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Un nouveau moyen de mobilisation contre le actes terroristes en Algérie vient de voir le jour sur Internet : Facebook. La dernière vague d’attentats terroristes qu’a connue l’Algérie la dernière semaine du mois d’août a poussé deux jeunes Algériens à lancer sur Facebook deux groupes : Stop bombe en Algérie et J’en ai marre des attentas en Algérie.
Le premier a été lancé par un jeune artiste algérien de 26 ans, au lendemain des attentats des Issers et de Bouira. L’idée était d’arriver à un nombre important de membres qui permettra une manifestation virtuelle. Son initiateur explique l’interdiction des manifestations à Alger, sauf dans le cas des manifestations de soutien pour un troisième mandat. Le groupe rassemble plus de 2600 membres. Il vise 10 000 membres au minimum. Le deuxième groupe (J’en ai marre des attentas en Algérie), quant à lui, a été lancé dans les mêmes conditions par un jeune étudiant algérois de l’Ecole supérieure de banque.
Ce jeune, originaire de kabylie qui fêtera bientôt ses vingt ans, compte atteindre les 10 000 membres. Il a réussi à mobiliser plus de 3800 membres. Ce groupe utilise le français et l’anglais. Son initiateur a lancé un appel à ses membres pour le traduire en arabe et en tamazight. Il compte arriver à 10 000 membres avant la fin de l’année. « Mon objectif est d’arriver à 100 000 membres. Cela parait énorme et les chances sembles minimes pour l’atteindre. Je vais tout faire pour y arriver. Le chiffre 100 000 est comme un symbole pour moi. Un peu pour rendre hommage aux 100 000 victimes de la décennie noire », nous a-t-il affirmé lors d’échanges sur internet.
Les deux initiateurs ne semblent pas être contre l’idée de fusionner les deux ensembles. Pour rejoindre ces deux groupes, il suffit juste d’avoir un profil sur facebook et de cliquer sur le bouton rejoindre le groupe.
Par Samir Ben EL WATAN
Le premier a été lancé par un jeune artiste algérien de 26 ans, au lendemain des attentats des Issers et de Bouira. L’idée était d’arriver à un nombre important de membres qui permettra une manifestation virtuelle. Son initiateur explique l’interdiction des manifestations à Alger, sauf dans le cas des manifestations de soutien pour un troisième mandat. Le groupe rassemble plus de 2600 membres. Il vise 10 000 membres au minimum. Le deuxième groupe (J’en ai marre des attentas en Algérie), quant à lui, a été lancé dans les mêmes conditions par un jeune étudiant algérois de l’Ecole supérieure de banque.
Ce jeune, originaire de kabylie qui fêtera bientôt ses vingt ans, compte atteindre les 10 000 membres. Il a réussi à mobiliser plus de 3800 membres. Ce groupe utilise le français et l’anglais. Son initiateur a lancé un appel à ses membres pour le traduire en arabe et en tamazight. Il compte arriver à 10 000 membres avant la fin de l’année. « Mon objectif est d’arriver à 100 000 membres. Cela parait énorme et les chances sembles minimes pour l’atteindre. Je vais tout faire pour y arriver. Le chiffre 100 000 est comme un symbole pour moi. Un peu pour rendre hommage aux 100 000 victimes de la décennie noire », nous a-t-il affirmé lors d’échanges sur internet.
Les deux initiateurs ne semblent pas être contre l’idée de fusionner les deux ensembles. Pour rejoindre ces deux groupes, il suffit juste d’avoir un profil sur facebook et de cliquer sur le bouton rejoindre le groupe.
Par Samir Ben EL WATAN
TIC : M. Bessalah incite OTA à prendre part au "véritable transfert de savoir faire" que connaît l
- par elabweb
Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a incité l'opérateur de téléphonie mobile Orascom Telecom Algérie (OTA) à prendre part à un "véritable transfert de savoir-faire dans les sphères technique et managériale" en Algérie, indique un communiqué du ministère.
Lors d'une réunion avec le nouveau directeur général d'OTA (Djezzy), M. Tamer El Mahdy, le ministre lui a recommandé, dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs stratégiques du gouvernement algérien, d'"être en harmonie avec la législation en vigueur" et de "contribuer dans l'essaimage des TIC (en Algérie) en faisant appel aux petites et moyennes entreprises locales", a ajouté la même source.
