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ALGER (APS) -
La certification électronique sera lancée de manière "effective" vers la fin de l'année 2010, a indiqué mardi à Alger le chef de projet de la certification électronique à l'Autorité de régulation de la poste et des Télécommunications (ARPT), Ahmed Berbar. "Une fois l'activité de la certification électronique lancée, on disposera d'une autorité-racine, laquelle procèdera à l'octroi d'autorisations à des prestataires de certification", a expliqué M. Berbar à l'APS, en marge du séminaire sur la certification électronique, organisée par l'ARPT et l'Union internationale des télécommunications (UIT).
  

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CONSTANTINE (APS)-
L’application des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le système de formation des personnes aux besoins spécifiques constitue le thème d’un workshop ouvert mardi à Constantine. Cette manifestation organisée au Centre national de formation des personnels pour handicapés (CNFPH) de Constantine, destinée exclusivement à des pédagogues spécialisés venus de plusieurs régions du pays, a pour objectif "d’initier les formateurs aux multimédias afin de les adapter aux exigences du 21ème siècle pour un meilleur rendement", a expliqué M. Mohamad Gharnaout, psychopédagogue au CNFPH. Le directeur général de la compagnie "Business to Business" (BBC), une filiale basée à Alger de la compagnie canadienne SMART-Technologies, spécialisée dans l’intégration des solutions interactives, est intervenu à ce propos pour expliquer aux participants l’utilité d’introduire les TIC pour être "au diapason des exigences de l’ère moderne".    

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ALGER - Le ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Hamid Bessalah, a souligné, mardi à Alger, la nécessité de déployer la certification électronique en tant que "pierre angulaire" de la mise en œuvre du programme stratégique "e-Algérie". La certification électronique doit être déployée en tant que "pierre angulaire de la mise en œuvre du programme stratégique e-Algérie, qui vise à accélérer le processus de construction de la société de l'information et de son corollaire l'économie numérique", a indiqué M. Bessalah à l'ouverture d'un séminaire sur la certification électronique, initié par l'Autorité de régulation des Postes et Télécommunications (ARPT). Le ministre a expliqué que la certification électronique permettra d'instaurer, lors des échanges et transactions électroniques en ligne, "un climat de confiance" puisqu'elle facilitera l'"identification, de façon formelle, des parties impliquées dans ces échanges".

Source : APS

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ALGER - La certification électronique demeure un "préalable" pour l'instauration de la société de l'information, a affirmé, mardi à Alger, la présidente de l'Autorité de régulation des Postes et Télécommunications (ARPT), Zohra Derdouri. "La certification électronique est une condition préalable et le pré-requis de l'établissement et du fonctionnement de la société de l'information dans laquelle l'Algérie compte s'engager pleinement", a indiqué Mme Derdouri dans une allocution prononcée à l'ouverture du séminaire sur la certification électronique, organisé par l’ARPT et l'Union internationale des télécommunications (UIT). Pour Mme Derdouri, il s'agit d'assurer l'édification de la société de l'information, cadre naturel et obligé de l'économie de la connaissance dont la contribution à l'accélération et à la pérennisation du développement économique est admise par tous, a-t-elle dit, soulignant que l'Algérie ne doit pas être en reste de ces évolutions.  

Source APS 

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ALGER - Un séminaire sur la certification électronique, initié par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), a débuté, mardi à Alger, en présence d’experts nationaux et étrangers. Cette rencontre, organisée en partenariat avec l'Union internationale des télécommunications (UIT), notamment son Bureau régional pour les Etats arabes, "s'inscrit dans un cadre d'étude et de prospective pour l'introduction et le déploiement prochains de la certification électronique en Algérie", a-t-on indiqué auprès de l’ARPT. Ce séminaire sera l'occasion d'échanges et de débats pour une "meilleure" appréhension et compréhension des aspects techniques, sécuritaires et juridiques de la certification électronique, des développements technologiques y afférents et de son utilisation dans le cadre des différentes applications : e-gouvernement, e-commerce, e-finance, e-banking, a-t-on expliqué.   

Source APS

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ALGER - Un mémorandum de coopération entre le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication et l'opérateur historique coréen Korea Telecom (KT), portant sur la formation dans le domaine de la e-gouvernance, a été signé dimanche à Alger. L'accord a été signé par Hatem Hocini, directeur de la société de l'information, et Maeng Soo-Ho, vice-président de KT, lors d'une cérémonie organisée au siège du ministère. Cet accord porte sur la formation en technologies de l'information et de la communication des ingénieurs et des cadres de différents ministères, et la mise en place d'une équipe composée d'experts des deux parties pour réaliser des études de faisabilité en Algérie de la e-gouvernance.   

