Nouvelles

À la BlackHat — une conférence de hacker — K. Chen (de l'institut de technologie de Georgie) a montré comment hacker un clavier. Le clavier en question est celui proposé par Apple (tous les modèles « aluminium » sont touchés, ainsi que ceux intégrés dans les portables) et le hacker a réussi à intégrer un firmware modifié dans le clavier.
Un problème spécifique à Apple

Un firmware modifié permet par exemple de stocker les touches frappées par un utilisateur ou, dans l'exemple proposé ici, de faire clignoter les LED du clavier. Expliquons la méthode : les claviers sont tous basés sur un microcontrôleur et un peu de mémoire (on retrouve 8 ko de flash dans celui d'Apple), qui sont nécessaires pour le fonctionnement. Bien évidemment, il y a donc un logiciel, le firmware, qui gère le clavier, et c'est ce dernier qui a été modifié. Le hacker a profité d'une fonction de l'USB qui permet de mettre à jour un firmware à travers l'interface et surtout du fait qu'Apple a proposé, en 2008, une mise à jour du firmware de ses claviers. En modifiant le firmware et en utilisant le programme de mise à jour qu'Apple, il a réussi à envoyer un firmware modifié dans le clavier, ce qui est virtuellement indétectable par un antivirus. Dans la pratique, il explique que le code ne prend que 7 ko sur les 8 ko de la mémoire flash et qu'il est donc possible d'enregistrer des données et de les stocker dans le clavier, tout en programmant une série de touches pour permettre de récupérer les données. Par rapport au keyloggers classiques, que ce soit les logiciels ou les matériels, la manipulation a l'avantage d'être très discrète : il n'y a aucune trace logicielle sur l'ordinateur et le clavier n'est pas modifié matériellement.

Notons tout de même que la faille touche les claviers Apple pour deux raisons : Mac OS X donne facilement accès aux outils permettant de mettre à jour un firmware via l'USB et Apple a proposé une mise à jour de son clavier, contenant un firmware. Dans la pratique, la manipulation est possible sur la majorité des claviers USB mais rendue plus compliquée par l'absence de firmware à analyser à la base.

Source : Blackhat

Lire la suite


Microsoft, le numéro un mondial du logiciel et Yahoo, le numéro deux mondial des moteurs de recherches, viennent de signer un contrat de partenariat stratégique sur une période de 10 ans, axé sur la recherche sur internet et la publicité en ligne.

Dans la ligne de mire de ce partenariat, « Google », en effet, Microsoft, obtient l’accès au moteur de recherche en ligne Yahoo et espère drainer plus d’internautes et d’annonceurs. Les sites de Yahoo utiliseront à l'avenir Bing, un moteur de recherche récemment lancé par Microsoft, tandis que Microsoft combinera ses propres technologies des recherches avec celle de Yahoo.

L’accord permettra donc à Microsoft de rediriger des internautes qui utilisent Google, et permettra du coup à Yahoo d’augmenter son bénéfice d’exploitation de près de 500 millions de dollars.

Lire la suite


Windows 7, Internet Explorer et la Commission Européenne, épisode 3 : Microsoft a annoncé vendredi soir avoir finalement abandonné l'idée de livrer des versions spéciales de Windows 7 en Europe, les fameuses Windows 7 E dépourvues d'Internet Explorer.

Rappel des épisodes précédents : la Commission Européenne a ouvert une enquête sur l'effet de l'inclusion dans Windows d'Internet Explorer en janvier 2008, sur une plainte d'Opera Software. Cette enquête a conclu à la formulation de griefs contre Microsoft en janvier 2009 dans laquelle la Commission critiquait IE en ces mots : « La Commission considère que la vente liée de l'Internet Explorer avec Windows, qui a pour effet d’équiper de l'Internet Explorer 90 % des PC dans le monde, porte préjudice à une concurrence par les mérites entre navigateurs web concurrents, [...] porte préjudice au rythme de l’innovation et à la qualité des produits [...] [et] incite artificiellement les fournisseurs de contenu et les développeurs à concevoir des sites web ou des logiciels essentiellement pour l’Internet Explorer. »

Mi-juin, Microsoft publiait sa réplique : pour éviter les poursuites de la Commission, Windows 7 serait vendu en Europe sans Internet Explorer, charge aux utilisateurs ou aux vendeurs de PC d'installer un navigateur par le moyen de leur choix. Cette solution ne convenait évidemment à personne, mais a permis à Microsoft de faire pencher la balance en sa faveur. Microsoft a enfin proposé la semaine dernière une solution plus satisfaisante : IE serait bien inclus dans Windows 7, mais après une mise à jour via Windows Update, une fenêtre spéciale apparaîtrait, proposant le choix entre une dizaine de navigateurs parmi les plus représentés sur le marché. Ce choix serait également proposé sur les PC tournant sous Windows XP ou Vista qui ont encore IE sélectionné comme navigateur par défaut.