M. Bessalah a souligné qu'OTA occupe une position importante dans le secteur des TIC en Algérie, ajoute encore le communiqué.
Lors d'une réunion avec le nouveau directeur général d'OTA (Djezzy), M. Tamer El Mahdy, le ministre lui a recommandé, dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs stratégiques du gouvernement algérien, d'"être en harmonie avec la législation en vigueur" et de "contribuer dans l'essaimage des TIC (en Algérie) en faisant appel aux petites et moyennes entreprises locales", a ajouté la même source.
M. Bessalah a souligné qu'OTA occupe une position importante dans le secteur des TIC en Algérie, ajoute encore le communiqué.
Créer l’extension d’adresse web de son choix comme .amour ou .paris, déposer des noms de domaine en chinois ou en arabe : l’Icann, le gestionnaire américain de l’internet, veut ouvrir dès 2009 la Toile à tous les internautes, une libéralisation qui soulève de nombreuses questions.
L’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann) a fait cette annonce à l’occasion de sa 32e réunion internationale, qui s’est ouverte lundi à Paris en présence de 1.500 participants de plus de 70 pays. "Outre les .com, .net ou .org, dès le premier trimestre de 2009, les 1,3 milliard d’internautes pourront acquérir des adresses génériques, en déposant des mots courants comme .amour, .haine ou .ville ou encore des noms propres", a déclaré le président de l’Icann, Paul Twomey, dans une interview au quotidien économique français Les Echos. Actuellement, 162 millions de noms sont recensés, dont plus de la moitié en .net et .com sur un total de quelque 250 extensions. Les acteurs du secteur s’avouent surpris par cette libéralisation totale.
L’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann) a fait cette annonce à l’occasion de sa 32e réunion internationale, qui s’est ouverte lundi à Paris en présence de 1.500 participants de plus de 70 pays. "Outre les .com, .net ou .org, dès le premier trimestre de 2009, les 1,3 milliard d’internautes pourront acquérir des adresses génériques, en déposant des mots courants comme .amour, .haine ou .ville ou encore des noms propres", a déclaré le président de l’Icann, Paul Twomey, dans une interview au quotidien économique français Les Echos. Actuellement, 162 millions de noms sont recensés, dont plus de la moitié en .net et .com sur un total de quelque 250 extensions. Les acteurs du secteur s’avouent surpris par cette libéralisation totale.
Lancement de Firefox 3
- par elabweb
Si pour naviguer vous devez double-cliquer sur une icône en forme de renard, vous êtes en train de surfer sur Internet en utilisant Firefox, un concurrent de Internet Explorer, au cas où vous ne le saviez pas ! Et si vous ne le savez pas encore, ce navigateur, issu de la communauté Open Source en est à sa troisième version, qui se décline en 50 langues dont l’arabe la version en tamazight n’est pas encore disponible ! Donc, la fondation Mozilla a lancé, mardi dernier, sur internet, la nouvelle version de son navigateur Firefox, le principal concurrent du logiciel de navigation internet Explorer de Microsoft, qui a conquis en deux ans près de 20% du marché mondial.
Firefox 3, qui présente 15 000 améliorations par rapport à la version précédente est trois fois plus rapide, a assuré Mozilla dans un communiqué, il a été mis à disposition en téléchargement gratuit, en 50 langues. La nouvelle version s’adapte davantage aux habitudes de ses utilisateurs, un bouton permet d’ajouter un signet en un clic, de nouvelles options de zoom sont disponibles et la sécurité contre les virus et logiciels espions a été renforcée. Autre nouveauté, une barre d’outils suggère des sites ayant un rapport avec ceux consultés. Firefox a été victime de son succès, car le site spécial installé pour le téléchargement a été immédiatement embouteillé et, est resté inaccessible 2 heures après son lancement. Avant que le téléchargement soit possible, il comptait mardi dernier déjà, plus de 1,5 million de promesses de participation. Depuis 2004, date du lancement de ce logiciel libre qui fonctionne avec tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac et Linux), Firefox dit avoir conquis 175 millions d’utilisateurs dans le monde. Selon le cabinet Net Applications, Firefox, qui a progressé notamment en Europe et au Canada, détenait 18,4% du marché mondial en mai dernier, contre 73,8% pour Internet Explorer et 6,3% pour le navigateur Safari d’Apple, qui a vu sa part de marché grimper ces derniers mois grâce à la hausse des ventes d’ordinateurs Macintosh. Mozilla espérait pour ce démarrage établir un « record du monde » des téléchargements en 24 heures. La fondation Mozilla l’avait annoncé clairement : elle comptait, avec le lancement de Firefox 3, entrer dans le livre des records ! Catégorie : le plus grand nombre de téléchargements en 24 heures L’opération avait pour petit nom « Download Day », elle visait à faire connaître Firefox au grand public et à fédérer la communauté.