Source APS

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ALGER- L'expérience coréenne en matière de e-gouvernance et le processus allant de son élaboration à sa mise en oeuvre ont été présentés dimanche à Alger à l'occasion d'une journée d'étude organisée au siège du ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication. Sur la base de leur expérience dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), les responsables de l'opérateur historique Korea Telecom ont estimé dans leur exposé que la stratégie de mise en place de la e-gouvernance en Algérie (e-Algérie 2013) nécessite un délai de 10 années, expliquant que le projet similaire réalisé en Corée a débuté vers la fin des années 1980.   

APS

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SAN FRANCISCO (Etats-Unis) - Un dictionnaire qui propose plusieurs définitions ainsi que des traductions dans près d'une trentaine de langues, a été lancé sur Internet par la société Google, l'un des géants des technologies en ligne. Les internautes accédant au site google.com/dictionary peuvent trouver de différentes définitions dans leurs langues souhaitées ainsi que la possibilité d'introduire des mots pour avoir plusieurs traductions. Ces définitions peuvent être traduites dans 28 langues notamment vers ou à partir de l'anglais.   

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SAN FRANCISCO (USA)- Le piratage de logiciels informatiques a doublé en deux ans, a averti le groupe informatique Microsoft. Microsoft a indiqué que les alertes aux logiciels piratés avaient doublé durant cette courte période, ce qui menace a-t-il dit, la sécurité des ordinateurs car beaucoup de programmes informatiques contrefaits sont porteurs de virus. "Il arrive trop souvent que les pirates manipulent de véritables codes informatiques", a expliqué David Finn, le responsable de la lutte contre le piratage chez Microsoft, dans un entretien posté sur le site internet de la société. "Qu'est-ce qui retient une organisation criminelle qui fabrique des logiciels piratés d'ajouter quelques lignes de codage malveillantes, qui compromettent la sécurité de votre ordinateur et font de vous une victime une seconde fois en permettant de vous subtiliser vos données personnelles?", a-t-il ajouté poursuivi. Il a souligné que les pirates réussissant souvent à imiter l'emballage des logiciels Microsoft, beaucoup de consommateurs ont du mal à distinguer les faux des vrais programmes. Quant aux pirates, "il ne s'agit plus du quidam moyen qui fait une copie de sa disquette d'installation", a ajouté M. Quinn, notant que "le piratage de logiciel est devenu bien plus sophistiqué, de plus en plus il s'agit de sérieux criminels qui se livrent à cette activité".    

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NEW YORK - Le groupe internet Google a fait savoir mercredi qu'il va proposer de nouveaux outils de contrôle aux médias qu'il référence dans son service Google News, en leur permettant d'interdire le référencement de certains de leurs articles. Dans un message publié sur un blog officiel de Google, un de ses responsables, Josh Cohen, a expliqué que le groupe avait décidé de faciliter la gestion par les médias des articles ou autres contenus qu'ils veulent ou non voir référencés sur Google News ou son moteur de recherche généraliste. Il leur suffira désormais d'ajouter une simple commande informatique à leurs contenus et ils ne seront plus obligés de remplir un formulaire spécifique.   

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Algérie e-daratic 2009 – Les travaux du premier forum sur l’administration électronique « e-daratic 2009″ se sont ouverts dimanche à Alger sous la présidence du ministre de la Poste, des Technologies de l’information et de la communication, Hamid Bessalah.

e_daraticCette rencontre permet de faire le point de situation sur l’état actuel de la e-administration en Algérie et d’examiner, en collaboration avec les autres secteurs concernés, les perspectives de développement en tenant compte des expériences réussies dans d’autres pays.

M. Bessalah a indiqué, à cette occasion, que ce forum constitue une « opportunité » pour dresser un état des lieux de l’administration électronique en Algérie, les progrès qui ont été accomplis et la recherche de nouvelles perspectives devant permettre à ce projet ambitieux de progresser encore davantage.

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L'e-administration peut aujourd'hui se définir comme étant l'utilisation de toutes les fonctionnalités apportées par les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication au service de l'administration.