Cette solution ayant reçu un accueil favorable de la Commission Européenne, Microsoft se dit« maintenant persuadé que livrer Windows 7 avec IE en Europe - comme dans le reste du monde - est la meilleure chose à faire pour [ses] partenaires et [ses] clients ». Toutefois, la Commission Européenne n'a pris encore de décision finale sur le sujet. Si jamais elle décidait de refuser la proposition de Microsoft, Windows 7 E pourrait renaître de ses cendres.

Source : Microsoft

Lire la suite


Appel à la mise en place d’un système de filtrage des liens du réseau Internet

Plusieurs experts dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) ont souligné hier à Alger la nécessité de mettre en place un système de filtrage des sites et services du réseau Internet jugés dangereux, notamment pour les jeunes, à l’instar du téléchargement de jeux vidéo, des sites pornographiques et du piratage.
Ce système de filtrage constituera une balise devant l’accès aux liens dangereux du réseau Internet, a indiqué à cet effet M. Nadjib Badache, directeur général du Centre de recherche sur les informations scientifiques et techniques (CERIST), lors d’une rencontre sur les crimes liés aux technologies de l’information et de la communication. Il a précisé que ce système «permettra de sécuriser l’échange d’informations entre les entreprises nationales et les opérateurs privés à travers le réseau Internet». De son côté, M. Abdelkader Henni, directeur de la modernisation de la justice auprès du ministère de la Justice, a évoqué les différentes dispositions de la loi portant règles particulières de prévention et de lutte contre les infractions liées aux TIC, adoptée récemment par le Parlement. Il a rappelé à cet effet que cette loi prévoyait des dispositions liées à la surveillance électronique, l’enregistrement des contenus ainsi que des procédures relatives à la perquisition des établissements qui ne peut être effectuée que sur autorisation de la juridiction compétente dans les cas qualifiés d’atteinte probable à un système informatique ou de menace à l’ordre public. Pour sa part, M. Malik Si M’hamed, directeur de cabinet au Conseil national économique et social (CNES), a souligné la nécessité de protéger l’information en ligne d’autant qu’elle constitue «un capital». Pour Bachir Halimi, chercheur algérien résidant au Canada, la cybercriminalité est un phénomène étrange à la société algérienne, soulignant à cet effet l’importance de mettre en place un plan pour la formation de spécialistes dans ce domaine. De son côté, Kamel Addi, directeur d’un laboratoire de recherche au Canada, a insisté notamment sur l’action de sensibilisation car, a-t-il estimé, l’expérience algérienne en la matière «est encore embryonnaire». Le commissaire de police Mostefaï a rappelé que le citoyen peut se présenter au commissariat de police quand il est victime de cybercriminalité, ajoutant que la direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) assurait ces dernières années des cycles de formation au profit des enquêteurs dans ce genre de crimes.

R.N (La Tribune)

Lire la suite


Développeur de logiciels VoloMedia a obtenu un brevet américain affirme que la société porte sur les éléments de base de la baladodiffusion, y compris l'abonnement à un podcast, ou de télécharger automatiquement des podcast de supprimer des fichiers et la synchronisation de ces fichiers vers un périphérique portable.

Le US Patent and Trademark Office (USPTO) a attribué le numéro du brevet 7568213, "Méthode pour la fourniture de contenu épisodique des médias", à VoloMedia mardi.

La société a demandé le brevet en 2003, avant que le podcasting est devenu monnaie courante, a déclaré le fondateur Murgesh Navar dans une annonce à VoloMedia sur le blog de jeudi.

"Comme il faut plusieurs années pour obtenir un brevet, il est également tout à fait typique pour les méthodes décrites par le brevet sont devenues relativement courantes au moment où les questions relatives aux brevets. VoloMedia la situation ne fait pas exception», écrit-il.