Côté chiffres, il semblerait que la mission soit accomplie : plus de 8 millions de personnes (ou plus exactement 8 290 545) ont en effet, téléchargé la nouvelle version du navigateur, en un jour. Un classement a même été effectué, dominé par les Etats-Unis (plus de 2,5 millions de downloads), suivis de l’Allemagne, du Japon, de l’Espagne, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Iran, de l’Italie, du Canada et de la Pologne. Les téléchargements n’ont pas cessé depuis, et Firefox totalisait, samedi dernier, plus de 13 millions de téléchargements
Firefox 3, qui présente 15 000 améliorations par rapport à la version précédente est trois fois plus rapide, a assuré Mozilla dans un communiqué, il a été mis à disposition en téléchargement gratuit, en 50 langues. La nouvelle version s’adapte davantage aux habitudes de ses utilisateurs, un bouton permet d’ajouter un signet en un clic, de nouvelles options de zoom sont disponibles et la sécurité contre les virus et logiciels espions a été renforcée. Autre nouveauté, une barre d’outils suggère des sites ayant un rapport avec ceux consultés. Firefox a été victime de son succès, car le site spécial installé pour le téléchargement a été immédiatement embouteillé et, est resté inaccessible 2 heures après son lancement. Avant que le téléchargement soit possible, il comptait mardi dernier déjà, plus de 1,5 million de promesses de participation. Depuis 2004, date du lancement de ce logiciel libre qui fonctionne avec tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac et Linux), Firefox dit avoir conquis 175 millions d’utilisateurs dans le monde. Selon le cabinet Net Applications, Firefox, qui a progressé notamment en Europe et au Canada, détenait 18,4% du marché mondial en mai dernier, contre 73,8% pour Internet Explorer et 6,3% pour le navigateur Safari d’Apple, qui a vu sa part de marché grimper ces derniers mois grâce à la hausse des ventes d’ordinateurs Macintosh. Mozilla espérait pour ce démarrage établir un « record du monde » des téléchargements en 24 heures. La fondation Mozilla l’avait annoncé clairement : elle comptait, avec le lancement de Firefox 3, entrer dans le livre des records ! Catégorie : le plus grand nombre de téléchargements en 24 heures L’opération avait pour petit nom « Download Day », elle visait à faire connaître Firefox au grand public et à fédérer la communauté.
Côté chiffres, il semblerait que la mission soit accomplie : plus de 8 millions de personnes (ou plus exactement 8 290 545) ont en effet, téléchargé la nouvelle version du navigateur, en un jour. Un classement a même été effectué, dominé par les Etats-Unis (plus de 2,5 millions de downloads), suivis de l’Allemagne, du Japon, de l’Espagne, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Iran, de l’Italie, du Canada et de la Pologne. Les téléchargements n’ont pas cessé depuis, et Firefox totalisait, samedi dernier, plus de 13 millions de téléchargements
La version bêta du nouveau Skype est disponible
- par elabweb
A la fin du mois d'avril, Skype publiait la version 3.8 finale de son logiciel de téléphonie et de visiophonie sur Internet pour Windows. L'éditeur, qui appartient à eBay, ne chôme pas, puisqu'il diffuse désormais la bêta de la version 4.0, disponible en français. Une sortie plus rapide que prévu. Skype présente cette bêta susceptible de bugs comme une évolution importante du produit.
