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La certification électronique sera lancée de manière "effective" vers la fin de l'année 2010, a indiqué mardi à Alger le chef de projet de la certification électronique à l'Autorité de régulation de la poste et des Télécommunications (ARPT), Ahmed Berbar. "Une fois l'activité de la certification électronique lancée, on disposera d'une autorité-racine, laquelle procèdera à l'octroi d'autorisations à des prestataires de certification", a expliqué M. Berbar à l'APS, en marge du séminaire sur la certification électronique, organisée par l'ARPT et l'Union internationale des télécommunications (UIT).
L’application des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le système de formation des personnes aux besoins spécifiques constitue le thème d’un workshop ouvert mardi à Constantine. Cette manifestation organisée au Centre national de formation des personnels pour handicapés (CNFPH) de Constantine, destinée exclusivement à des pédagogues spécialisés venus de plusieurs régions du pays, a pour objectif "d’initier les formateurs aux multimédias afin de les adapter aux exigences du 21ème siècle pour un meilleur rendement", a expliqué M. Mohamad Gharnaout, psychopédagogue au CNFPH. Le directeur général de la compagnie "Business to Business" (BBC), une filiale basée à Alger de la compagnie canadienne SMART-Technologies, spécialisée dans l’intégration des solutions interactives, est intervenu à ce propos pour expliquer aux participants l’utilité d’introduire les TIC pour être "au diapason des exigences de l’ère moderne".
Source : APS
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e_daraticCette rencontre permet de faire le point de situation sur l’état actuel de la e-administration en Algérie et d’examiner, en collaboration avec les autres secteurs concernés, les perspectives de développement en tenant compte des expériences réussies dans d’autres pays.
M. Bessalah a indiqué, à cette occasion, que ce forum constitue une « opportunité » pour dresser un état des lieux de l’administration électronique en Algérie, les progrès qui ont été accomplis et la recherche de nouvelles perspectives devant permettre à ce projet ambitieux de progresser encore davantage.
Le terme d'e-administration ne se réduit donc pas seulement à la mise en ligne des formulaires administratifs mais à toute une stratégie de communication autour des nouvelles technologies et de la notion d'accessibilité.
Il n'est pas rare, aujourd'hui, d'entendre : des personnes parler des lenteurs de l'administration, ou bien d'entendre : que l'usager n'a pas de réponse à sa demande avant plusieurs mois. Il n'est pas rare non plus d'entendre : que les formulaires sont incompréhensibles ; qui ne s'est jamais trouvé devant un formulaire administratif en ne sachant pas répondre à une question ? Un autre problème se pose : l'éloignement des administrations. En effet, si dans les grandes villes les conséquences de ce problème sont moindres, dans les campagnes, pour certaines personnes, cela peut relever de l'expédition. Cependant, quand on impose de nouvelles techniques et de nouvelles pratiques, comme celles qui sont liées à la mise en place de l'e-administration, il y a des conséquences. Ce sont des enjeux importants mais qui ne seront pas forcément tous pris en charge par l'entité qui impose ces changements. Ici c'est en l'occurrence l'état. Il existe plusieurs formes d'enjeux dont le plus important est l'enjeu économique. Il y a aussi l'enjeu social et des enjeux technologiques. On sait aujourd'hui que l'ensemble de la population algérienne est loin d'être équipé d'un ordinateur et encore moins d'un accès à l'internet. Or la première des caractéristiques de l'e-administration est d'être accessible via un ordinateur et pour un grand nombre de fonctions, via l'internet. Pour mettre en place l'e-administration de façon égale sur l'ensemble du territoire et pouvoir envisager de la rendre obligatoire pour tous, il faut d'abord envisager de résoudre le problème posé par la fracture numérique. La fracture numérique qui existe aujourd'hui sur le territoire algérien revêt plusieurs aspects. Le premier est l'équipement en matière d'informatique de l'ensemble de la population. Tout les ménages, sont-ils tous équipés d'un ordinateur ? Ceci, sans parler des personnes défavorisées ou de celles qui n'ont pas de domicile fixe. Il existe aujourd'hui des solutions mises en place : comme l'accès dans certaines APC à un ordinateur ou les guichets uniques répondants à diverses demandes dans les administrations ou le passage par un cybercafé. Considérons les personnes qui ont un ordinateur chez elles, toutes n'ont pas d'accès à l'internet. Une personne qui habite dans un petit hameau isolé en montagne ou dans le grand sud a-t-elle la possibilité d'avoir accès à l'internet même à bas débit ? De plus, si aujourd'hui la génération que l'on appelle génération-Google est dans l'ensemble habituée dès le plus jeune âge à l'utilisation des outils informatiques, il n'en est pas de même pour les autres générations. La population encore active aujourd'hui a dû se former personnellement pour répondre aux exigences du marché du travail, mais nombreux sont les retraités, qui n'y ont pas été obligés par le travail, à ne pas s'être formés. De même pour la population inactive. Aujourd'hui on remarque que de plus en plus de personnes cherchent à se former ou s'équipent d'outils informatiques, mais à quel prix ? De même qui va payer la mise en place ordinateur-accès internet mis à la disposition des administrés ? rien que pour cette dernière question, Hamid besalah donne quelques pistes, il dit en autre que « nous avons beaucoup de fonds qui peuvent être mis à contribution » mais cette question du coût est un enjeu principal. Souvenez vous ! pour que Ousratic puisse donner, il a fallu baisser le taux de Tva de 17% (énorme) à 7% qui reste quand même enlevé. Un zéro pour cent aurait été la solution.
