Nouvelles
Peu d’étudiants sont connectés à l’Internet (Forem)
- par TalhiSaid
Peu d’étudiants sont connectés à l’Internet (Forem 29 oct 2007)
Le deuxième salon du Hi Tec a été une occasion pour la Forem de livrer les résultats de la dernière recherche que ses représentants ont effectuée le mois dernier. L’étude a été rendue publique, notons-le, par le président de la Forem, M. Khiati, lors d’une conférence tenue en marge du Salon. La recherche en question porte sur l’utilisation d’Internet dans le milieu universitaire. Quelque trois mille étudiants inscrits dans plusieurs des universités essentiellement spécialisées dans le domaine des technologies de manière générale ont dû répondre à une série de questions liées à l’utilisation d’Internet, mais aussi de l’outil informatique. Globalement, l’étude a révélé que l’utilisation d’Internet n’est toujours pas à la hauteur des espérances, particulièrement si l’on prend en considération le fait que la plupart des étudiants interrogés suivent des études dans des domaines techniques. A en croire les résultats de l’étude, un tiers des étudiants se connecte à Internet à partir de leurs domiciles au moment où 17 % seulement consultent et naviguent sur Internet à partir de l’université, y compris les étudiants spécialisés dans des domaines tels que l’informatique, par exemple. Paradoxalement, 80 % de ces personnes ont touché l’outil informatique dès l’âge de 16 ans. 34 % d’entre eux possèdent des véhicules ainsi que des téléphones portables (62 %) et fixes (60 %). Il ressort également que les étudiants utilisant régulièrement des ordinateurs s’intéressent à Internet avec un taux de 42 %, au moment où 12 % d’entre eux utilisent l’outil informatique essentiellement pour des opérations de traitement de textes. L’on constate également que de plus en plus de jeunes utilisent l’ordinateur pour visionner des films ou pour écouter de la musique. Il y a lieu de signaler également que plus de 50 % des personnes interrogées ont subi des formations dans le domaine de l’informatique. Dans la plupart des cas, il s’agit de formations de courtes durées. Suivant les conclusions de l’étude, la raison principale à l’origine de l’utilisation très sommaire d’Internet par les étudiants objets de la recherche est le manque de moyens. Beaucoup de jeunes proposent d’ailleurs que les PC soient proposés à « des prix plus raisonnables » et demandent à ce que les connexions soient légèrement réduites. Le président de la Forem a tenu à signaler, en outre, « qu’une vingtaine d’universités ne possède pas, aujourd’hui, de site Internet » avant d’ajouter que « les universités disposant de sites Internet ne les actualisent pas de façon régulière ».
Le deuxième salon du Hi Tec a été une occasion pour la Forem de livrer les résultats de la dernière recherche que ses représentants ont effectuée le mois dernier. L’étude a été rendue publique, notons-le, par le président de la Forem, M. Khiati, lors d’une conférence tenue en marge du Salon. La recherche en question porte sur l’utilisation d’Internet dans le milieu universitaire. Quelque trois mille étudiants inscrits dans plusieurs des universités essentiellement spécialisées dans le domaine des technologies de manière générale ont dû répondre à une série de questions liées à l’utilisation d’Internet, mais aussi de l’outil informatique. Globalement, l’étude a révélé que l’utilisation d’Internet n’est toujours pas à la hauteur des espérances, particulièrement si l’on prend en considération le fait que la plupart des étudiants interrogés suivent des études dans des domaines techniques. A en croire les résultats de l’étude, un tiers des étudiants se connecte à Internet à partir de leurs domiciles au moment où 17 % seulement consultent et naviguent sur Internet à partir de l’université, y compris les étudiants spécialisés dans des domaines tels que l’informatique, par exemple. Paradoxalement, 80 % de ces personnes ont touché l’outil informatique dès l’âge de 16 ans. 34 % d’entre eux possèdent des véhicules ainsi que des téléphones portables (62 %) et fixes (60 %). Il ressort également que les étudiants utilisant régulièrement des ordinateurs s’intéressent à Internet avec un taux de 42 %, au moment où 12 % d’entre eux utilisent l’outil informatique essentiellement pour des opérations de traitement de textes. L’on constate également que de plus en plus de jeunes utilisent l’ordinateur pour visionner des films ou pour écouter de la musique. Il y a lieu de signaler également que plus de 50 % des personnes interrogées ont subi des formations dans le domaine de l’informatique. Dans la plupart des cas, il s’agit de formations de courtes durées. Suivant les conclusions de l’étude, la raison principale à l’origine de l’utilisation très sommaire d’Internet par les étudiants objets de la recherche est le manque de moyens. Beaucoup de jeunes proposent d’ailleurs que les PC soient proposés à « des prix plus raisonnables » et demandent à ce que les connexions soient légèrement réduites. Le président de la Forem a tenu à signaler, en outre, « qu’une vingtaine d’universités ne possède pas, aujourd’hui, de site Internet » avant d’ajouter que « les universités disposant de sites Internet ne les actualisent pas de façon régulière ».
Le programme Ousratic loin des prévisions
- par TalhiSaid
Le programme Ousratic loin des prévisions
Lors d’une conférence organisée en parallèle du salon Hi Tec, qui s’est tenu du 17 au 20 octobre courant, le professeur Khiati, président de la Fondation pour la promotion de la recherche scientifique, a dressé un tableau peu reluisant sur le projet Ousratic, en particulier, et sur la vulgarisation des technologies en Algérie de manière générale. Le conférencier a indiqué que le programme Ousratic, qui vise à doter quelque six millions de foyers algériens en PC vers l’année 2009, n’aboutira jamais à ce chiffre. « Suivant les prévisions les plus optimistes, et en mettant toutes les chances de son côté, le programme Ousratic permettra d’équiper au maximum 2,8 millions de foyers vers l’année 2009, avec une cadence de 700 000 PC livrés chaque année », a-t-il déclaré en s’appuyant sur les déclarations d’un certain nombre d’experts. Il semblerait, à ce propos, que le niveau de vie encore bas d’une grande partie de la population soit l’un des principaux facteurs faisant que l’opération Ousratic n’évolue pas au rythme espéré. D’autre part, l’orateur mettra le doigt sur une autre question, celle du niveau d’instruction, mais aussi de la population. « 75 % de la population algérienne possèdent un niveau d’instruction considéré comme moyen, ce qui représente un élément plus ou moins handicapant pour le développement d’une opération telle que Ousratic », dira-t-il. D’un point de vue plus large, le professeur Khiati a attiré l’attention sur le fait que l’utilisation des nouvelles technologies reste encore un luxe en Algérie. « Aujourd’hui, 0,1% seulement des PME algériennes utilisent Internet, au moment où les PME des pays voisins utilisent cet outil de façon quasi systématique », a-t-il signalé, en précisant que « le taux de pénétration des équipements informatiques au niveau du marché algérien est de seulement 12 % ».