L'interface a été totalement refondue pour en faire un centre multimédia et pouvoir contrôler dans une seule et même fenêtre toutes les conversations en cours (appels, conversations vidéo, SMS, messagerie instantanée ). Plus besoin, donc, de jongler avec plusieurs fenêtres. Les boutons d'appel sont plus volumineux. Et, en un clic, la conversation en vidéo avec un interlocuteur peut basculer en plein écran.
Des fonctions qui manquent encore
C'est d'ailleurs précisément du côté de la visiophonie que Skype annonce des améliorations. Les appels vidéo sont en principe de meilleure qualité, et un espace de messagerie instantanée est accessible directement dans la fenêtre pour joindre l'écrit à l'image en cas de besoin.
Certaines fonctions disponibles sur la version 3.8 ne le sont pas encore sur cette bêta, comme le transfert d'appel ou le rappel automatique. Skype invite ses utilisateurs à télécharger cette bêta et à lui faire part de leurs remarques. L'éditeur ne donne pas de date pour la sortie de la version finale mais indique qu'il y travaillera « tout l'été ».
L'interface a été totalement refondue pour en faire un centre multimédia et pouvoir contrôler dans une seule et même fenêtre toutes les conversations en cours (appels, conversations vidéo, SMS, messagerie instantanée ). Plus besoin, donc, de jongler avec plusieurs fenêtres. Les boutons d'appel sont plus volumineux. Et, en un clic, la conversation en vidéo avec un interlocuteur peut basculer en plein écran.
Des fonctions qui manquent encore
C'est d'ailleurs précisément du côté de la visiophonie que Skype annonce des améliorations. Les appels vidéo sont en principe de meilleure qualité, et un espace de messagerie instantanée est accessible directement dans la fenêtre pour joindre l'écrit à l'image en cas de besoin.
Certaines fonctions disponibles sur la version 3.8 ne le sont pas encore sur cette bêta, comme le transfert d'appel ou le rappel automatique. Skype invite ses utilisateurs à télécharger cette bêta et à lui faire part de leurs remarques. L'éditeur ne donne pas de date pour la sortie de la version finale mais indique qu'il y travaillera « tout l'été ».
YouTube lance son service de diffusion de films
- par elabweb
Google enrichit son service de vidéo en ligne d'un nouveau service baptisé YouTube Screening Room. Il autorise les créateurs de contenus à s'affranchir d'une limite importante, puisqu'ils pourront mettre en ligne des vidéos qui dépassent les dix minutes imposées jusqu'à présent pour juguler le piratage. Ce service est présenté officiellement comme « une plate-forme pour permettre aux films de trouver l'audience qu'ils méritent ». Reste toutefois une limite de poids pour chaque fichier, fixée à 1 Go.
(Publicité)
Bien sûr, cette fonctionnalité n'est pas ouverte à tous : il faut s'enregistrer auprès de Google pour faire partie des partenaires qui acceptent de monétiser leurs contenus. YouTube Screening Room s'adresse donc aux producteurs de films ou courts métrages, pas à l'internaute qui voudrait poster ses vidéos de vacances. Pour l'instant, le service propose le visionnage gratuit de quatre courts métrages, dont l'un a déjà remporté un Oscar. Nul doute que la plate-forme permettra à terme de visionner des films en entier.
À côté de chaque vidéo, se trouve un bouton « Achetez maintenant », qui redirige l'internaute soit vers le site du réalisateur ou du film, ou soit vers l'un des webmarchands qui proposent l'achat de l'oeuvre sur DVD ou en format dématérialisé.
Pour en savoir plus : Google demande à YouTube d'être rentable à la fin 2008 TF1 réclame 100 millions d'euros de dommages à YouTube VOD : les utilisateurs plébiscitent la publicité pour faire baisser les prix
(Publicité)
Bien sûr, cette fonctionnalité n'est pas ouverte à tous : il faut s'enregistrer auprès de Google pour faire partie des partenaires qui acceptent de monétiser leurs contenus. YouTube Screening Room s'adresse donc aux producteurs de films ou courts métrages, pas à l'internaute qui voudrait poster ses vidéos de vacances. Pour l'instant, le service propose le visionnage gratuit de quatre courts métrages, dont l'un a déjà remporté un Oscar. Nul doute que la plate-forme permettra à terme de visionner des films en entier.