Le terme d'e-administration ne se réduit donc pas seulement à la mise en ligne des formulaires administratifs mais à toute une stratégie de communication autour des nouvelles technologies et de la notion d'accessibilité.

Il n'est pas rare, aujourd'hui, d'entendre : des personnes parler des lenteurs de l'administration, ou bien d'entendre : que l'usager n'a pas de réponse à sa demande avant plusieurs mois. Il n'est pas rare non plus d'entendre : que les formulaires sont incompréhensibles ; qui ne s'est jamais trouvé devant un formulaire administratif en ne sachant pas répondre à une question ? Un autre problème se pose : l'éloignement des administrations. En effet, si dans les grandes villes les conséquences de ce problème sont moindres, dans les campagnes, pour certaines personnes, cela peut relever de l'expédition. Cependant, quand on impose de nouvelles techniques et de nouvelles pratiques, comme celles qui sont liées à la mise en place de l'e-administration, il y a des conséquences. Ce sont des enjeux importants mais qui ne seront pas forcément tous pris en charge par l'entité qui impose ces changements. Ici c'est en l'occurrence l'état. Il existe plusieurs formes d'enjeux dont le plus important est l'enjeu économique. Il y a aussi l'enjeu social et des enjeux technologiques. On sait aujourd'hui que l'ensemble de la population algérienne est loin d'être équipé d'un ordinateur et encore moins d'un accès à l'internet. Or la première des caractéristiques de l'e-administration est d'être accessible via un ordinateur et pour un grand nombre de fonctions, via l'internet. Pour mettre en place l'e-administration de façon égale sur l'ensemble du territoire et pouvoir envisager de la rendre obligatoire pour tous, il faut d'abord envisager de résoudre le problème posé par la fracture numérique. La fracture numérique qui existe aujourd'hui sur le territoire algérien revêt plusieurs aspects. Le premier est l'équipement en matière d'informatique de l'ensemble de la population. Tout les ménages, sont-ils tous équipés d'un ordinateur ? Ceci, sans parler des personnes défavorisées ou de celles qui n'ont pas de domicile fixe. Il existe aujourd'hui des solutions mises en place : comme l'accès dans certaines APC à un ordinateur ou les guichets uniques répondants à diverses demandes dans les administrations ou le passage par un cybercafé. Considérons les personnes qui ont un ordinateur chez elles, toutes n'ont pas d'accès à l'internet. Une personne qui habite dans un petit hameau isolé en montagne ou dans le grand sud a-t-elle la possibilité d'avoir accès à l'internet même à bas débit ? De plus, si aujourd'hui la génération que l'on appelle génération-Google est dans l'ensemble habituée dès le plus jeune âge à l'utilisation des outils informatiques, il n'en est pas de même pour les autres générations. La population encore active aujourd'hui a dû se former personnellement pour répondre aux exigences du marché du travail, mais nombreux sont les retraités, qui n'y ont pas été obligés par le travail, à ne pas s'être formés. De même pour la population inactive. Aujourd'hui on remarque que de plus en plus de personnes cherchent à se former ou s'équipent d'outils informatiques, mais à quel prix ? De même qui va payer la mise en place ordinateur-accès internet mis à la disposition des administrés ? rien que pour cette dernière question, Hamid besalah donne quelques pistes, il dit en autre que « nous avons beaucoup de fonds qui peuvent être mis à contribution » mais cette question du coût est un enjeu principal. Souvenez vous ! pour que Ousratic puisse donner, il a fallu baisser le taux de Tva de 17% (énorme) à 7% qui reste quand même enlevé. Un zéro pour cent aurait été la solution.

Source:http://www.itmag-dz.com/spip.php?article1107

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Le secteur des TIC en Algérie n’arrive pas à décoller. Dix ans après la réforme des télécommunications, les résultats sont modestes. Tel est du moins l’impression générale qui s’est dégagée, jeudi dernier, de l’assemblée générale extraordinaire de l’Association algérienne des fournisseurs de services Internet (AAFSI). Derrière les sourires se cachait un réel malaise.

« Le secteur est à l’arrêt », murmure-t-on dans les coulisses. Observation pertinente ou exagérée ? Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui rentrait d’une mission à Illizi, était attendu mais a mystérieusement fait l’impasse sur cet événement. Cette absence a suscité de nombreuses interrogations.

