré à la BBC le secrétaire général de l'UIT, le Dr Hamadoun Touré. « Si un seul pays refuse la motion, celle-ci ne passera pas ».

Voilà un certain temps que la bataille pour le contrôle de l'Internet fait rage et elle n'est pas près de s'apaiser. La question avait déjà été au coeur des débats en 2003, lors du Sommet mondial que l'UIT avait organisé sur la société de l'Information.

Source : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-etats-unis-veulent-conserver-le-controle-de-l-internet-50313.html

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EN BREF. Le géant des réseaux sociaux vient de passer un partenariat avec l'éditeur d'antivirus AVG afin de réduire le danger liés aux liens pointant vers des liens corrompus.

Un milliard d'utilisateurs et chaque seconde des centaines, des milliers de messages partagés, de liens postés. Au milieu de cette masse, évidemment, des messages malveillants, techniquement parlant.

Pour lutter contre cette tendance et éviter de devenir le canal de prédilection de tous les producteurs de scams et autres phishing, Facebook vient de passer un accord avec l'éditeur de solution d'antivirus AVG. La solution sera déployée de telle sorte qu'elle scannera les liens postés et évitera leur diffusion.

« Avec un milliard d'utilisateurs, nous nous engageons en permanence pour conserver la sécurité de nos utilisateurs et de leurs données. », déclarait ainsi Joe Sullivan, responsable des solutions logicielles chez Facebook.

Cette décision répond à une véritable préoccupation et tendance du petit monde de la sécurité informatique. Ainsi, en août dernier, l'université californienne de Riverside annonçait mettre en place, en bêta, une application Facebook capable de détecter les posts et messages malintentionnés.

Source : http://www.01net.com/editorial/578045/facebook-passe-un-accord-avec-avg-pour-la-securite-de-ses-utilisateurs/

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Google intègre depuis lundi son outil de recherche sur tous ses services, y compris Gmail, Drive et Agenda. Disponible uniquement en anglais, l'option peut être activée depuis la page test de Google.

Google a débuté lundi l'essai d'un dispositif de recherche personnalisé qui permettrait aux utilisateurs de Gmail de trouver une information parmi les résultats obtenus depuis le web mais aussi à partir d'autres services tels que Drive et Agenda.

Les recherches sur Google.com devrait ainsi comprendre les informations et les messages les plus pertinents en provenance de Gmail et de nombreux autres fichiers, documents ou encore feuilles de calcul depuis Drive.

Afin d'être distincts, ces résultats seront affichés sur le côté droit de la page. "Quand vous êtes à la recherche de quelque chose, vous devriez être en mesure de trouver ce dont vous avez besoin rapidement et facilement sans avoir à penser aux endroits où l'information pourrait se trouver; que ce soit dans votre e-mail ou sur le web public" déclare ainsi l'ingénieur logiciel Bram Moolenaar dans un article de blog paru lundi.

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L’Algérie et l’Egypte vont signer prochainement une convention dans le domaine des TIC. Une convention qui permettra aux deux pays de renforcer leur coopération sur différents volets à l’image de la cyber-sécurité, le développement et la e –gouvernance.


Présenté mardi par le Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Moussa Benhamadi, à son homologue égyptien, Hani Mahmoud, en visite à Alger, ce projet de convention se veut ambitieux et permettra de rapprocher encore davantage les deux pays dans le domaine des TIC, un secteur stratégique pour le développement économique. Par ailleurs, selon Moussa Benhamadi, la convention sera signée entre les deux pays au plus tard dans un mois.

« Nous voulons profiter de l’expérience égyptienne en matière de TIC, d’établissement et de gestion des villages intelligents et l’application des programmes spécifiques pour la formation de nos cadres », a précisé encore à ce sujet M. Benhamadi.

Il faut dire que l’expérience égyptienne dans le domaine de la création des contenus internet est reconnue mondialement. A ce titre, l’Algérie cherche à tirer profit d’un partenariat noué avec l’Egypte dans ce secteur qui se développe à peine dans notre pays. « L’Egypte possède une bonne expérience dans le domaine du développement des contenus. Elle est même l’un des acteurs majeurs dans le monde arabe en la matière. Nous voulons profiter de leur expérience dans ce domaine afin de consolider le contenu arabe, notamment en matière de Soft-Engineering », a expliqué, pour sa part, Moussa Benhamadi.

« L’Egypte est également leader dans le domaine de la sécurité des systèmes. Ils ont de l’expérience concernant la sécurisation des systèmes. Nous voulons aller vers la création d’un centre de sécurisation en nous faisant accompagner par nos amis égyptiens », a-t-il ajouté également.