Sur la douzaine de brevets de la société a appliqué depuis 2003, ce sont les premiers à être délivré, selon Navar.

Les membres de l'Association pour télécharger Media (ADM), un groupe industriel offrant de publicité et de normes de mesure d'audience pour les épisodes téléchargeables et des médias, ont réagi avec scepticisme à l'attribution du brevet.

"En tant que membre d'ADM, je pense que ce brevet est de couchette. Il ne doit jamais avoir été publié. Il est trop vague. Il ne mentionne pas les données audio, vidéo ou RSS. Il peut s'appliquer à tout - le podcasting, le DVR (digital video recorder ) de mon entreprise de câblodistribution, même Twitter et Facebook ", a écrit l'un d'eux, Eric Susch, dans un commentaire sur le blog d'ADM.

Alors que la plupart des systèmes utilisent le podcasting RSS (Really Simple Syndication) du protocole de signal de la disponibilité de nouveaux épisodes, VoloMedia du brevet est beaucoup plus large et couvre d'autres moyens de distribution de contenu épisodique, dit Navar.

Streaming media sites Web tels que Hulu sont susceptibles de dépendre de VoloMedia de brevet à l'avenir, Navar écrit, comme "Il viendra un jour où tous les contenus sur Hulu est disponible en téléchargement épisodique".

VoloMedia brevet n'est pas un troll, et dispose d'une véritable technologie dans le domaine de son brevet, selon Navar. La société a développé et commercialise un plug-in pour le logiciel iTunes d'Apple qui permet aux éditeurs de podcast pour analyser ce genre de personnes à l'écoute de leur montre, en s'appuyant sur des informations provenant de Google Analytics pour briser audience par emplacement ou plate-forme logicielle.

Navar dit qu'il veut "travailler en collaboration avec les principaux participants de l'industrie», et suggère que la société va utiliser son brevet pour le marché des médias download épisodique technologie plus transparente, plus uniforme et plus interconnecté.
> swap

Lire la suite


(Paris - Relax news) - Une carte de crédit pour soutenir le logiciel libre. Tel est le concept de la nouvelle carte de paiement Linux, du nom du système d'exploitation libre pour PC. Disponible uniquement aux Etats-Unis pour le moment, cette carte de crédit Visa Platinum permet aux consommateurs d'afficher leur soutien au logiciel libre, et à la Fondation Linux de collecter des fonds.

"Cette carte de crédit est une réponse aux attentes de certaines personnes qui souhaitaient soutenir les activités de la Fondation Linux" explique Jim Zemlin, Directeur de la Fondation Linux, association à but non lucratif qui regroupe diverses sociétés du secteur de l'informatique.

En plus de recevoir 50 dollars à chaque adhésion, l'association reçoit également une partie des commissions sur chaque achat effectué avec la carte Linux.

Cette carte à l'effigie du célèbre manchot de Linux intègre un système de points qui permet aux détenteurs de les échanger contre des articles divers ou des billets d'avion par exemple.

Pour obtenir cette carte de crédit, les consommateurs n'ont pas besoin de s'acquitter de cotisation annuelle. Ces derniers bénéficient en outre d'un service en cas de vol ou de perte.

La "Linux Foundation Visa Platinium card" n'est pour le moment disponible qu'aux Etats-Unis, mais son développement sera étendu dans les prochains à d'autres pays, précise la Fondation Linux.

Site : www.linuxfoundation.org

Lire la suite


confusedDes pirates ont trouvé un moyen de contourner le système d’activation du prochain OS de Microsoft, permettant l’activation d’une copie de Windows 7 avant sa sortie officielle .
Des pirates ont trouvé un moyen de contourner le système d’activation du prochain OS de Microsoft, permettant l’activation d’une copie de Windows 7 avant sa sortie officielle .
Windows 7 piraté

Depuis quelques jours maintenant traînent sur la Toile les fichiers qui permettent d’activer la RTM officialisée la semaine dernière (cf. « Windows 7 est RTM ! »). Il est intéressant de noter que ce crack utilise la clé OEM de Lenovo.
L’histoire se répète

Si la rapidité avec laquelle les hackers ont réussi à percer le code de Microsoft témoigne avant tout de l’engouement du public pour le prochain système d’exploitation, cela n’est pas très surprenant. On se souvient que la RTM de Vista fut aussi piratée avant le lancement officiel du système et on peut s’attendre à la publication d’une mise à jour par la firme de Redmond qui devrait rendre le crack inutile.