Source:http://www.itmag-dz.com/spip.php?article1107
« Le secteur est à l’arrêt », murmure-t-on dans les coulisses. Observation pertinente ou exagérée ? Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui rentrait d’une mission à Illizi, était attendu mais a mystérieusement fait l’impasse sur cet événement. Cette absence a suscité de nombreuses interrogations.
Les participants ont mis en avant le fait qu’il faut dépasser le stade des bonnes intentions pour s’inscrire dans l’action. Ali Kahlane, président de l’AAFSI, a relevé dans son allocution « les tâtonnements et les approximations qui ont fait avancer les TIC pendant de longues années par soubresauts désordonnés. De nombreuses annonces ont essaimé dans les journaux. On vivait d’effets d’annonce sans aucune vision d’ensemble ni stratégie globale. En fait, les TIC voguaient au gré des besoin des uns et des autres ». Le secteur avait besoin d’un programme d’action qui traduise les engagements du président de la République en matière de généralisation et d’appropriation des TIC. C’est ainsi que « e-Algérie 2013 » a été élaboré avec 13 axes majeurs et 1000 actions. Hamid Bessalah avait choisi sa première sortie médiatique pour en parler, lors d’un congrès international sur la stratégie des TIC et l’édification de la société de l’information, en juillet 2008.
Il a voulu trancher avec la langue de bois à laquelle nous sommes soumis depuis des années en laissant entendre clairement que le développement du secteur n’est pas une question de moyens ou de « mesurettes » sans vision, cachant mal des incohérences. Le document a été soumis au Conseil national économique et social (CNES) qui a remis son rapport publié dans le Journal officiel n°54 du 16 septembre 2009. « L’horizon des cinq années projetées pour réaliser un projet aussi ambitieux semble difficile à respecter compte tenu de l’intensité des contraintes identifiées dans le document », souligne le CNES, qui considère en outre qu’il convient de « s’interroger sur les capacités d’absorption du tissu institutionnel, économique et social des différentes actions dont le développement est envisagé.
La démarche préconisée pour atteindre les objectifs fixés semble trop globale et ne fixe pas d’échéances intermédiaires par objectif, entre 2009 et 2013, pour chacun des axes majeurs identifiés ». « La version complète comporte plus de 500 pages, la synthèse publiée sur le web n’en compte qu’une quarantaine. La logique et le bon sens auraient voulu que ce qui l’ont rédigé se mettent avec ceux qui ont été désignés pour le critiquer et qu’ils discutent l’approfondissent et l’enrichissent ensemble », affirme Ali Kahlane. C’est ainsi qu’avec le temps, les retards se sont accumulés. La création du fonds d’appropriation de l’usage et du développement des TIC et le contrat de partenariat public-privé doublé par le réseau national de recherche des TIC vont dans le bon sens, mais ils ne sont pas suffisants vu la déliquescence qui a prévalu dans le secteur pendant longtemps.
Le chantier est grandiose avec la modernisation des administrations, l’enrichissement du système éducatif, une meilleure visibilité du web de nos entreprises ainsi que de l’Algérie touristique. C’est là que ce trouvent les gisements d’emploi, l’amélioration de la vie citoyenne, une meilleure répartition des ressources et une certaine forme de démocratie par l’information partagée et le savoir pour tous. En réalité, il est impératif que le programme e-Algérie 2013 soit suivi de mesures concrètes et d’actions de sensibilisation des opérateurs et des entreprises du secteur des TIC. Younès Grar, conseiller du ministre, est dans le secteur depuis ses débuts et connaît bien tous les intervenants. Pour lui, « les ISP sont les acteurs de la mise en œuvre de la politique de développement.