Les participants ont mis en avant le fait qu’il faut dépasser le stade des bonnes intentions pour s’inscrire dans l’action. Ali Kahlane, président de l’AAFSI, a relevé dans son allocution « les tâtonnements et les approximations qui ont fait avancer les TIC pendant de longues années par soubresauts désordonnés. De nombreuses annonces ont essaimé dans les journaux. On vivait d’effets d’annonce sans aucune vision d’ensemble ni stratégie globale. En fait, les TIC voguaient au gré des besoin des uns et des autres ». Le secteur avait besoin d’un programme d’action qui traduise les engagements du président de la République en matière de généralisation et d’appropriation des TIC. C’est ainsi que « e-Algérie 2013 » a été élaboré avec 13 axes majeurs et 1000 actions. Hamid Bessalah avait choisi sa première sortie médiatique pour en parler, lors d’un congrès international sur la stratégie des TIC et l’édification de la société de l’information, en juillet 2008.

Il a voulu trancher avec la langue de bois à laquelle nous sommes soumis depuis des années en laissant entendre clairement que le développement du secteur n’est pas une question de moyens ou de « mesurettes » sans vision, cachant mal des incohérences. Le document a été soumis au Conseil national économique et social (CNES) qui a remis son rapport publié dans le Journal officiel n°54 du 16 septembre 2009. « L’horizon des cinq années projetées pour réaliser un projet aussi ambitieux semble difficile à respecter compte tenu de l’intensité des contraintes identifiées dans le document », souligne le CNES, qui considère en outre qu’il convient de « s’interroger sur les capacités d’absorption du tissu institutionnel, économique et social des différentes actions dont le développement est envisagé.

La démarche préconisée pour atteindre les objectifs fixés semble trop globale et ne fixe pas d’échéances intermédiaires par objectif, entre 2009 et 2013, pour chacun des axes majeurs identifiés ». « La version complète comporte plus de 500 pages, la synthèse publiée sur le web n’en compte qu’une quarantaine. La logique et le bon sens auraient voulu que ce qui l’ont rédigé se mettent avec ceux qui ont été désignés pour le critiquer et qu’ils discutent l’approfondissent et l’enrichissent ensemble », affirme Ali Kahlane. C’est ainsi qu’avec le temps, les retards se sont accumulés. La création du fonds d’appropriation de l’usage et du développement des TIC et le contrat de partenariat public-privé doublé par le réseau national de recherche des TIC vont dans le bon sens, mais ils ne sont pas suffisants vu la déliquescence qui a prévalu dans le secteur pendant longtemps.

Le chantier est grandiose avec la modernisation des administrations, l’enrichissement du système éducatif, une meilleure visibilité du web de nos entreprises ainsi que de l’Algérie touristique. C’est là que ce trouvent les gisements d’emploi, l’amélioration de la vie citoyenne, une meilleure répartition des ressources et une certaine forme de démocratie par l’information partagée et le savoir pour tous. En réalité, il est impératif que le programme e-Algérie 2013 soit suivi de mesures concrètes et d’actions de sensibilisation des opérateurs et des entreprises du secteur des TIC. Younès Grar, conseiller du ministre, est dans le secteur depuis ses débuts et connaît bien tous les intervenants. Pour lui, « les ISP sont les acteurs de la mise en œuvre de la politique de développement.

Les services en ligne, la e-éducation et e-gouvernement sont liés étroitement au succès de la mise à disposition des citoyens et des entreprises d’un accès à haut débit. C’est pour cela qu’on a retenu dans le cadre de e-Algérie 2013 tout un axe (E) qui prend en charge la mise à niveau de l’infrastructure des télécoms qui devra permettre d’asseoir cette plate forme de services en ligne ».

Un discours qui se veut rassurant, mais l’affaire Eepad est toujours dans les esprits et les abonnés d’Algérie Télécom souffrent toujours d’un débit très lent pour la connexion à Internet. Si l’AAFSI se veut une force de proposition, elle a été secouée par la démission de 7 providers. Une décision que n’a pas compris Ali Kahlane, mais qui fragilise un mouvement as