Apple lance le nouveau système pour Mac Leopard
- par bellaouar
Dans le quotidien El Watan, edition du 29 octobre 2007, dans la rubrique multimédia est annoncé le lancement d'une nouvelle version du système d'exploitation Apple :
Apple a lancé, vendredi dernier, une nouvelle version de son système d’exploitation Macintosh.
La publication de la mise à jour, appelée Leopard, intervient quelques jours après l’annonce d’Apple selon laquelle ses ventes d’ordinateurs Mac auraient augmenté de 34%. Leopard sera pré-installée sur les nouveaux Mac tandis qu’une version en ligne, pour les clients ayant des ordinateurs plus anciens, sera payante. Annoncée à l’été 2006 pour le printemps 2007, cette nouvelle version de Mac OS X (le système d’exploitation des ordinateurs Apple) a vu son lancement différé en raison de la commercialisation de l’iPhone, qui a « mobilisé les équipes marketing » selon la compagnie. Leopard est le dernier produit d’une série de nouveautés lancées par Apple, dont la nouvelle ligne d’iPod lancée le mois dernier, les nouveaux ordinateurs de bureau Mac lancés cet été, et l’iPhone, le téléphone mobile d’Apple qui a été lancé en Juin. Leopard est la cinquième mise à jour du système d’exploitation d’Apple OS X pour Mac, depuis la version originale lancée en 2001. A l’inverse de Microsoft, qui licencie ses systèmes d’exploitation aux autres compagnies qui l’installent sur un grand nombre de PC, Apple a depuis longtemps favorisé un système fermé dans lequel ses ordinateurs Mac sont les seuls qui supportent son système d’exploitation. Cet arrangement a permis à Apple de garder un rythme soutenu d’innovation dans le secteur des logiciels, tout en évitant un certain nombre de problèmes de sécurité et d’interopérabilité qui ont considérablement nui à Windows Vista par exemple, d’après Van Baker, un analyste de Gartner. De prime abord, l’interface de la sixième version majeure de Mac OS X ressemble comme une goutte d’eau à celle de Tiger, la précédente édition du système d’exploitation de Mac. Mais Leopard présente plus de 300 améliorations. Parmi ces améliorations, on trouve d’abord une machine à remonter le temps baptisée « Time Machine », qui fait une sauvegarde automatique des données contenues dans un ordinateur. Ce programme permet presque instantanément de retrouver une ancienne version d’un document ou de réinstaller l’ensemble du contenu d’un ordinateur. Par ailleurs, les fichiers se feuillettent désormais d’un seul clic. Il est donc possible de faire défiler d’un simple clic les documents, dont les contenus apparaissent grâce au logiciel « Quick Look », sans les ouvrir ni même disposer de l’application ayant été utilisée pour les créer. D’une manière générale, l’ergonomie du bureau de l’ordinateur est augmentée. Avec « Stacks », les documents peuvent être rangés sous forme de piles, qui s’ouvrent en éventail lorsqu’on les appelle. Cette fonction permet également aux utilisateurs un nouveau moyen de classer leurs travaux en créant des espaces personnalisés sur le bureau, ne contenant que les applications ou les documents nécessaires à chaque projet.
Samir Ben Djafar
Apple a lancé, vendredi dernier, une nouvelle version de son système d’exploitation Macintosh.
La publication de la mise à jour, appelée Leopard, intervient quelques jours après l’annonce d’Apple selon laquelle ses ventes d’ordinateurs Mac auraient augmenté de 34%. Leopard sera pré-installée sur les nouveaux Mac tandis qu’une version en ligne, pour les clients ayant des ordinateurs plus anciens, sera payante. Annoncée à l’été 2006 pour le printemps 2007, cette nouvelle version de Mac OS X (le système d’exploitation des ordinateurs Apple) a vu son lancement différé en raison de la commercialisation de l’iPhone, qui a « mobilisé les équipes marketing » selon la compagnie. Leopard est le dernier produit d’une série de nouveautés lancées par Apple, dont la nouvelle ligne d’iPod lancée le mois dernier, les nouveaux ordinateurs de bureau Mac lancés cet été, et l’iPhone, le téléphone mobile d’Apple qui a été lancé en Juin. Leopard est la cinquième mise à jour du système d’exploitation d’Apple OS X pour Mac, depuis la version originale lancée en 2001. A l’inverse de Microsoft, qui licencie ses systèmes d’exploitation aux autres compagnies qui l’installent sur un grand nombre de PC, Apple a depuis longtemps favorisé un système fermé dans lequel ses ordinateurs Mac sont les seuls qui supportent son système d’exploitation. Cet arrangement a permis à Apple de garder un rythme soutenu d’innovation dans le secteur des logiciels, tout en évitant un certain nombre de problèmes de sécurité et d’interopérabilité qui ont considérablement nui à Windows Vista par exemple, d’après Van Baker, un analyste de Gartner. De prime abord, l’interface de la sixième version majeure de Mac OS X ressemble comme une goutte d’eau à celle de Tiger, la précédente édition du système d’exploitation de Mac. Mais Leopard présente plus de 300 améliorations. Parmi ces améliorations, on trouve d’abord une machine à remonter le temps baptisée « Time Machine », qui fait une sauvegarde automatique des données contenues dans un ordinateur. Ce programme permet presque instantanément de retrouver une ancienne version d’un document ou de réinstaller l’ensemble du contenu d’un ordinateur. Par ailleurs, les fichiers se feuillettent désormais d’un seul clic. Il est donc possible de faire défiler d’un simple clic les documents, dont les contenus apparaissent grâce au logiciel « Quick Look », sans les ouvrir ni même disposer de l’application ayant été utilisée pour les créer. D’une manière générale, l’ergonomie du bureau de l’ordinateur est augmentée. Avec « Stacks », les documents peuvent être rangés sous forme de piles, qui s’ouvrent en éventail lorsqu’on les appelle. Cette fonction permet également aux utilisateurs un nouveau moyen de classer leurs travaux en créant des espaces personnalisés sur le bureau, ne contenant que les applications ou les documents nécessaires à chaque projet.