Les services en ligne, la e-éducation et e-gouvernement sont liés étroitement au succès de la mise à disposition des citoyens et des entreprises d’un accès à haut débit. C’est pour cela qu’on a retenu dans le cadre de e-Algérie 2013 tout un axe (E) qui prend en charge la mise à niveau de l’infrastructure des télécoms qui devra permettre d’asseoir cette plate forme de services en ligne ».
Un discours qui se veut rassurant, mais l’affaire Eepad est toujours dans les esprits et les abonnés d’Algérie Télécom souffrent toujours d’un débit très lent pour la connexion à Internet. Si l’AAFSI se veut une force de proposition, elle a été secouée par la démission de 7 providers. Une décision que n’a pas compris Ali Kahlane, mais qui fragilise un mouvement as
Attendu depuis plusieurs mois, Windows 7 débarque enfin dans nos PC sous la forme de trois éditions majeures : l'édition Familiale Premium, l'édition Professionnelle et l'édition Intégrale. Si la version familiale conviendra à tout un chacun, les éditions Professionnelle et Intégrale comportent des fonctionnalités avancées absentes de la version familiale qui peuvent vous intéresser : virtualisation avec Windows XP, protection d'un disque dur avec BitLocker, etc.
Les exigences matérielles pour faire tourner Windows 7 demeurent sensiblement identiques à celles de Windows Vista. Bonne nouvelle : les problèmes de compatibilité rencontrés avec Windows Vista ne sont pas d'actualité ici. La plupart des périphériques fonctionnent dès l'installation de Windows 7. Même chose avec la compatibilité logicielle, Windows 7 acceptant la plus grande partie des logiciels conçus pour Windows Vista. Et pour vérifier que vous n'aurez aucun problème avec le passage à Windows 7, vous pouvez utiliser l'outil Windows 7 upgrade Advisor mis à disposition par Microsoft pour analyser votre ordinateur sous XP ou Vista.
Enfin, lorsque viendra le moment de l'installation de Windows 7, vous serez confronté au choix du type d'installation : Mise à jour ou Installation complète. Chaque type d'installation dispose de ses avantages et de ses inconvénients, est compatible ou non avec votre système actuel et l'édition que vous souhaitez installer, Bref, de nombreuses combinaisons sont possibles !
Voici donc toutes les informations pour vous aider à vous y retrouver.
Etape suivante : Vérifier la compatibilité de son matériel et de ses logiciels
A l'occasion de leurs entretiens, les deux parties ont souligné "l'importance" de donner un "nouveau souffle" à la coopération entre les deux pays en application des décisions prises lors de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, au Japon, a-t-on précisé de même source.
[APS]
M. Choi Sung-Joo, à Alger, a-t-on appris mardi auprès du ministère. Lors de cette rencontre, à laquelle a pris part une délégation coréenne composée des responsables de l'entreprise WOOLIM, dont son P-dg, M. Kim Jin-Ho, "les deux parties ont examiné l'état des relations bilatérales entre les deux pays dans le domaine des TIC", a-t-on précisé. A cet effet, M. Bessalah a évoqué la signature en novembre 2008, d'un mémorandum d'entente entre les deux pays "permettant la transformation de l'hôtel 5 étoiles, sis à l'Agence nationale des parcs technologiques (ANPT), à Sidi Abdallah, en un centre d'affaires", a-t-on souligné. Ce centre d'affaires devra être orienté vers les services innovants, converti en un site de diffusion de savoir-faire en matière de TIC. Suite à la signature de ce mémorandum d'entente, "des discussions ont été engagées en vue de trouver la meilleure formule de partenariat entre l'ANPT et WOOLIM", a rappelé la même source qui a indiqué que M. Bessalah a fait part de son souhait que "ce partenariat puisse se réaliser dans les meilleurs délais possibles". De son côté, M. Kim Jin-Ho a affirmé "ne ménager aucun effort pour réaliser ce partenariat, tout en apportant savoir-faire et expertise pour contribuer au développement de la coopération algéro-coréenne", a-t-on ajouté. Le responsable de WOOLIM a également "assuré, que dés son retour, il fera parvenir ses conclusions sur l'apport de l'entreprise en numéraire ainsi que l'évaluation de son expertise", a-t-on souligné. Pour sa part, l'ambassadeur de la République de Corée a affirmé qu'il compte déployer "tous les efforts pour promouvoir les relations commerciales entre l'Algérie et la Corée, tout comme il a promis d'intervenir auprès de la direction de WOOLIM pour l'exhorter à réaliser ce partenariat, "dans les meilleurs délais", a-t-on souligné.