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Le ministre de l'Energie et des mines, M Chakib Khelil, a procédé, 30/11/2009, à l'hôtel El Aurassi, à l'ouverture des travaux de la 6e conférence formation de son secteur. Placée sous le thème "les technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la formation", cette rencontre permettra aux responsables du secteur, à savoir les cadres, managers, responsables en charge des systèmes d'information, experts d'institutions de formation nationale et internationale, ainsi que les entreprises étrangères de découvrir ce qui se fait de nos jours dans ce domaine précis. Selon M Chakib Khelil, " cette rencontre est un carrefour d'échange d'expériences en matière de nouvelles TIC, et principalement les acteurs du domaine. Aussi, la présence des responsables en charge du secteur permettra de revoir les perspectives d'intégration des TIC, ainsi que les efforts à consentir dans la formation des ressources humaines et la modernisation des institutions de formation", dira-t-il. De plus, "face à un monde où les mutations industrielles sont de plus en plus rapides, les entreprises sont obligées de mettre en place des modes de formation et des formes d'apprentissage plus flexibles", a précisé le ministre. "Dans ce contexte, également marqué par la mondialisation, une concurrence accrue et une économie basée sur le savoir, l'intégration des technologies de l'information et de la Communication (TIC) dans les modes de diffusion des savoirs s'affirme comme un enjeu majeur", a-t-il ajouté."Nos entreprises se trouvent aujourd'hui devant la problématique d'améliorer, de faire évoluer et de diversifier les modes et pratiques de formation afin d'optimiser leurs ressources et lever les différentes contraintes liées à la mise en œuvre des programmes de formation tels que la dispersion géographique des unités, la difficulté de trouver une adéquation entre les plannings des différentes formations et les plannings des employés, les contraintes logistiques, …etc. ", a encore affirmé le ministre. Par ailleurs, le ministre a indiqué que "le système formation au sein de notre secteur doit relever le défi relatif à la mise en œuvre d'approches et de pratiques pédagogiques les plus appropriées soutenues par les TIC et tirant d'elles tout le profit possible dans le but d'améliorer la formation et d'offrir à tous les travailleurs un large éventail de possibilités d'apprentissage et de formation ". Il a ajouté, d'autre part, que "le recours aux technologies de l'information et de la communication doit constituer une aide à l'implantation notamment du e-learning qui contribuera à la concrétisation du principe de la formation continue qui constitue un des points fondamentaux de la politique de formation de notre secteur". En outre, des produits de formation utilisant les TIC ont été exposés lors de cette conférence par une dizaine de sociétés étrangères opérant en Algérie. Dix sociétés ont exposé les différents produits formation utilisant les TIC ce sont:CrossKnowledge,SumTotalSystems, AtlasInteractive, DigitalPublishing, IHRDC, Coastal Training Technologies, Syfadis, Cisco Algérie, Microsoft Algérie, IMT Algérie. Nassim I.

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Le ministre de l'Energie et des mines, M Chakib Khelil, a procédé, 30/11/2009, à l'hôtel El Aurassi, à l'ouverture des travaux de la 6e conférence formation de son secteur. Placée sous le thème "les technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la formation", cette rencontre permettra aux responsables du secteur, à savoir les cadres, managers, responsables en charge des systèmes d'information, experts d'institutions de formation nationale et internationale, ainsi que les entreprises étrangères de découvrir ce qui se fait de nos jours dans ce domaine précis.

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Beaucoup d'entre vous se posent encore des questions au sujet de l'installation de Windows 7. Quelle édition choisir ?, Est-il possible de mettre à jour Windows XP pour Windows 7, peut-on passer d'une version 32 bits à 64 bits ? Retrouvez ici toutes les réponses à vos questions.

Attendu depuis plusieurs mois, Windows 7 débarque enfin dans nos PC sous la forme de trois éditions majeures : l'édition Familiale Premium, l'édition Professionnelle et l'édition Intégrale. Si la version familiale conviendra à tout un chacun, les éditions Professionnelle et Intégrale comportent des fonctionnalités avancées absentes de la version familiale qui peuvent vous intéresser : virtualisation avec Windows XP, protection d'un disque dur avec BitLocker, etc.

Les exigences matérielles pour faire tourner Windows 7 demeurent sensiblement identiques à celles de Windows Vista. Bonne nouvelle : les problèmes de compatibilité rencontrés avec Windows Vista ne sont pas d'actualité ici. La plupart des périphériques fonctionnent dès l'installation de Windows 7. Même chose avec la compatibilité logicielle, Windows 7 acceptant la plus grande partie des logiciels conçus pour Windows Vista. Et pour vérifier que vous n'aurez aucun problème avec le passage à Windows 7, vous pouvez utiliser l'outil Windows 7 upgrade Advisor mis à disposition par Microsoft pour analyser votre ordinateur sous XP ou Vista.