Source : Tweak Town
Depuis quelques jours maintenant traînent sur la Toile les fichiers qui permettent d’activer la RTM officialisée la semaine dernière (cf. « Windows 7 est RTM ! »). Il est intéressant de noter que ce crack utilise la clé OEM de Lenovo.
L’histoire se répète

Si la rapidité avec laquelle les hackers ont réussi à percer le code de Microsoft témoigne avant tout de l’engouement du public pour le prochain système d’exploitation, cela n’est pas très surprenant. On se souvient que la RTM de Vista fut aussi piratée avant le lancement officiel du système et on peut s’attendre à la publication d’une mise à jour par la firme de Redmond qui devrait rendre le crack inutile.

Source : Tweak Town

Lire la suite


Confrontée aux problèmes de sécurité, la ville d’Alger envisage de s’équiper de caméras de vidéosurveillance à des « endroits stratégiques ». A cet effet, un groupe de travail est constitué pour gérer ces nouvelles mesures de sécurité. Il s’agit d’agents de police formés à l’usage de ces moyens de surveillance. Et vous, qu’en pensez-vous ? Outil de prévention ou menace des libertés individuelles ? Faut-il installer des caméras de surveillance à Alger ?

Plusieurs personnes que nous avons rencontrées trouvent que les caméras de vidéosurveillance sont inutiles pour une ville comme Alger. Dans les pays européens, il y a des caméras partout, à tous les coins de rue, dans les magasins, à tel point qu’on y fait plus attention. Mais apparemment, elles ne servent pas à grand-chose, puisque plusieurs personnes sont agressées dans les rues et en pleine journée devant les caméras de surveillance. Ainsi, et malgré leur usage, la police n’a rien pu faire dans plusieurs cas. En effet, après le visionnage des bandes filmées, les agresseurs sont toujours masqués au moment des agressions. En Angleterre, un policier a indiqué à une personne que « ces caméras ne servaient à rien, c’est plus politique ». Cette histoire a été prise comme un gros atout contre la vidéosurveillance. Par contre, il y a également les pour. Ils voient en la vidéosurveillance un moyen de lutter contre les casseurs en tous genres. L’Etat algérien a opté pour cette mesure, car la sécurité de la ville a déjà fait couler beaucoup d’encre, notamment de la part des responsables de la sécurité. Depuis plusieurs années, certains d’entre eux ont multiplié les alertes, évoquant la criminalité dans la ville qui pourrait restreindre notre liberté de circuler dans les rues et ruelles de la ville en toute sécurité et sans crainte.