Samir Ben Djafar
Le New York Times libère ses applications web
- par avunet
Le New York Times change de monde. Le quotidien américain, qui a décidé récemmentde passer au modèle « tout gratuit » pour son site web, a égalementchoisi d’adopter complètement l’open source et les logiciels libres. Lesite du quotidien est ainsi basé sur des solutions « libres » commeApache, PHP ou MySQL. Mieux : des employés du Times ont décidé participer pleinement au mouvement du logiciel libre, en libérant également leurs propres applications.Ainsi, fin juillet, les développeurs Jacob Harris et Derek Gottfrid ont ouvert un blog consacré à l’open-source au New York Times. Parallèlement, ils ont rendu public deux applications, DBSlayer (sous licence Apache 2.0) et XSL:Cache (sous licence PHP). Les deux logiciels libres ont été conçus en interne au Times,afin d’optimiser et d’accélérer l’accès des internautes au site web duquotidien, tout en réduisant le travail à effectuer par la machine. Surleur blog, les deux ingénieurs décrivent le fonctionnement desapplications et encouragent les bonnes volontés à participer audéveloppement. Jacob Harris et Derek Gottfrid parlent également de leurutilisation des technologies du web pour diffuser les informations du Times.
Firefox marque son territoire en Europe
- par avunet
L’institut Xiti Monitor, qui analyse les données de connexion des internautes, vient de publier son nouveau « baromètre des navigateurs ». L’étude, qui indique les parts d’utilisation des différents web browserspar les internautes, concerne le mois de septembre. Et si InternetExplorer continue de régner sur le monde dans ce domaine, le navigateurlibre Firefoxassoit sa position de challenger. En septembre, en Europe, Firefoxétait ainsi utilisé par 27,7% des internautes. Une progression de plusde six points par rapport à septembre 2006, qui a surtout eu lieujusqu’en juin dernier, quand Firefox a atteint 27,6% des internautesEuropéens. Depuis, la courbe s’est un peu tassée, et a même accusé unebaisse de 0,3 point en août, avant de remonter à 27,7% en septembre.
Téléphonie mobile: Nedjma satisfait à ses engagements réglementaires de couverture réseau
- par Behaz
ALGER- L'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a affirmé samedi que le troisième opérateur de téléphonie mobile, Wataniya Telecom Algérie (WTA), "a satisfait à l'exécution de ses obligations réglementaires en matière de couverture et de qualité de services". L'ARPT a précisé, dans un communiqué, que l'évaluation de la couverture et de la qualité de service du réseau de la téléphonie mobile de type GSM de WTA au titre de la troisième année d'activité fait ressortir "un taux de couverture et de qualité de services de 99,1% au niveau des chefs-lieux des wilayas et de 96,1% au niveau des axes routiers".
Algérie Télécoms vient d'annoncer la signature d'un nouvel accord de coopération avec son partenaire Ericsson AB. La modernisation du réseau fixe d'Algérie Télécoms et l'appropriation de systèmes et de solutions multiservices avancées sont au centre de ce nouvel accord.
Pour Slimane Khireddine, PDG du Groupe, l'accord en question procède de la volonté de l'entreprise de poursuivre les projets de modernisation de son réseau, de mettre en place le Réseau National Multiservices, de consolider et d'élargir sa coopération avec Ericsson. Partenaire à la réputation mondiale bien établie, la firme suédoise est une habituée du secteur des télécommunications en Algérie. Elle est connue, en tant que leader mondial dans le domaine des TIC, pour ses connaissances et expertises pointues dans les domaines du planning, de la conception, de la fourniture et de la mise en œuvre d'une modernisation d'un réseau télécom et le support de systèmes et solutions multiservices avancées.
De l'avis de Slimane Khireddine et de la délégation de l'opérateur historique présente au moment de la signature, la coopération avec Ericsson procède de la stratégie du Groupe de moderniser son réseau, de capitaliser sur ses investissements existants et de développer de nouveaux services innovants intégrés pour ses clients, indépendamment du réseau d'accès qu'ils utilisent.
Pour Slimane Khireddine, PDG du Groupe, l'accord en question procède de la volonté de l'entreprise de poursuivre les projets de modernisation de son réseau, de mettre en place le Réseau National Multiservices, de consolider et d'élargir sa coopération avec Ericsson. Partenaire à la réputation mondiale bien établie, la firme suédoise est une habituée du secteur des télécommunications en Algérie. Elle est connue, en tant que leader mondial dans le domaine des TIC, pour ses connaissances et expertises pointues dans les domaines du planning, de la conception, de la fourniture et de la mise en œuvre d'une modernisation d'un réseau télécom et le support de systèmes et solutions multiservices avancées.
De l'avis de Slimane Khireddine et de la délégation de l'opérateur historique présente au moment de la signature, la coopération avec Ericsson procède de la stratégie du Groupe de moderniser son réseau, de capitaliser sur ses investissements existants et de développer de nouveaux services innovants intégrés pour ses clients, indépendamment du réseau d'accès qu'ils utilisent.
Ouverture mercredi du Salon international du livre
- par AbdelmalekAMINE
Le Salon international du livre d'Alger (SILA) s'ouvrira mercredi prochain (31 octobre) au Palais des expositions SAFEX, pins maritimes d'Alger. Cette douzième édition du SILA ouverte au public jusqu'au 9 novembre, sera précédée par une conférence de presse qui sera animée demain à 11h, par le président du comité d'organisation et PDG de l'entreprise nationale de communication, d'édition et de publicité (ANEP), M. Ahmed Boucenna.