À côté de chaque vidéo, se trouve un bouton « Achetez maintenant », qui redirige l'internaute soit vers le site du réalisateur ou du film, ou soit vers l'un des webmarchands qui proposent l'achat de l'oeuvre sur DVD ou en format dématérialisé.
Pour en savoir plus : Google demande à YouTube d'être rentable à la fin 2008 TF1 réclame 100 millions d'euros de dommages à YouTube VOD : les utilisateurs plébiscitent la publicité pour faire baisser les prix
Un appel à investissement dans la technopole de Sidi Abdellah est lancé par les pouvoirs publics. Notamment via le Master plan réclamé par le ministère de l’Environnement.
Les trois pôles d’excellence de la ville de Sidi Abdellah dont le CyberParc sont concernés par cet appel. Ce dernier met en avant des arguments qui plaident pour un drainage massif de l’investissement. A l’instar du prix du mètre carré qui est à l’heure actuelle à 8000,00D.A. et qui pourrait passer à 15.000,00D.A. en 2009. Et c’est à ce titre que dans une lettre adressée aux investisseurs, le département de Cherif Rahmani exhortait ces derniers à déposer leurs dossiers dans un délai de deux mois, soit avant fin de juillet prochain, afin que leurs requêtes soient traitées dans les délais. En parallèle, l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques qui donne une nomenclature des activités du cyberparc, dresse le profil des futurs occupants de cet espace. Cet éventail d’occupants est décrit comme un ensemble viable, permettant de catalyser les interactions et les innovations tant au sein du cyberparc qu’entre le cyberparc et les institutions et les entreprises Tic situées à l’extérieur. Il est dit que ces dernières peuvent être de statut public ou privé. Locales ou étrangères, leur mission est d’offrir des produits ou services liés aux Tic, ainsi que des plates-formes d’extension d’informatique pour tous secteurs économiques dont les banques, le gaz et le pétrole. Toute entreprise élue aura de facto un rôle de catalyseur; en ce sens qu’elle doit permettre de booster la création et l’expansion des entreprises Tic. L’on cite ici les agences d’aide aux petites entreprises et les incubateurs. La catégorie des entreprises convoitées comprend également tous les prestataires de services professionnels tels que les agences de relations publiques, de marketing et de publicité, les conseils juridiques, les cabinets de conseil en management, les cabinets spécialisés dans la planification financière, les agences bancaires, et les sociétés de capital risque. Et l’Observatoire des Tic pour fournir aux entreprises du secteur des renseignements sur le marché ainsi que le siège d’associations sectorielles. Dans la spécialité recherche et développement (R&D) la frontière entre public et privé est abolie. En outre, sont sollicités les services R&D des universités ou des consortiums ou laboratoires de recherche indépendants. La contribution de la R&D internationale est aussi décisive. Notamment pour permettre un transfert de technologie et une collaboration locale-internationale. En matière de formation et d’enseignement, il est fait appel à des instituts universitaires des écoles supérieures, des universités et des établissements de formation privés et publics qui proposent des cours et des formations dans le domaine des Tic. Enfin, au chapitre loisirs et commerce l’on évoque des équipements de loisirs, des structures récréatives, d’établissements de restauration et de petits commerce de détail.