Entre les pour et les contre, les Algérois sont divisés

Pour Mohamed, un vieux retraité, la question de savoir si la vidéosurveillance est utile est sans appel : « Je ne vois pas pourquoi il faut débattre d’un sujet évident pour la sécurité de tous. Qu’adviendra-t-il si un adulte ou un enfant se fait agresser ? Ou si des dégradations ont lieu : qui ira se plaindre au commissariat ou à la gendarmerie, qui accusera la municipalité de ne rien faire ? Je parie que ce seront ceux qui sont contre. J’estime qu’au nom de la sécurité de tous et de chacun, il n’y a pas d’atteinte à la vie privée quand on n’a rien à se reprocher. Un peu de prise de conscience serait plus opportun au lieu de polémiquer. » Pour Ahmed, un salarié dans une entreprise publique, « c’est un remède. Mais le problème, c’est surtout le manque d’encadrement des jeunes et d’activités. Si les jeunes se livrent à l’alcool et à la drogue, c’est parce qu’il y a un manque. La période que nous traversons est loin d’être rassurante pour eux. Cependant, circuler, y compris le soir, n’est pas rassurant à Alger, je l’avoue, mais la solution est entre les mains des élus. Des caméras, pourquoi pas ? Mais c’est un facteur à risque aussi ! » Nadia, une jeune étudiante, est quant à elle très sceptique quant à l’usage des caméras de surveillance. « Je ne doute pas que l’usage de ces caméras est une vraie menace pour la liberté des gens. Il serait plus judicieux avant de généraliser leur usage de savoir si les habitants d’Alger sont pour cette technique ou pas. En tous les cas, moi je suis contre. Il faut plutôt trouver des solutions plus compatibles. » « Les caméras peuvent être un outil de protection, mais elles ne peuvent pas tout faire et dévoiler. Il faut donc appliquer des règles de sécurité strictes à travers une politique de droits d’accès. Du côté des autorités ou des citoyens, il est important pour la police d’avoir des outils de contrôle à distance comme la vidéosurveillance afin de trouver les vrais responsables, mais aussi grâce à l’aide des citoyens », ajoute Farid, journaliste. Pour Hakim qui a vécu cinq en Angleterre : « A Londres, nous faisons attention de ne pas partir vers le tout sécuritaire par facilité. C’est un peu la disposition du moment. Les caméras dans les villes ne servent strictement à rien et ne font qu’aggraver la situation. » Mohammed, un professeur à la faculté de droit, souligne : « Aujourd’hui, en Algérie, la liberté est toujours en cause, mais la liberté surveillée vient tout juste de commencer. Pourquoi, la télévision et si les gens qui veulent filmer demandent notre avis..., alors que dans les villes, on ne nous demande pas notre avis personnel ? » Pour en revenir à la raison de placer des caméras, en dehors du fait que tout le monde est attaché à sa liberté de circuler, quelques personnes trouvent que c’est ridicule de s’intéresser à une technologie qui a fait long feu. Les Anglais, initiateurs de cette mesure, sont en train de la remettre en question pour cause de non résultats. La vraie question est de savoir ce que nous voulons sur Alger : éradiquer la criminalité ou juste la déplacer. Mettre des caméras dans des endroit

Lire la suite


Le directeur général du Centre d'étude et recherche en information scientifique et technique (CERIST), Nadjib Badache, a annoncé hier, l'installation dans les jours à venir d'un point d'échange national interne, qui permettra une interconnexion de tous les Providers (ISP). Le DG du CERIST a déploré, en marge du séminaire sur la cybercriminalité organisé hier, par Algérie Telecom et l'Eepad, à l'Hôtel Aurrassi, le fait que les providers algériens soient obligés de recourir à des prestataires de services étrangers pour s'interconnecter localement. Cet état de fait, selon l'expert, engendre des pertes sur la bande passante et pose un véritable problème de sécurité des sites qui se trouvent menacés par déférentes attaques. Enfin, le DG du CERIST a indiqué que, pour le moment, «nous ne comptons qu'une seule liaison qui relie le CERIST à Djawab».

 Evoquant les incidents informatiques, Nadjib Badache a évoqué le projet portant création d'un centre de secours informatique, un projet à l'arrêt depuis 2003, qui a été relancé par le CERIST et est en cours de réalisation. Sur la question de savoir comment protéger les opérateurs économiques de la cybercriminalité, le chef de cabinet du CNES, et spécialiste en la matière, Malik Mohamed, a recommandé des solutions qui seront formulées sur la base des risques. «Il ne faut pas aller acheter des solutions à coût de millions, alors que cette solution est peut-être entre les mains des techniciens et des ingénieurs en informatique locaux». Pour ce dernier, la cybercriminalité existe mais il ne faut pas par autant verrouiller tout jusqu'à fermer toutes les possibilités de s'informer sur un système souple. Selon Malik Mohamed, chaque entreprises doit mettre un système de filtrage qui sera adapté en fonction des risques, sans trop exagérer. «Ce n'est pas la peine de verrouiller par exemple des informations d'une PME dont les données sont déjà connues par tout le monde».

 Pour sa part, le Docteur Abderrazak Henni, directeur général chargé de la modernisation au département de la justice, a exposé le cas de son institution. Il a affirmé que le secteur de la Justice a deux réseaux. «Le réseau Internet public est filtré, et il est ouvert au grand public. Par contre, le réseau Intranet de la justice est fermé en absence de sécurité. Pourtant, les avocats ont à maintes fois réclamé son ouverture», a-t-il déclaré. En ce qui concerne l'ouverture de l'Algérie sur le commerce électronique, le paiement électronique et les procédures administratives via le Net, l'ensemble des intervenants ont appelé à la formation et la sensibilisation des acteurs chargés de ces services.