Portes ouvertes sur l'Internet
- par AbdelmalekAMINE
Des portes ouvertes seront organisées, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 29 octobre prochain, sur l'Internet et l'ADSL au palais de la Culture d'Oran par la direction territoriale des télécommunications Oran d'Algérie Télécom. Sous le slogan : «pour une société de l'information, Algérie Télécom vous ouvre les portails de l'Internet», ces journées spécifiques à l'information vont permettre au large public de s'enquérir sur les dernières nouveautés en matière de communication, de connexion et d'information.
L’opérateur historique Algérie Télécom s’est distingué avec le titre du Meilleur stand du Salon Inte
- par
Behaz
Par son imposante présence et celle de ses filiales certes, mais aussi et surtout grâce à une somptueuse appropriation de l’espace où le stand d’Algérie Télécom de cette année a donné une belle dimension aux produits exposés. Des produits portés le plus souvent par un personnel en place particulièrement agréable à voir et réceptif à toutes les doléances. L’accueil des plus chaleureux réservé aux visiteurs n’est pas passé inaperçu. Ils étaient nombreux et nombreuses parmi les invités de cette manifestation à en avoir bénéficié. et à l’avoir bruyamment fait remarquer. Plébiscité "Meilleur stand du Salon International HI TEC 2007", l’espace investi par l’opérateur historique Algérie Télécom et ses filiales a été au diapason des innovations technologiques présentées aux visiteurs.
Des sources proches du comité d’organisation estiment que pas moins de 5 000 visiteurs ont été agréablement surpris tant par la qualité de l’accueil et l’originalité du stand d’Algérie Télécom que par les présentations techniques des produits exposés. Des démonstrations portées par la compétence avérée des ingénieurs et des techniciens de l’entreprise qui, affables à souhaits, ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour présenter les produits exposés et aiguiser les curiosités des unes et des autres autour du Call Center, l’EVIDEO, l’ADSL, l’Internet haut débit sans fil, l’accès haut débit Anis, la téléphonie 3G, le double play ou le nouvel annuaire téléphonique mis récemment sur le marché après une décennie d’absence.
Des sources proches du comité d’organisation estiment que pas moins de 5 000 visiteurs ont été agréablement surpris tant par la qualité de l’accueil et l’originalité du stand d’Algérie Télécom que par les présentations techniques des produits exposés. Des démonstrations portées par la compétence avérée des ingénieurs et des techniciens de l’entreprise qui, affables à souhaits, ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour présenter les produits exposés et aiguiser les curiosités des unes et des autres autour du Call Center, l’EVIDEO, l’ADSL, l’Internet haut débit sans fil, l’accès haut débit Anis, la téléphonie 3G, le double play ou le nouvel annuaire téléphonique mis récemment sur le marché après une décennie d’absence.
Université - Entreprises Mise en place d'un observatoire d'innovations
- par AbdelmalekAMINE
Rapprocher la PME de l'Université pour faire face à l'enjeu de la compétitivité dans un contexte de plus en plus ouvert et concurrentiel est la nouvelle politique adoptée par le gouvernement. La relation de complémentarité qui existe entre les deux, incite, en effet, à mettre la science au service de l'entreprise et montrer l'évolution de la recherche à travers l'entreprise. Mais, ce jumelage est-il possible, si l'on sait que la recherche n'a pas toujours occupé la place qu'elle mérite et que les projets de recherche ont souvent fini leur parcours dans les terriroires ?
Pour relancer le débat sur cette relation étroite entre ces deux volets, un forum a été organisé, hier, à l'université de l'USTO sur le thème «L'appui à l'innovation technologique des PME». Une rencontre qui a vu la participation d'universitaires et une présence très timide d'opérateurs économiques, premiers concernés, pourtant, par ce rapprochement. Plusieurs communications ont été présentées lors de ce forum qui avait situé la PME dans son contexte scientifique et opérationnel. Pour le chercheur universitaire, M. Aït Habouche, il est important de situer les contours de la gestion d'innovation dans une économie en développement, sachant que l'innovation est devenue une nécessité. Pour définir l'innovation, le même conférencier souligne que des entreprises innovent entre 40 à 50 % dans des biens d'équipements, 25 % dans des biens intermédiaires et entre 20 et 25 % dans des biens de consommation. L'innovation peut donc intervenir dans l'amélioration du produit, la commercialisation la technologie et aussi la constitution de réseau. Intervenant lors de cette rencontre, le représentant du ministère de la PME/PMI a expliqué la manière d'intégrer le secteur dans l'environnement scientifique et technologique. Il a annoncé la création de comité sectoriel permanent de la recherche dans le secteur de la PME. Il a également souligné l'importance de la création de pépinières et la mise en place d'un observatoire d'innovations en plus de la création et confortement des centres techniques et d'un fond de soutien à l'innovation.
C'est la nouvelle stratégie mise en place pour créer cet espace d'échange et de communication entre l'Université et la PME.
Pour relancer le débat sur cette relation étroite entre ces deux volets, un forum a été organisé, hier, à l'université de l'USTO sur le thème «L'appui à l'innovation technologique des PME». Une rencontre qui a vu la participation d'universitaires et une présence très timide d'opérateurs économiques, premiers concernés, pourtant, par ce rapprochement. Plusieurs communications ont été présentées lors de ce forum qui avait situé la PME dans son contexte scientifique et opérationnel. Pour le chercheur universitaire, M. Aït Habouche, il est important de situer les contours de la gestion d'innovation dans une économie en développement, sachant que l'innovation est devenue une nécessité. Pour définir l'innovation, le même conférencier souligne que des entreprises innovent entre 40 à 50 % dans des biens d'équipements, 25 % dans des biens intermédiaires et entre 20 et 25 % dans des biens de consommation. L'innovation peut donc intervenir dans l'amélioration du produit, la commercialisation la technologie et aussi la constitution de réseau. Intervenant lors de cette rencontre, le représentant du ministère de la PME/PMI a expliqué la manière d'intégrer le secteur dans l'environnement scientifique et technologique. Il a annoncé la création de comité sectoriel permanent de la recherche dans le secteur de la PME. Il a également souligné l'importance de la création de pépinières et la mise en place d'un observatoire d'innovations en plus de la création et confortement des centres techniques et d'un fond de soutien à l'innovation.