Enfin, lorsque viendra le moment de l'installation de Windows 7, vous serez confronté au choix du type d'installation : Mise à jour ou Installation complète. Chaque type d'installation dispose de ses avantages et de ses inconvénients, est compatible ou non avec votre système actuel et l'édition que vous souhaitez installer, … Bref, de nombreuses combinaisons sont possibles !

Voici donc toutes les informations pour vous aider à vous y retrouver.

Etape suivante : Vérifier la compatibilité de son matériel et de ses logiciels

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Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a évoqué avec l'ambassadeur du Japon en Algérie, M. Takeshi Kamitani, les différents aspects de la coopération bilatérale dans le domaine des TIC, indique dimanche un communiqué du ministère.
A l'occasion de leurs entretiens, les deux parties ont souligné "l'importance" de donner un "nouveau souffle" à la coopération entre les deux pays en application des décisions prises lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, au Japon, a-t-on précisé de même source.

[APS]

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Le renforcement de la coopération entre l'Algérie et la République de Corée dans le domaine des Technologies de l'Information et de la Communication a figuré au menu d'une rencontre ayant réuni le ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, M. Hamid Bessalah, et l'ambassadeur de la République de Corée,
M. Choi Sung-Joo, à Alger, a-t-on appris mardi auprès du ministère. Lors de cette rencontre, à laquelle a pris part une délégation coréenne composée des responsables de l'entreprise WOOLIM, dont son P-dg, M. Kim Jin-Ho, "les deux parties ont examiné l'état des relations bilatérales entre les deux pays dans le domaine des TIC", a-t-on précisé. A cet effet, M. Bessalah a évoqué la signature en novembre 2008, d'un mémorandum d'entente entre les deux pays "permettant la transformation de l'hôtel 5 étoiles, sis à l'Agence nationale des parcs technologiques (ANPT), à Sidi Abdallah, en un centre d'affaires", a-t-on souligné. Ce centre d'affaires devra être orienté vers les services innovants, converti en un site de diffusion de savoir-faire en matière de TIC. Suite à la signature de ce mémorandum d'entente, "des discussions ont été engagées en vue de trouver la meilleure formule de partenariat entre l'ANPT et WOOLIM", a rappelé la même source qui a indiqué que M. Bessalah a fait part de son souhait que "ce partenariat puisse se réaliser dans les meilleurs délais possibles". De son côté, M. Kim Jin-Ho a affirmé "ne ménager aucun effort pour réaliser ce partenariat, tout en apportant savoir-faire et expertise pour contribuer au développement de la coopération algéro-coréenne", a-t-on ajouté. Le responsable de WOOLIM a également "assuré, que dés son retour, il fera parvenir ses conclusions sur l'apport de l'entreprise en numéraire ainsi que l'évaluation de son expertise", a-t-on souligné. Pour sa part, l'ambassadeur de la République de Corée a affirmé qu'il compte déployer "tous les efforts pour promouvoir les relations commerciales entre l'Algérie et la Corée, tout comme il a promis d'intervenir auprès de la direction de WOOLIM pour l'exhorter à réaliser ce partenariat, "dans les meilleurs délais", a-t-on souligné.

El Moudjahid.

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Le développement de l’internet s’est accompagné d’un accroissement considérable des données non structurées et d’une augmentation très importante du volume d’informations diffusées par chaque entreprise ou organisation.

En 1997, la majeure partie des entreprises faisait leurs premiers pas dans le réseau, en publiant sous forme de sites web leurs plaquettes commerciales. Le « gisement interne » d’informations disponibles s’est considérablement accru, mais les informations externes sur l’environnement économique représentent un deuxième gisement dont l’importance stratégique est tout aussi considérable. 95% des informations pertinentes pour une entreprise sont d’accès libre, la question étant précisément de les capter. Pendant des décennies, l’accès à l’information par les utilisateurs s’est fait via des intermédiaires, en général, les centres de documentation et les documentalistes qui étaient en charge de rechercher et transmettre l’information aux utilisateurs qui en avaient besoin. Depuis l’avènement des technologies web, les intermédiaires sont moins présents entre l’information et leurs utilisateurs. Nous assistons ainsi à l’émergence de l’utilisateur final d’information qui accède, lui-même via un navigateur, à l’information nécessaire à sa fonction. Et pour clarifier les enjeux, VIP Groupe a organisé les 3e assises de l’intelligence économique et de la veille stratégique à l’esplanade Sofitel (Alger). Amor Zebar, organisateur de l’événement a affirmé : « Face à la crise mondiale et dans un environnement de plus en plus mondialisé, les entreprises comme les territoires doivent anticiper les mutations qui sont susceptibles de les menacer et saisir les opportunités qui s’offrent à elles.