 Ils ont également recommandé plus de sécurité des données transférées en ligne. Enfin, les participants ont recommandé plus de sensibilisation auprès des administrations, des entreprises, des providers et auprès des citoyens, sans pour autant dramatiser.

par M. Aziza

Le Quotidien d'Oran, Mardi 28 juillet 2009

Lire la suite


Quelques jours seulement après la libération d'autres ont proposé des modifications à l'interface de Firefox 3.7 sur son wiki, la Fondation Mozilla a mis en place une page d'explorer les changements dans l'interface de Firefox 4.0.

Deux versions principales sont affichés, dont une montre les onglets sous la barre d'adresse et un autre avec les onglets au-dessus. Les onglets-on-top look est agréable et propre, et d'économiser de l'espace, mais supprime la barre de titre.

Aussi sur la page wiki est une démonstration d'une idée de combiner l'aller, rafraîchir, et cesser de boutons en un seul tenant compte du contexte bouton.

Comme les changements proposés pour Firefox 3.7, Firefox 4.0 modifications visant à réduire la complexité d'interface, d'augmenter l'espace page, et nous espérons accroître la clarté pour l'utilisateur, tout en intégrant plus naturellement dans Windows. Que pensez-vous des changements? Faites-le nous savoir dans les commentaires.

Lire la suite


Microsoft vient de présenter ses résultats financiers pour son dernier trimestre budgétaire 2009 et parle d’une baisse de son chiffre d’affaires de 17 % et une chute de ses bénéfices de 29 % par rapport à 2008.
2009 fut dur pour Microsoft

Son chiffre d’affaires est de 9,25 milliards d’euros et ses bénéfices sont de 2,15 milliards d’euros. Redmond est donc resté en dessous des prévisions d’analystes qui s’attendaient à un chiffre d’affaires de 10,15 milliards d’euros. Il peine en cette période de crise et au final, son bilan annuel montre une perte de 3 % par rapport à 2008, avec un chiffre d’affaires de 41,28 milliards d’euros et un bénéfice de 10,29 milliards d’euros. Il faut dire que 2009 fut particulièrement rude alors qu'il a dû procéder aux premiers licenciements massifs de son histoire.
Vivement Windows 7

La firme a beaucoup souffert de la mauvaise presse de Vista et la ruée vers les pré-commandes de Windows 7 est un très bon signe qui montre que Microsoft avance vers des jours meilleurs. La préférence des netbooks pour Windows XP a aussi blessé ses résultats alors que la division Windows rapporte de moins en moins d'argent.

On notera que le dernier trimestre budgétaire de Microsoft s’est arrêté le 30 juin dernier, ce qui signifie que l’argent généré par 7 entre juillet et septembre (notamment les 195 millions d’euros générés par les pré-commandes de Windows 7) ne sera pas compatibilisé avant le 22 octobre, soit le deuxième trimestre budgétaire.

Source : PC World

Lire la suite


L’administration électronique ou le gouvernement électronique (e-gouvernement) est définie comme l’utilisation des technologies de l’information et de la communication par les agences gouvernementales, avec les objectifs principaux suivants : améliorer la qualité des services publiques, promouvoir l’interaction entre les entreprises, renforcer la participation des citoyens par l’accès à l’information et enfin réinventer les processus administratifs pour atteindre la bonne gouvernance tant espérée. L’AE a pour effet de : réduire la corruption, promouvoir la transparence et réduire les coûts des services administratifs pour l’administration elle-même et pour les administrés. Nous verrons plus loin qu’il y a plusieurs types de gouvernement électronique, mais il doit être claire pour tous qu’un simple site Web gouvernemental ne constitue pas en soi une administration en ligne.

Il ressort de la définition précédente que l’administration publique a beaucoup à gagner en implémentant une administration électronique. Dans la plupart des pays (provinces et localités), le gouvernement est le plus grand fournisseur et collecteur d’information. Et l’un de ses plus grands rôles est de fournir de manière monopolistique des informations publiques comme les actes de naissance, des certificats de mariage et de naissance, des permis et autres. Ainsi l’absence d’un environnement compétitif dans l’accomplissement de leurs tâches, la complexité inhérente des processus administratifs et le refus naturel manifesté face aux changements sont autant de facteurs qui explique cette réticence.