C'est la nouvelle stratégie mise en place pour créer cet espace d'échange et de communication entre l'Université et la PME.
Condoléances
- par ZIDAT
Condoléances. Nous ne trouvons pas les mots pour dire notre douleur quand nous avons appris que Abdessemed Mourad nous a quittés aujourd’hui suite à un accident de voiture. Il était notre ami et notre collègue. Quelle souffrance de penser qu'il n'est plus là ... Que Dieu accueil le défunt en Son Vaste Paradis. « A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons »
Mourad, nous n'oublierons jamais ta bonté de cœur.
Mourad, nous n'oublierons jamais ta bonté de cœur.
Un salon des NTIC en Algérie
- par AbdelmalekAMINE
Pour promouvoir le secteur des NTIC en Algérie, le Salon international Hi-Tec 2007 a réuni les professionnels du secteur du 17 au 20 octobre à Alger.Organisé par le World Trade Center Algeria (WTC Alger) en partenariat avec la SAFEX au palais des expositions, l’édition 2007 du salon a était dédié aux nouvelles technologies en Algérie. Regroupant une vingtaine d’exposants, citant Djezzy, Mobilis, CBSxerox, et Divona Algérie, BEA, panasonic, etc.., et environ 3000 visiteurs, le Hi-Tec s’est affirmé auprès des Participants professionnels et des visiteurs comme le rendez-vous incontournable des nouvelles technologies ainsi que leurs applications. Le Salon international Hi-Tec 2007 a eu pour objectif cette année, de favoriser la diffusion et l’utilisation des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) en Algérie en soutenant les initiatives prises à cet effet, tant au niveau local qu’international.L’innovation de ce salon, c’est la création de l’allée de la découverte, qui est un coin consacré a montré l’évolution de chacun du train et du téléphone au cours des années. L’organisation de la nouvelle édition du salon Hi-Tec est destinée exclusivement aux nouvelles technologies ainsi que leur développement et application. En effet, l’Algérie dont l’économie aujourd’hui s’ouvre de plus en plus, offre des opportunités non négligeables notamment en matière d’absorption des nouvelles technologies, que ce soit dans les télécommunication, l’énergie, la sécurité, ou le médical etc. En cela le Hi-Tec se veut un partenaire des entreprises modernes et innovantes, car il est de notoriété que la technologie peut améliorer le quotidien de tous les humains en général.
Communication : Oran abritera le prochain CITIC en juin 2008
- par AbdelmalekAMINE
Après la précédente édition organisée à Oued Souf, Oran accueillera, au courant du mois de juin de l'année prochaine, le carrefour international des technologies de l'information et de la communication. A ce grand rendez-vous, prendront part, apprend-on auprès d'Algérie Télécom, les leaders mondiaux de l'information et de la communication. Au menu de cette manifestation, des conférences et des expositions sont programmées.
Concours de magister en économie à Batna
- par djoudi
L’école doctorale « économie appliquée et management des organisations »de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université deBatna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, unparcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :
- Université de Batna 12 postes ;
- Université de Biskra 10 postes ;
- Université de Guelma 10 postes ;
- Centre universitaire de Khenchela 10 postes ;
- Centre universitaire d’El Oued 10 postes.
- Etretitulaire d’une licence en sciences économiques,gestion ou sciencescommerciales avec une moyenne générale d’au moins 11 /20pour l’ensembledes quatre ans.
- Délai de rigueur de dépôt du dossier de candidature :20 novembre 2007.
- Micro économie : coefficient 2
- Economie et management des connaissances : coefficient 1
Concours de magister en économie à Batna
- par avunet
L’école doctorale « économieappliquée et management des organisations » de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université de Batna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre 2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, un parcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :
- Université de Batna 12 postes ;
- Université de Biskra 10 postes ;
- Université de Guelma 10 postes ;
- Centre universitaire de Khenchela 10 postes ;
- Centre universitaire d’El Oued 10 postes.
- Etre titulaire d’une licence en sciences économiques,gestion ou sciences commerciales avec une moyenne générale d’au moins 11 /20pour l’ensemble des quatre ans.
- Délai de rigueur de dépôt du dossier de candidature :20 novembre 2007.
- Micro économie : coefficient 2
- Economie et management des connaissances : coefficient 1
Le PDG de Canon Algérie a dévoilé la nouvelle stratégie sur le marché algérien du représentant du gé
- par
Behaz
D’emblée, Abdelhamid Messaoudi, directeur général de Canon Algérie, a mis l’accent sur les possibilités présentées par les nouveaux produits de la firme japonaise Canon, laquelle a particulièrement amélioré la fiabilité de son nouvel appareil numérique qui intègre une fonction Internet. A propos de celle-ci, M.Messaoudi affirme que « la seule limite est celle du temps consacré à la saisie ou à la création des données. La possibilité d’effectuer des recherches dans le contenu de votre site donne à l’internaute la possibilité de trouver immédiatement, au coeur de votre documentation, l’information re-cherchée. Il est donc possible, par la mise en ligne des documents, de faciliter l’utilisation des produits par vos clients actuels. Internet crée une rupture avec les modèles économiques traditionnels. »
Sabisystems, représentant officiel de Canon en Algérie, veut ainsi profiter de ces nouvelles tendances pour dynamiser ses affaires et aller plus loin dans sa politique d’adaptation et de partage par des contacts de proximité avec le marché. Se rapprocher toujours plus de la clientèle, sur son propre lieu de vie et de travail est une « constance dans notre action commerciale et après-vente » indique, d’autre part, le directeur général de Canon Algérie. Il est certain que les clients que Canon Algérie souhaite toucher, utilisent ou utiliseront plus tard Internet. L’entreprise Canon s’inscrit ainsi dans un mouvement d’anticipation au lieu de réagir dans la précipitation à la concurrence ou subir la loi du marché. Internet est le moyen idéal dans la recherche de nouveaux clients pour un investissement modéré. Cette tendance est de plus en plus lourde dans le monde de l’informatique. L’entre-prise cible autant les produits mass market (grand public) que les solutions d’entreprise.