La prise en compte de ces menaces et des opportunités nécessite de faire appel à l’intelligence économique devenue incontournable, tant pour les organisations publiques que privées. La mise en œuvre de cette thématique reste cependant insuffisante dans notre pays. » Alain Beauvieux, président de la société AMI, a relevé que « dans les années 1970, les Japonais assistaient à nos congrès scientifiques avec un appareil photo en bandoulière. Ils se contentaient de collecter des informations publiques pour pouvoir les analyser ultérieurement. Aujourd’hui, nos automates de collecte font la même chose, chaque jour, en exploitant le réseau internet. Les Américains, souvent plus pragmatiques, ont compris assez rapidement tout l’intérêt qu’il pouvait y avoir à mieux comprendre son environnement et à développer des pratiques d’intelligence économique ». D’une façon générale, les PME algériennes exportent peu. L’analyse de leur marché et de leurs concurrents est rarement une préoccupation majeure. Les entreprises algériennes montrent une très faible réceptivité aux pratiques d’intelligence économique, souvent perçues comme des revues de presse améliorées. Internet n’a pas terminé de nous surprendre par la profonde mutation qu’il implique dans l’organisation des entreprises. Qui aurait parié, il y a 15 ans seulement, que le nombre de documents disponibles instantanément depuis un simple PC se compterait en milliards ? Et certains sont de véritables pépites d’or..

Par Kamel Benelkadi

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Dans son rapport mondial 2009 intitulé ''Information Economy Report 2009: tendances et perspectives'', la CNUCED classe l'Algérie en 2ème position à l'échelle africaine en terme de rythme de pénétration de la téléphonie mobile par 100 habitants entre 2003 et 2008, devancée par le Gabon. Un résultat positif malgré les perturbations que connaît le secteur ces derniers mois, notamment le litige qui oppose Algérie Télécom à Eepad (start-up privée algérienne). Dans ce contexte, un concours national pour les projets start-up, initiative dédiée à la création d'entreprises algériennes spécialisées dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC), sera organisé le 30 janvier 2010 à Alger par le ministère de la solidarité nationale, de la famille et de la communauté nationale à l'étranger.

Le concours, destiné aux jeunes désirant lancer un business plan, "vise à aider les compétences algériennes à créer des entreprises et à franchir les différentes étapes de leur développement en leur donnant la possibilité de bénéficier de notre savoir-faire en matière de création d'entreprises technologiques, de leur mise en place, ainsi que de leur gestion et management", a précisé M. Yacine Rahmoun, directeur de "Icône Office Solutions".

Lors d'une rencontre avec les initiateurs du projet algérien Start-up Initiative (ASI), le ministre de la solidarité nationale de la famille et de la communauté nationale à l'étranger, M. Djamal Ould Abbès a indiqué que "ce concours, co-organisé avec des chercheurs algériens installés à la Silicon Valley aux Etats-Unis d'Amérique vise à créer des passerelles durables entre l'Algérie et les cadres algériens à l'étranger". L'appel au savoir-faire des ressortissants algériens établis à l'étranger "pourrait contribuer à consolider le secteur des TIC en Algérie", estime-t-il.

Il convient de noter que les lauréats de ce concours recevront une prime allant de 120.000 à 150.000 dollars, et seront accompagnés dans leur démarche par Microsoft. Ils bénéficieront également de la mise à disposition d'un "bureau intelligent" au niveau de l'incubateur du cyberparc de Sidi Abdallah, un accompagnement personnalisé et la possibilité de visiter la Silicon Valley pour y rencontrer des représentants des entreprises leaders dans le monde des NTIC. Rappelons que le projet Algérien Start-up Initiative (ASI), une coopération technologique entre des opérateurs algériens et d'autres vivant à Silicon Valley, aux Etats-Unis d'Amérique, a été lancé récemment à Alger et vise à créer des entreprises spécialisées dans les TIC.

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