Lire la suite


Le Web évolue de plus en plus rapidement, nous avons donc musclé le moteur de Firefox pour que vous ayez le meilleur des outils : Firefox 3.5 est plus de deux fois plus rapide que Firefox 3 et dix fois plus rapide que Firefox 2.* Grâce à cela, les applications Web telles que le courrier en ligne, les sites de gestion de photos ou votre réseau social favoris seront bien plus rapides et réactifs.

Une rapidité à en couper le souffle :

Accrochez vos ceintures : Firefox 3.5 contient le moteur JavaScript TraceMonkey, ce qui améliore significativement la performance du navigateur. Firefox a toujours été rapide, mais voici le plus rapide des Firefox jamais créé (plus de deux fois plus rapide que Firefox 3 et dix fois plus rapide que Firefox 2). Cela veut dire que les applications Web telles que les courriels, les sites de photos et les processeurs de mots en ligne paraitront plus vifs et plus réactifs.

Lire la suite


REUTERS | 24.07.2009 | 21:54

BRUXELLES (Reuters) - Microsoft propose de laisser aux utilisateurs le choix de leur navigateur internet et de fournir aux éditeurs tiers davantage d'informations sur la compatibilité de ses logiciels, déclare la Commission européenne. Ces propositions du numéro un mondial des logiciels interviennent en réponse à deux procédures pour abus de position dominante lancées par Bruxelles. L'exécutif européen a accusé le 15 janvier dernier le groupe de Richmond de couper l'herbe sous le pied de ses concurrents en vendant ensemble son système d'exploitation et son navigateur internet. Un an plus tôt, la Commission avait lancé une enquête à partir d'une plainte de l'association des industriels du secteur, l'ECIS, qui reprochait à Microsoft de ne pas rendre publiques des informations qui permettraient aux éditeurs tiers de mettre au point des programmes compatibles avec ses produits. "La proposition reconnaît le principe selon lequel les consommateurs doivent pouvoir choisir leur navigateur internet", indique le communiqué de la Commission. Foo Yun Chee, version française Jean Décotte et Nicolas Delame

 

Lire la suite


Runtime Revolution vient de publier la version alpha de revMedia 4.0 qui est défini comme la plateforme utilisant le langage de programmation pour le Web le plus simple au monde.
Parler anglais à votre ordinateur

revMedia peut être géré par n’importe quel navigateur, du moment que le module permettant de lire le language de programmation est installé.

Cette technologie est compatible Windows, Mac OS X et Linux. Le langage, nommé revTalk, utilise des phrases en anglais, ce qui réduit la complexité de l’application, mais aussi son temps de développement et l’investissement nécessaire selon la firme. revTalk descend des technologies de type AppleScript, HyperCard ou Lingo d’Adobe.
De nouvelles possibilités

La période d’apprentissage serait courte et revMedia peut aussi être utilisé pour créer des applications de bureau ou pour serveurs. La version alpha gère divers formats multimédias, mais aussi les vecteurs graphiques, des effets visuels, des effets d’ombres, le comportement d’objets et des interfaces personnalisables. revMedia 4.0 est gratuit et peut être téléchargé depuis le site de RunRev.

Source : Runtime Revolution

Lire la suite


cryDans son 7e rapport sur les technologies de l’information (TIC), le forum économique mondial donne les classements des pays selon leurs usages des technologies d’information en se basant sur 68 critères différents, dont l’accès à Internet dans les écoles et l’importance qu’ accorde le gouvernement à long terme aux TIC.


La position des pays du Maghreb dans le classement est la suivante : Tunisie (35e), Maroc (74e), Algérie (88e), Mauritanie (97e) et Libye (105e . Cela montre le faible usage des technologies de l’information et de la communication dans cette région et la nécessité de définir une stratégie pour augmenter l’usage des TIC et d’encourager les investissements dans ce secteur prometteur. En Algérie, Hamid Bessalah, le récent ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a pour mission principale de réfléchir sur les besoins de l’Algérie et les actions à entreprendre dans le cadre du développement de « la société de l’information » dans notre pays.
Il a été décidé d’impliquer l’ensemble des acteurs du secteur (publics/privés) lors du premier congrès international sur la stratégie des TIC, organisé par l’Union nationale des scientifiques et technologues algériens. Au niveau de l’AAFSI et de Touiza, on estime le nombre d’utilisateurs de l’Internet à moins de 3,5 millions et les sites web en dz à moins de 2000, dont moins de 500 réellement opérationnels et en .com ou .net à moins de 10 000. Les résultats de Ousratic sont décevants : moins de 4% sur les 6 millions ciblés par l’ex-ministre (5 millions annoncés lors du SMSI de Tunis en 2005 pour 2010).
Cette situation est expliquée principalement par l’absence d’une stratégie nationale claire en termes de développement des TIC avec des objectifs bien précis et à l’inexistence d’une « industrie de contenu ». Il faut mettre en place un observatoire des TIC, un plan de développement du haut débit et des projets plus ciblés pour accompagner les entreprises du secteur.