Sabisystems, représentant officiel de Canon en Algérie, veut ainsi profiter de ces nouvelles tendances pour dynamiser ses affaires et aller plus loin dans sa politique d’adaptation et de partage par des contacts de proximité avec le marché. Se rapprocher toujours plus de la clientèle, sur son propre lieu de vie et de travail est une « constance dans notre action commerciale et après-vente » indique, d’autre part, le directeur général de Canon Algérie. Il est certain que les clients que Canon Algérie souhaite toucher, utilisent ou utiliseront plus tard Internet. L’entreprise Canon s’inscrit ainsi dans un mouvement d’anticipation au lieu de réagir dans la précipitation à la concurrence ou subir la loi du marché. Internet est le moyen idéal dans la recherche de nouveaux clients pour un investissement modéré. Cette tendance est de plus en plus lourde dans le monde de l’informatique. L’entre-prise cible autant les produits mass market (grand public) que les solutions d’entreprise.
Le taux d’accès à Internet en Algérie est estimé à près de 6% loin derrière ceux constatés en Tunisi
- par
Behaz
En dépit de son potentiel inestimable ( population jeune à plus de 60%, aisance financière sans précédent avec près de 100 milliards de dollars de réserves de change...), l’Algérie s’accroche mal au train de la modernité et du développement notamment en terme d’accès à Internet. Les objectifs de l’accès aux nouvelles technologies de l’information et de la communication et la généralisation de leur utilisation dans les différents domaines de la vie économique sont aujourd’hui loin d’être réalisés, estiment les spécialistes. Ces derniers sont unanimes à déplorer la modicité du taux de pénétration de l’Internet et la sous-utilisation de l’outil informatique en dépit des tentatives prises dans le cadre des différents projets initiés par les pouvoirs publics.
Le faible taux d’accès à Internet en Algérie est dû, selon eux, à plusieurs facteurs, notamment l’absence d’une vision stratégique globale quant au développement des technologies de l’Internet avec la fixation d’objectifs clairs et le développement des sites Internet à contenu numérique localement accessible. La faible croissance du réseau de téléphonie fixe et le coût encore élevé comparativement au pouvoir d’achat, du matériel informatique constituent également des obstacles pour l’édification de la société de l’information. Les spécialistes insistent sur la nécessité de mettre en place un plan d’action stratégique en mobilisant les ressources humaines et financières nécessaires, si on veut réellement se mettre au diapason des défis imposées par la globalisation avant de rater définitivement le train de l’évolution.
Le faible taux d’accès à Internet en Algérie est dû, selon eux, à plusieurs facteurs, notamment l’absence d’une vision stratégique globale quant au développement des technologies de l’Internet avec la fixation d’objectifs clairs et le développement des sites Internet à contenu numérique localement accessible. La faible croissance du réseau de téléphonie fixe et le coût encore élevé comparativement au pouvoir d’achat, du matériel informatique constituent également des obstacles pour l’édification de la société de l’information. Les spécialistes insistent sur la nécessité de mettre en place un plan d’action stratégique en mobilisant les ressources humaines et financières nécessaires, si on veut réellement se mettre au diapason des défis imposées par la globalisation avant de rater définitivement le train de l’évolution.
Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 oc
- par TalhiSaid
Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 octobre 2007
Le site de l’association des compétences algériennes (ACA) a été, tout récemment, activé. Il s’agit du : www.aca-dz.org/default.aspx. Le site en question devra être présenté en version finale très prochainement. Le visiteur de ce site censé être en trois langues (Arabe, Français et Anglais) a la possibilité de connaître la très récente association des compétences algériennes dont les fondements ont été établis à l’issue de la première conférence des compétences algériennes organisée en avril dernier. Une conférence à laquelle, rappelons-le, ont participé des chercheurs, universitaires et autres chefs d’entreprises établis à l’étranger ainsi qu’un certain nombre d’académiciens algériens vivant en Algérie. Le site très acceptable sur le plan technique et esthétique n’est pas encore riche en information en raison du fait que l’ACA ait été créé depuis peu et n’a donc pas beaucoup d’activités à son actif. Le site assure, en outre, des liens vers des institutions et des organisations algériennes et internationales. Le site évoque, dans la rubrique « conférence 2008 », la tenue de la deuxième conférence des compétences algériennes, prévue les 17, 18 et 19 avril à l’hôtel Aurassi à Alger. D’après un document exclusif que nous nous sommes procuré récemment, la deuxième conférence des compétences algériennes sera bien plus riche en terme de sujets et de participants que la première. Le nombre de sponsors a lui aussi augmenté, un certain nombre d’entreprises et d’institutions ayant manifestement pris conscience de l’importance que revêt désormais cet événement. En ce qui concerne la participation, outre les algériens d’Europe et d’Amérique du nord, des cadres vivant dans des pays telles que les Emirats Arabes unis, l’Arabie Saoudite ou encore l’Australie viendront enrichir cette rencontre. La conférence d’avril prochain portera sur six thèmes. Il s’agit de la santé, de l’agriculture et la biotechnologie, les nanotechnologies, l’énergie et l’environnement, le transport et le développement urbain et la sécurité. Il s’agira pour les participants venus de différents pays et horizons de livrer leurs expériences et celles de leurs pays d’accueil en ce qui concerne ces thèmes en vue d’aider les décideurs et autres cadres algériens à avoir une meilleure visibilité sur les avancées technologiques dans plusieurs domaines d’activité. Sur un autre plan, le site de l’ACA permettra de jeter des ponts permanents entre les algériens d’ici et d’ailleurs. Il fera également office de banque de données donnant la possibilité de mieux connaître ce que font les algériens vivant à l’étranger mais surtout ce qu’ils pourront faire pour l’Algérie. Les compétences vivant en Algérie auront quant à elles la possibilité de dialoguer avec d’autres algériens travaillant dans des domaines similaires mais dans des conditions différentes. Il y a lieu de signaler, à ce propos, que le site Internet dédié aux inventeurs algériens vivant à l’étranger et qui devra être lancé prochainement par un algérien vivant aux Etats-Unis, mais aussi le projet de mise au point d’un listing détaillé des cadres algériens par l’agence de valorisation de la recherche scientifique sont autant de pas dans le bon sens, celui du transfert de technologie vers l’Algérie.