El Moudjahid.
En 1997, la majeure partie des entreprises faisait leurs premiers pas dans le réseau, en publiant sous forme de sites web leurs plaquettes commerciales. Le « gisement interne » d’informations disponibles s’est considérablement accru, mais les informations externes sur l’environnement économique représentent un deuxième gisement dont l’importance stratégique est tout aussi considérable. 95% des informations pertinentes pour une entreprise sont d’accès libre, la question étant précisément de les capter. Pendant des décennies, l’accès à l’information par les utilisateurs s’est fait via des intermédiaires, en général, les centres de documentation et les documentalistes qui étaient en charge de rechercher et transmettre l’information aux utilisateurs qui en avaient besoin. Depuis l’avènement des technologies web, les intermédiaires sont moins présents entre l’information et leurs utilisateurs. Nous assistons ainsi à l’émergence de l’utilisateur final d’information qui accède, lui-même via un navigateur, à l’information nécessaire à sa fonction. Et pour clarifier les enjeux, VIP Groupe a organisé les 3e assises de l’intelligence économique et de la veille stratégique à l’esplanade Sofitel (Alger). Amor Zebar, organisateur de l’événement a affirmé : « Face à la crise mondiale et dans un environnement de plus en plus mondialisé, les entreprises comme les territoires doivent anticiper les mutations qui sont susceptibles de les menacer et saisir les opportunités qui s’offrent à elles.
La prise en compte de ces menaces et des opportunités nécessite de faire appel à l’intelligence économique devenue incontournable, tant pour les organisations publiques que privées. La mise en œuvre de cette thématique reste cependant insuffisante dans notre pays. » Alain Beauvieux, président de la société AMI, a relevé que « dans les années 1970, les Japonais assistaient à nos congrès scientifiques avec un appareil photo en bandoulière. Ils se contentaient de collecter des informations publiques pour pouvoir les analyser ultérieurement. Aujourd’hui, nos automates de collecte font la même chose, chaque jour, en exploitant le réseau internet. Les Américains, souvent plus pragmatiques, ont compris assez rapidement tout l’intérêt qu’il pouvait y avoir à mieux comprendre son environnement et à développer des pratiques d’intelligence économique ». D’une façon générale, les PME algériennes exportent peu. L’analyse de leur marché et de leurs concurrents est rarement une préoccupation majeure. Les entreprises algériennes montrent une très faible réceptivité aux pratiques d’intelligence économique, souvent perçues comme des revues de presse améliorées. Internet n’a pas terminé de nous surprendre par la profonde mutation qu’il implique dans l’organisation des entreprises. Qui aurait parié, il y a 15 ans seulement, que le nombre de documents disponibles instantanément depuis un simple PC se compterait en milliards ? Et certains sont de véritables pépites d’or..
Par
Le concours, destiné aux jeunes désirant lancer un business plan, "vise à aider les compétences algériennes à créer des entreprises et à franchir les différentes étapes de leur développement en leur donnant la possibilité de bénéficier de notre savoir-faire en matière de création d'entreprises technologiques, de leur mise en place, ainsi que de leur gestion et management", a précisé M. Yacine Rahmoun, directeur de "Icône Office Solutions".
Lors d'une rencontre avec les initiateurs du projet algérien Start-up Initiative (ASI), le ministre de la solidarité nationale de la famille et de la communauté nationale à l'étranger, M. Djamal Ould Abbès a indiqué que "ce concours, co-organisé avec des chercheurs algériens installés à la Silicon Valley aux Etats-Unis d'Amérique vise à créer des passerelles durables entre l'Algérie et les cadres algériens à l'étranger". L'appel au savoir-faire des ressortissants algériens établis à l'étranger "pourrait contribuer à consolider le secteur des TIC en Algérie", estime-t-il.
Il convient de noter que les lauréats de ce concours recevront une prime allant de 120.000 à 150.000 dollars, et seront accompagnés dans leur démarche par Microsoft. Ils bénéficieront également de la mise à disposition d'un "bureau intelligent" au niveau de l'incubateur du cyberparc de Sidi Abdallah, un accompagnement personnalisé et la possibilité de visiter la Silicon Valley pour y rencontrer des représentants des entreprises leaders dans le monde des NTIC. Rappelons que le projet Algérien Start-up Initiative (ASI), une coopération technologique entre des opérateurs algériens et d'autres vivant à Silicon Valley, aux Etats-Unis d'Amérique, a été lancé récemment à Alger et vise à créer des entreprises spécialisées dans les TIC.