Par K. B

Lire la suite


Une formation au profit de quelques 120 journalistes de la presse nationale sur les Technologies de l'information et de la communication (TIC) a débuté, lundi dernier à Alger, dans l'objectif de leur permettre de maîtriser l'outil informatique. Cette formation, dont le coup d'envoi a été donnée par le secrétaire général du ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (PTIC), est organisée par le ministère, en collaboration avec l'entreprise de formation à distance ICDL Algérie et l'Institut national de la poste et des technologies de l'information et de la communication, indique l’APS. (Par Maroua T)

Lire la suite


Le rôle du conflit cognitif est très important dans l'apprentissage. Celui-ci place les élèves en situation de questionnement, et ces ce questionnement qui va pousser les élèves à effectuer un processus d’enquête, auquel on donne tellement d’importance de nos jours. Il est tellement plus efficace pour un élève d’apprendre lorsqu’il est impliqué dans le processus de recherche plutôt que lorsque la documentation lui est procurée d’avance, où il n’a qu’a l’apprendre puis la recracher lorsque le temps est venu. Le processus de recherche va permettre à l’élève de détecter lui-même un problème, de se faire des hypothèses, de les vérifier puis d’essayer d’élaborer certaines règles. De cette façon, l’élève sais exactement pourquoi il effectue un travail, et il aura une bien meilleur rétention.

Lire la suite


Quelques jours seulement après l'annonce d'une version payante de The Pirate Bay, la plateforme de partage de fichiers en peer-to-peer (P2P) Kazaa prépare elle aussi un retour via une offre légale et payante, d'après le site CNet.com, qui cite des sources proches de la société. Selon ces informations, les internautes se verront proposer une offre d'abonnement de 20 dollars par mois donnant accès à une bibliothèque de plus d'un million de titres musicaux. Pour rappel, la société Altnet, propriétaire de la marque, a déjà développé un système payant du service en 2002 mais sans succès.

source: http://www.commentcamarche.net/

Lire la suite


tongueL’Algérie se dote, enfin, de sa propre plate-forme d’enseignement à distance. Ce n’est pas une blague.
C’est une réalité qui sera confirmée mardi prochain, à l’occasion de la tenue d’une Journée d’information sur le e-learning, au siège de la Bibliothèque nationale d’Algérie (Hamma).

Organisée conjointement par Comform Communication (une entreprise algérienne spécialisée dans les études, la recherche, la formation, l’expertise et le conseil en communication) et Action Technologique (une start-up Internet spécialisée dans la communication multimédia), cette manifestation permettra au grand public de découvrir ce formidable outil de formation à distance. Une nouvelle technique d’enseignement, alternative à celle pratiquée actuellement, qui représente, aujourd’hui, une véritable aubaine pour tous les organismes désirant de s’inscrire dans une stratégie de croissance durable. Car, elle leur permet de mobiliser, de fédérer, et de capitaliser le savoir et le savoir-faire de leurs collaborateurs.

Tous ces avantages, entre autres, sont garantis avec des réductions de coûts sensibles et des possibilités de formation intéressantes et permanentes des ressources humaines. Après tant d’années d’attente, le moment est, donc, venu pour que les Algériens apprennent à tirer profit des prouesses de la technologie et à s’inscrire pleinement dans l’ère de la société du savoir et de l’entreprise intelligente.

Ainsi, le lancement, par Action Technologique et Comform Communication, de la première plate-forme informatique de e-learning bilingue, en Algérie, dont l’appellation commerciale est "DZCampus" et de la première formation à distance via Internet pour les chargés de la communication des entreprises et des institutions algériennes sera, à coup sûr, une étape décisive vers l’édification d’une véritable société de l’information en Algérie.

Toufik B. — La Maghreb

Lire la suite