Le site de l’association des compétences algériennes (ACA) a été, tout récemment, activé. Il s’agit du : www.aca-dz.org/default.aspx. Le site en question devra être présenté en version finale très prochainement. Le visiteur de ce site censé être en trois langues (Arabe, Français et Anglais) a la possibilité de connaître la très récente association des compétences algériennes dont les fondements ont été établis à l’issue de la première conférence des compétences algériennes organisée en avril dernier. Une conférence à laquelle, rappelons-le, ont participé des chercheurs, universitaires et autres chefs d’entreprises établis à l’étranger ainsi qu’un certain nombre d’académiciens algériens vivant en Algérie. Le site très acceptable sur le plan technique et esthétique n’est pas encore riche en information en raison du fait que l’ACA ait été créé depuis peu et n’a donc pas beaucoup d’activités à son actif. Le site assure, en outre, des liens vers des institutions et des organisations algériennes et internationales. Le site évoque, dans la rubrique « conférence 2008 », la tenue de la deuxième conférence des compétences algériennes, prévue les 17, 18 et 19 avril à l’hôtel Aurassi à Alger. D’après un document exclusif que nous nous sommes procuré récemment, la deuxième conférence des compétences algériennes sera bien plus riche en terme de sujets et de participants que la première. Le nombre de sponsors a lui aussi augmenté, un certain nombre d’entreprises et d’institutions ayant manifestement pris conscience de l’importance que revêt désormais cet événement. En ce qui concerne la participation, outre les algériens d’Europe et d’Amérique du nord, des cadres vivant dans des pays telles que les Emirats Arabes unis, l’Arabie Saoudite ou encore l’Australie viendront enrichir cette rencontre. La conférence d’avril prochain portera sur six thèmes. Il s’agit de la santé, de l’agriculture et la biotechnologie, les nanotechnologies, l’énergie et l’environnement, le transport et le développement urbain et la sécurité. Il s’agira pour les participants venus de différents pays et horizons de livrer leurs expériences et celles de leurs pays d’accueil en ce qui concerne ces thèmes en vue d’aider les décideurs et autres cadres algériens à avoir une meilleure visibilité sur les avancées technologiques dans plusieurs domaines d’activité. Sur un autre plan, le site de l’ACA permettra de jeter des ponts permanents entre les algériens d’ici et d’ailleurs. Il fera également office de banque de données donnant la possibilité de mieux connaître ce que font les algériens vivant à l’étranger mais surtout ce qu’ils pourront faire pour l’Algérie. Les compétences vivant en Algérie auront quant à elles la possibilité de dialoguer avec d’autres algériens travaillant dans des domaines similaires mais dans des conditions différentes. Il y a lieu de signaler, à ce propos, que le site Internet dédié aux inventeurs algériens vivant à l’étranger et qui devra être lancé prochainement par un algérien vivant aux Etats-Unis, mais aussi le projet de mise au point d’un listing détaillé des cadres algériens par l’agence de valorisation de la recherche scientifique sont autant de pas dans le bon sens, celui du transfert de technologie vers l’Algérie.
Omar Seddiki, unalgerien qui voit loin
- par TalhiSaid
Omar Seddiki, un Algérien qui voit
très loin
Omar Seddiki, doctorant dans le domaine de la physique résidant au Canada, est sorti tout récemment de l’anonymat en mettant au point une nouvelle combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. A travers cette réalisation, l’Algérien Omar Seddiki réussit où beaucoup d’autres chercheurs ont échoué. Le miroir liquide en question est très adapté aux conditions extrêmes caractérisant la surface de la lune. Les travaux menés par M. Seddiki et son équipe ont été subventionnés et suivis par la très célèbre Agence spatiale américaine NASA. L’ancien étudiant de l’USTHB, désormais célèbre pour cette prouesse scientifique, nous parle de son parcours et des conditions à réunir pour permettre à l’Algérie de tirer profit des compétences algériennes établies dans différents pays du monde.It Mag : Tout d’abord, pouvez-vous nous donner une idée sur votre parcours universitaire et que faites-vous exactement en ce moment ? Omar SedikiPhysicien a mis au point le fabrication d’un telescope à miroir liquideM. Omar Seddiki : J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique en 1990 à l’université des sciences et technologies Houari Boumediene de Bab Ezzouar (USTHB). Après la fin de mes études universitaires, j’ai commencé ma carrière professionnelle dans le secteur industriel. J’ai travaillé pendant 12 ans dans l’industrie, dont 6 ans dans la société SMEI. Je me suis installé au Canada à partir de l’année 2003. Une année plus tard, j’intègre le groupe de recherche des miroirs liquides à l’université Laval. En 2006, j’ai obtenu une maîtrise en physique. Actuellement, je prépare un doctorat en physique dans la même université.Pouvez-vous nous parler de votre départ vers le Canada. Dans quelles circonstances avez-vous quitté l’Algérie et quelles étaient vos motivations ?A un moment donné, j’ai senti la nécessité d’enrichir ce que j’avais cumulé en matière d’expérience professionnelle, mais aussi sur le plan intellectuel. Suivant cette logique, il m’a semblé important de faire le nécessaire pour évoluer dans un milieu exigeant où je puisse acquérir une expérience répondant aux normes de travail internationales. C’est ainsi que j’ai quitté mon pays fin janvier 2003 pour le Canada.Vous avez réussi à trouver une combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. Pouvez-vous donner une idée plus précise sur cette trouvaille et surtout sur les avantages qu’elle présente ?Notre groupe de recherche a déjà développé des techniques de fabrication de télescope à miroir liquide pour les applications terrestres. Pour le projet de miroir liquide sur la lune, ces techniques ne peuvent pas être utilisées, car les conditions d’utilisation sur la Lune sont très différentes : très basse pression de vide due à l’absence d’atmosphère et très basse température d’utilisation. On a donc opté pour un procédé déjà utilisé pour la métallisation des miroirs de télescope en verre et qui consiste à l’évaporation d’un métal sous vide. La difficulté résidait dans le fait que ce procédé n’a jamais été essayé sur un liquide. Il fallait donc développer un savoir-faire et des