Salim BENALIA
Les trois pôles d’excellence de la ville de Sidi Abdellah dont le CyberParc sont concernés par cet appel. Ce dernier met en avant des arguments qui plaident pour un drainage massif de l’investissement. A l’instar du prix du mètre carré qui est à l’heure actuelle à 8000,00D.A. et qui pourrait passer à 15.000,00D.A. en 2009. Et c’est à ce titre que dans une lettre adressée aux investisseurs, le département de Cherif Rahmani exhortait ces derniers à déposer leurs dossiers dans un délai de deux mois, soit avant fin de juillet prochain, afin que leurs requêtes soient traitées dans les délais. En parallèle, l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques qui donne une nomenclature des activités du cyberparc, dresse le profil des futurs occupants de cet espace. Cet éventail d’occupants est décrit comme un ensemble viable, permettant de catalyser les interactions et les innovations tant au sein du cyberparc qu’entre le cyberparc et les institutions et les entreprises Tic situées à l’extérieur. Il est dit que ces dernières peuvent être de statut public ou privé. Locales ou étrangères, leur mission est d’offrir des produits ou services liés aux Tic, ainsi que des plates-formes d’extension d’informatique pour tous secteurs économiques dont les banques, le gaz et le pétrole. Toute entreprise élue aura de facto un rôle de catalyseur; en ce sens qu’elle doit permettre de booster la création et l’expansion des entreprises Tic. L’on cite ici les agences d’aide aux petites entreprises et les incubateurs. La catégorie des entreprises convoitées comprend également tous les prestataires de services professionnels tels que les agences de relations publiques, de marketing et de publicité, les conseils juridiques, les cabinets de conseil en management, les cabinets spécialisés dans la planification financière, les agences bancaires, et les sociétés de capital risque. Et l’Observatoire des Tic pour fournir aux entreprises du secteur des renseignements sur le marché ainsi que le siège d’associations sectorielles. Dans la spécialité recherche et développement (R&D) la frontière entre public et privé est abolie. En outre, sont sollicités les services R&D des universités ou des consortiums ou laboratoires de recherche indépendants. La contribution de la R&D internationale est aussi décisive. Notamment pour permettre un transfert de technologie et une collaboration locale-internationale. En matière de formation et d’enseignement, il est fait appel à des instituts universitaires des écoles supérieures, des universités et des établissements de formation privés et publics qui proposent des cours et des formations dans le domaine des Tic. Enfin, au chapitre loisirs et commerce l’on évoque des équipements de loisirs, des structures récréatives, d’établissements de restauration et de petits commerce de détail.
Salim BENALIA
TÉLÉPHONIE MOBILE : L’Algérie numéro un au Maghreb
- par elabweb
Un appel d’offres international ouvrant le marché national à la troisième génération de téléphonie mobile est enfin lancé.
La démocratisation de l’Internet en Algérie est le principal thème traité dans le magazine Djazaïr.com, publication mensuelle du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui en est à son troisième numéro. La baisse de 50% des tarifs de connexion à Internet marque un pas «supplémentaire» dans l’application du programme du président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, est-il souligné dans un article consacré à la première Journée nationale de l’Internet, célébrée le 20 avril dernier. «Grâce à cette baisse, le taux de pénétration de l’Internet qui est de 15% au niveau national, soit 4 millions d’abonnés, devrait atteindre les 50% d’ici la fin de l’année en cours», indique-t-on encore dans ce magazine. Dans ce même numéro, il est également annoncé l’introduction imminente de la téléphonie mobile de 3e génération (3G) alors que l’Algérie est numéro un au Maghreb en matière de téléphonie mobile, compte tenu du bond réalisé en 2007. Rebondissant sur le chapitre Internet, il est rappelé que les trois plates-formes, Easy, Fawri et Anis ont été fusionnées en une seule entité, Djaweb, qui dispose d’un catalogue de services Internet diversifiés. Le dossier de la cybercriminalité, traité dans ce numéro, révèle que l’Algérie est sur le point de se doter d’un «arsenal juridique» pour lutter contre ce fléau, citant le ministre du secteur, M.Boudjemaâ Haïchour, qui a affirmé que «la lutte contre la cybercriminalité nécessite des compétences et c’est pour cela que le volet formation, sensibilisation et responsabilité constitue la clé de voûte de toute démarche pour la mise en place d’une cybersécurité».
Le président-directeur général d’Algérie Telecom satellite (ATS), M.Mahiedine Maâche, a indiqué quant à lui dans un entretien, que plusieurs nouveaux services «fiables et innovants» ont été mis à la disposition des usagers, notamment la vidéoconférence, la téléphonie Voip et la «géolocalisation» par satellite, permettant la gestion de flottes sur de vastes distances. Notre pays qui lance un appel d’offres international pour le marché de la 3 G (téléphonie de troisième génération) continue, néanmoins, à parfaire la couverture du réseau téléphonique.