Soulignons enfin que l’Egypte apportera aussi une aide à l’Algérie dans le domaine de la formation car notre pays a « des besoins urgents en matière de formation, notamment en matière d’échanges de la sécurité des systèmes et des réseaux », a avoué le Ministre, lequel a révélé en dernier lieu qu’un « premier groupe de cadres algériens se rendra pour des formations au Caire à partir du 1er décembre prochain ».

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Le colloque sur la contribution de la diaspora algérienne à l’investissement en Algérie organisé, par les associations REAGE et AIDA le 11 octobre 2012 à Paris, a attiré selon les estimations d’un des organisateurs environ 250 personnes en provenance de France et d’Angleterre.

De notre

envoyé à Paris

Ils étaient pour la plupart en quête d’informations susceptibles de les conforter sur la volonté du gouvernement algérien de solliciter sincèrement leur contribution en leur facilitant notamment le travail d’approche. Ils ne trouveront malheureusement rien de nouveau dans les informations qu’ils ont pu glaner au niveau des institutions publiques et associations algériennes présentes à ce forum. Rien également au niveau des exposés qui se sont contentés de dresser un état des lieux déjà connu au moment où les élites expatriées présentes attendaient surtout de saisir, à travers le discours de notre ambassadeur en France, des signaux forts du gouvernement algérien.

Des signaux forts, il n’y en aura point et notre diaspora qui a déjà fort à faire dans le pays d’accueil continuera légitimement à attendre que quelque chose de nouveau, mais surtout de positif se passe en Algérie pour éventuellement prendre une décision en matière d’investissement. Evoquée périodiquement à coups de slogans plutôt que d’objectifs concrets et de moyens pour y parvenir, la question de la contribution de notre diaspora n’a de ce fait pas connu d’avancée notable. La question revient en effet de façon récurrente depuis la fin des années 1970, période à laquelle les autorités du pays avaient nourri l’espoir de la faire participer au développement du pays en offrant notamment aux élites les mieux formées des carrières dans nos universités et centres de recherche.

En faisant valoir des considérations d’ordre patriotique et sentimental plutôt que des garanties d’utilisations rationnelles bénéfiques, aussi bien pour le pays que pour les concernés, les appels des autorités politiques algériennes se sont constamment avérés  infructueux. Peu d’élites expatriées ont en effet tenté l’aventure de s’installer dans leur pays d’origine et pour ceux qui ont pris le risque de le faire, la déception suivie d’un retour à la case départ a souvent couronné l’initiative. Il faut dire qu’il a toujours existé dans notre pays un net décalage entre le discours politique favorable à un  recours intensif à notre diaspora et la réalité du terrain faite, comme on le sait, de réticences au recours aux élites expatriées que d’aucuns, parmi les responsables en poste, considèrent comme des concurrents potentiels.

La machine bureaucratique est alors actionnée pour les dissuader de se mettre au service de leur pays. Mais, pire encore, les machinations destinées à dissuader ces élites à revenir dans leur pays affecteront également les diplômés locaux qui sortent des universités algériennes et qu’on encouragera par toutes sortes de moyens pernicieux à quitter l’Algérie pour se mettre au service de pays étrangers. C’est ainsi qu’en moins de trente années, la diaspora algérienne à l’étranger aurait atteint le chiffre astronomique de 300 000 personnes, selon les estimations du REAGE.

Que de promesses non tenues !

Les données économiques et sociales plaidant aujourd’hui pour un appel à ces élites qui disposent, il est vrai, d’un très fort potentiel de contribution à l’effort de développement, il est dans la logique des choses de solliciter leurs apports et contributions multiformes, notamment en matière d’investissement et de création d’entreprises. Mais l’efficacité de la communication en direction de ces élites requiert que l’on change de méthode et qu’on abandonne l’approche sentimentale qui a montré son inefficacité, au profit d’une méthode plus pragmatique consistant à considérer les élites expatriées non pas comme des personnes tenues de remplir un devoir patriotique, mais comme des acteurs économiques autorisés à bénéficier des retombées positives de leurs actions. Il faut dire que ces dernières offrent la particularité d’être bien intégrées dans leur pays d’accueil, où elles ont, selon le cas, créé des entreprises, lancé des affaires qui marchent ou recrutées à de bons postes d’enseignants et chercheurs dans les universités et centres de recherche.