techniques pour l’adapter et trouver le liquide qui pouvait convenir aux conditions extrêmes de l’environnement lunaire. Au départ, on procédait par essais et erreurs, et très vite on a pu franchir un premier palier lorsqu’on a pu déposer une couche d’aluminium sur un polymère liquide hydrophile. Puis une autre étape majeure a été franchie un an après nos premières expériences, et cela lorsqu’on a déposé une mince couche d’argent sur un liquide ionique. Ces liquides sont des solvants qui peuvent être conçus avec un ensemble particulier de propriétés. Ils ne s’évaporent quasiment pas et ils restent liquides à des températures très basses. Ce qui fait d’eux les « candidats » les plus sérieux pour le projet d’un miroir liquide sur la Lune.Comment vous êtes-vous retrouvé impliqué dans les travaux relatifs à ce projet ?L’Agence spatiale américaine (NASA), via son Institut pour les concepts innovants (NIAC), a décidé en 2004 de subventionner l’idée de télescope lunaire proposé par le professeur Borra. Ce dernier, qui était mon directeur de recherche, m’a chargé de reprendre des expériences de métallisation sous vide qui ont été abandonnées il y a quelques années faute de résultats probants. J’ai repris les expériences en variant les liquides. J’ai fini par obtenir un premier résultat positif qui a démontré la faisabilité du projet, ce qui nous a permis d’obtenir des financements pour continuer nos recherches.Est-ce que les chercheurs et étudiants algériens résidant au Canada sont en contact (sous forme d’association ou autre) ? Existe-t-il suffisamment d’échanges entre les membres de la communauté scientifique algérienne ?Sur le plan humain, les contacts ent
Omar Seddiki, doctorant dans le domaine de la physique résidant au Canada, est sorti tout récemment de l’anonymat en mettant au point une nouvelle combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. A travers cette réalisation, l’Algérien Omar Seddiki réussit où beaucoup d’autres chercheurs ont échoué. Le miroir liquide en question est très adapté aux conditions extrêmes caractérisant la surface de la lune. Les travaux menés par M. Seddiki et son équipe ont été subventionnés et suivis par la très célèbre Agence spatiale américaine NASA. L’ancien étudiant de l’USTHB, désormais célèbre pour cette prouesse scientifique, nous parle de son parcours et des conditions à réunir pour permettre à l’Algérie de tirer profit des compétences algériennes établies dans différents pays du monde.It Mag : Tout d’abord, pouvez-vous nous donner une idée sur votre parcours universitaire et que faites-vous exactement en ce moment ? Omar SedikiPhysicien a mis au point le fabrication d’un telescope à miroir liquideM. Omar Seddiki : J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique en 1990 à l’université des sciences et technologies Houari Boumediene de Bab Ezzouar (USTHB). Après la fin de mes études universitaires, j’ai commencé ma carrière professionnelle dans le secteur industriel. J’ai travaillé pendant 12 ans dans l’industrie, dont 6 ans dans la société SMEI. Je me suis installé au Canada à partir de l’année 2003. Une année plus tard, j’intègre le groupe de recherche des miroirs liquides à l’université Laval. En 2006, j’ai obtenu une maîtrise en physique. Actuellement, je prépare un doctorat en physique dans la même université.Pouvez-vous nous parler de votre départ vers le Canada. Dans quelles circonstances avez-vous quitté l’Algérie et quelles étaient vos motivations ?A un moment donné, j’ai senti la nécessité d’enrichir ce que j’avais cumulé en matière d’expérience professionnelle, mais aussi sur le plan intellectuel. Suivant cette logique, il m’a semblé important de faire le nécessaire pour évoluer dans un milieu exigeant où je puisse acquérir une expérience répondant aux normes de travail internationales. C’est ainsi que j’ai quitté mon pays fin janvier 2003 pour le Canada.Vous avez réussi à trouver une combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. Pouvez-vous donner une idée plus précise sur cette trouvaille et surtout sur les avantages qu’elle présente ?Notre groupe de recherche a déjà développé des techniques de fabrication de télescope à miroir liquide pour les applications terrestres. Pour le projet de miroir liquide sur la lune, ces techniques ne peuvent pas être utilisées, car les conditions d’utilisation sur la Lune sont très différentes : très basse pression de vide due à l’absence d’atmosphère et très basse température d’utilisation. On a donc opté pour un procédé déjà utilisé pour la métallisation des miroirs de télescope en verre et qui consiste à l’évaporation d’un métal sous vide. La difficulté résidait dans le fait que ce procédé n’a jamais été essayé sur un liquide. Il fallait donc développer un savoir-faire et des techniques pour l’adapter et trouver le liquide qui pouvait convenir aux conditions extrêmes de l’environnement lunaire. Au départ, on procédait par essais et erreurs, et très vite on a pu franchir un premier palier lorsqu’on a pu déposer une couche d’aluminium sur un polymère liquide hydrophile. Puis une autre étape majeure a été franchie un an après nos premières expériences, et cela lorsqu’on a déposé une mince couche d’argent sur un liquide ionique. Ces liquides sont des solvants qui peuvent être conçus avec un ensemble particulier de propriétés. Ils ne s’évaporent quasiment pas et ils restent liquides à des températures très basses. Ce qui fait d’eux les « candidats » les plus sérieux pour le projet d’un miroir liquide sur la Lune.Comment vous êtes-vous retrouvé impliqué dans les travaux relatifs à ce projet ?L’Agence spatiale américaine (NASA), via son Institut pour les concepts innovants (NIAC), a décidé en 2004 de subventionner l’idée de télescope lunaire proposé par le professeur Borra. Ce dernier, qui était mon directeur de recherche, m’a chargé de reprendre des expériences de métallisation sous vide qui ont été abandonnées il y a quelques années faute de résultats probants. J’ai repris les expériences en variant les liquides. J’ai fini par obtenir un premier résultat positif qui a démontré la faisabilité du projet, ce qui nous a permis d’obtenir des financements pour continuer nos recherches.Est-ce que les chercheurs et étudiants algériens résidant au Canada sont en contact (sous forme d’association ou autre) ? Existe-t-il suffisamment d’échanges entre les membres de la communauté scientifique algérienne ?Sur le plan humain, les contacts ent