Au moment où la baisse de moitié du tarif d’abonnement à Internet à haut débit décidée depuis quelques semaines, aura permis de revaloriser le téléphone fixe et d’augmenter le chiffre d’affaires d’Algérie Télécom, selon les propres termes du minis-tre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce dernier a également précisé que l’Algérie connaît actuellement «une révolution dans le domaine de la poste et des télécommunications et a accompli des progrès considérables au cours des huit dernières années dans la couverture des 1541 communes du pays par le réseau de fibre optique».
Salim BENALIA
La démocratisation de l’Internet en Algérie est le principal thème traité dans le magazine Djazaïr.com, publication mensuelle du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui en est à son troisième numéro. La baisse de 50% des tarifs de connexion à Internet marque un pas «supplémentaire» dans l’application du programme du président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, est-il souligné dans un article consacré à la première Journée nationale de l’Internet, célébrée le 20 avril dernier. «Grâce à cette baisse, le taux de pénétration de l’Internet qui est de 15% au niveau national, soit 4 millions d’abonnés, devrait atteindre les 50% d’ici la fin de l’année en cours», indique-t-on encore dans ce magazine. Dans ce même numéro, il est également annoncé l’introduction imminente de la téléphonie mobile de 3e génération (3G) alors que l’Algérie est numéro un au Maghreb en matière de téléphonie mobile, compte tenu du bond réalisé en 2007. Rebondissant sur le chapitre Internet, il est rappelé que les trois plates-formes, Easy, Fawri et Anis ont été fusionnées en une seule entité, Djaweb, qui dispose d’un catalogue de services Internet diversifiés. Le dossier de la cybercriminalité, traité dans ce numéro, révèle que l’Algérie est sur le point de se doter d’un «arsenal juridique» pour lutter contre ce fléau, citant le ministre du secteur, M.Boudjemaâ Haïchour, qui a affirmé que «la lutte contre la cybercriminalité nécessite des compétences et c’est pour cela que le volet formation, sensibilisation et responsabilité constitue la clé de voûte de toute démarche pour la mise en place d’une cybersécurité».
Le président-directeur général d’Algérie Telecom satellite (ATS), M.Mahiedine Maâche, a indiqué quant à lui dans un entretien, que plusieurs nouveaux services «fiables et innovants» ont été mis à la disposition des usagers, notamment la vidéoconférence, la téléphonie Voip et la «géolocalisation» par satellite, permettant la gestion de flottes sur de vastes distances. Notre pays qui lance un appel d’offres international pour le marché de la 3 G (téléphonie de troisième génération) continue, néanmoins, à parfaire la couverture du réseau téléphonique.
Au moment où la baisse de moitié du tarif d’abonnement à Internet à haut débit décidée depuis quelques semaines, aura permis de revaloriser le téléphone fixe et d’augmenter le chiffre d’affaires d’Algérie Télécom, selon les propres termes du minis-tre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce dernier a également précisé que l’Algérie connaît actuellement «une révolution dans le domaine de la poste et des télécommunications et a accompli des progrès considérables au cours des huit dernières années dans la couverture des 1541 communes du pays par le réseau de fibre optique».
Salim BENALIA
Selon l’association Gsma, le continent africain va investir plus de 50 milliards de dollars (32,3 milliards d’euros) en Afrique subsaharienne pour couvrir 90% de la population d’ici les cinq prochaines années.
Mais, regrette cette source, des régulations nationales trop rigides et des situations de monopole freinent les progrès du mobile dans le continent noir. Ce dernier qui poursuit sa croissance dans le domaine du mobile, ne dispose, en effet, que de 250 millions d’abonnés. Soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible de la planète. Cependant, l’on précise qu’à la fin de l’année 2007, 282 millions d’Africains possédaient un mobile. Ce qui se traduit par une augmentation de plus de 30% sur un an.
Alors qu’en matière d’infrastructures, près de 66% de la population africaine est actuellement desservie par un relais sans fil, contre 62% en 2007. Toutefois, de grandes inégalités subsistent dans la distribution du mobile entre les différentes régions d’Afrique. L’Egypte, le Kenya, le Rwanda ou l’Ouganda disposent d’une couverture à hauteur de 90% de leurs territoires respectifs. D’autres zones sont au contraire complètement dépourvues de tout réseau. Ainsi, plus de 300 millions de ruraux ne disposent d’aucune couverture réseau. Une topographie qui rejoint presque celle de la téléphonie fixe qui est concentrée à 58,5% dans le nord de l’Afrique.