Elles n’envisagent une relation avec leur pays d’origine que dans la mesure où elles ont quelque chose à y gagner et qu’elles y partent avec un maximum de chances de réussite. On ne peut évidemment que comprendre ce souci de garantie quand on connaît l’instabilité juridique et le manque de visibilité économique qui prévalent dans notre pays, au point d’avoir valu de sérieux déboires aux élites expatriées qui s’y sont aventurées imprudemment sans prendre le soin de mesurer les risques financiers et managériaux qui les attendaient. Ce souci est d’autant plus compréhensible que les possibilités d’emploi et d’investissement sont énormes à travers le monde, où de nombreux pays sont en concurrence pour les attirer en rivalisant sur les avantages incitatifs.

L’Algérie ne semble malheureusement pas s’inscrire dans cette logique et en dépit des discours d’intention, force est de constater que rien de sérieux n’est malheureusement fait pour rendre le pays attractif aux investisseurs, en général, et à notre diaspora en particulier, qui pourrait, à l’évidence, jouer un rôle considérable en matière de promotion de l’investissement, de création d’entreprises, d’accompagnement des exportations hors hydrocarbures et de recherche-développement. Les appréciations malheureusement négatives des institutions internationales (Banque mondiale, FMI, etc.) que ces élites ne manquent pas de lire ne sont à l’évidence pas faites pour les inciter à engager de sitôt une aventure économique en Algérie. N’étant pas dans le besoin, il est bien évident que nos élites expatriées n’agiront en faveur du développement de leur pays que lorsque les gouvernants algériens auront enfin consenti à opérer les changements structurels souhaités. Ce que ces derniers ne sont, sommes nous forcés de constater, pas du tout pressés de faire.
 

 

Nordine Grim, El watan
 

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Le Laboratoire LaSTIC &
Le Département d'Informatique de l'Université de Batna

En partenariat avec le Réseau FORMATIC

Organisent à Batna (Algérie)

ICACIS2012

International Conference on Advanced
Communication and Information Systems


du 12 au 13 Décembre 2012
ICACIS 2012

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Des chercheurs de plusieurs pays africains sont présents à la 11e édition du colloque sur la recherche en informatique et en mathématiques.

Les chercheurs en informatique «sont les plus prolifiques» en Algérie avec trois publications par an. C’est Abdelhafid Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui l’a confirmé, hier, lors du colloque africain sur la recherche en informatique et en mathématiques appliquées qui tient sa 11e édition à Alger.

M. Aourag a souligné à cette occasion que l’Etat algérien «a investi dans 19 universités pour créer des centres de calcul intensif dans le but de développer des supercalculatrices». Ce qui permettra, d’après ses dires, de figurer dans le top 100 de l’informatique.
L’un des grand défis à relever dans le domaine de la recherche scientifique est d’«établir la présence et la place de l’Algérie dans le domaine du calcul intensif», a estimé M. Aourag, rappelant que notre pays était, dans les années 1980, «parmi les leaders» en la matière. Et d’ajouter : «Des moyens sont mobilisés dans le but de relever les défis en matière de soutien et de consolidation du développement des TIC par la concrétisation des projets lancés et en cours, notamment dans le domaine spatial et en calcul de haute performance.» L’informatique est «un domaine d’excellence» pour la recherche. Elle constitue par conséquent une priorité pour l’Etat algérien, a indiqué M. Aourag à l’ouverture de ce colloque.

Il a souligné, en outre, la nécessité de créer une «synergie» entre les pays africains en matière de TIC, affirmant que l’Algérie «peut être la locomotive de ce développement» à condition que les Africains manifestent leur volonté de coopérer. Un programme «riche et diversifié» est au menu de ce colloque de quatre jours, au quel participent des chercheurs de plusieurs pays africains spécialisés notamment dans la bio-informatique, le calcul scientifique, les méthodes numériques et les systèmes d’information décisionnels.
Il convient de préciser que le programme comporte 62 communications scientifiques sélectionnées parmi 166 articles soumis et des conférences animées par des spécialistes de renommée internationale.

 

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La société Microsoft a décidé d’intégrer la langue amazighe dans son logiciel Windows 8. L'alphabet choisi est le tifinagh.


Curieusement, un milliardaire saoudien, Walid Ibn Talal, s'est opposé farouchement à ce projet. En quoi l'introduction de tifinagh dans le monde des TIC et de la communication moderne pose-t-il problème à cet étranger à la langue et culture berbères ?


La cérémonie de lancement de cette innovation a, malgré tout, eu lieu, hier, à 10h, à Rabat. Le Maroc étant le premier pays maghrébin où tamazight est langue officielle.
 

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