En gros, les pays d’Afrique du Nord qui représentent 17,2% du total de la population du continent, détiennent un taux de pénétration de téléphonie fixe de 58,5%, de téléphonie mobile de 32,8% et 35% d’internautes.
Salim BENALIA
Mais, regrette cette source, des régulations nationales trop rigides et des situations de monopole freinent les progrès du mobile dans le continent noir. Ce dernier qui poursuit sa croissance dans le domaine du mobile, ne dispose, en effet, que de 250 millions d’abonnés. Soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible de la planète. Cependant, l’on précise qu’à la fin de l’année 2007, 282 millions d’Africains possédaient un mobile. Ce qui se traduit par une augmentation de plus de 30% sur un an.
Alors qu’en matière d’infrastructures, près de 66% de la population africaine est actuellement desservie par un relais sans fil, contre 62% en 2007. Toutefois, de grandes inégalités subsistent dans la distribution du mobile entre les différentes régions d’Afrique. L’Egypte, le Kenya, le Rwanda ou l’Ouganda disposent d’une couverture à hauteur de 90% de leurs territoires respectifs. D’autres zones sont au contraire complètement dépourvues de tout réseau. Ainsi, plus de 300 millions de ruraux ne disposent d’aucune couverture réseau. Une topographie qui rejoint presque celle de la téléphonie fixe qui est concentrée à 58,5% dans le nord de l’Afrique.
En gros, les pays d’Afrique du Nord qui représentent 17,2% du total de la population du continent, détiennent un taux de pénétration de téléphonie fixe de 58,5%, de téléphonie mobile de 32,8% et 35% d’internautes.
Salim BENALIA
Pour la téléphonie mobile, le continent africain compte 250 millions d’abonnés, soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible au monde. Les pays d’Afrique du Nord qui représentent 17,2% du total de la population du continent, détiennent un taux de pénétration de téléphonie fixe de 58,5%, de téléphonie mobile de 32,8% et 35% d’Internautes. Selon un rapport de la Commission de l’Union africaine (UA), à l’occasion de l’exposition «Africa Télécoms» prévue au Caire, la densité téléphonique en Afrique est de trois lignes pour 100 habitants (la plus faible au monde). Le réseau de téléphonie fixe a enregistré, quant à lui, une croissance de 5,8% de 2001 à 2006, ajoute le document. Pour la téléphonie mobile, le continent africain compte 250 millions d’abonnés, soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible au monde, indique le même rapport qui révèle que 5% des Africains sous-utilisent l’Internet avec 2,5% d’abonnés. La moyenne d’utilisation d’Internet est de 17% dans le monde, 11% en Asie, 35% en Europe et 35,7% dans les deux Amériques, précise le rapport. La Commission de l’UA, lit-on encore dans le document, a mis au point une stratégie à double programme pour le renforcement des secteurs de télécommunications et des technologies de l’information. Le document appelle, par ailleurs, à la création de cadres organisationnels, juridiques et politiques pour réunir les conditions favorables à l’investissement et au développement durable.
Salim BENALIA
Salim BENALIA
La numérisation des archives nationales
- par elabweb
A en croire les protagonistes de ce partenariat, d’importants pans de l’administration algérienne, en dépit de certains «freins culturels», sont favorables à la gestion électronique de leurs documents.
Bassim Karkachi, président de la société Bivision Systems qu’il a fondée aux Etats-Unis en 1999, a fait partie de la délégation des chefs d’entreprise américains en visite en Algérie du 5 au 15 avril dernier. Jouant le rôle d’interface entre les sociétés américaines et algériennes, M.Karkachi a évoqué alors, des contrats de partenariat et de solutions que présente son entreprise sur le marché algérien.
Un objectif que semble déjà atteindre ce jeune manager qui propose cette fois, et grâce à un partenariat paraphé avec la société de droit algérien Xerox, de numériser les archives nationales.
Dans ce joint-venture, la société Bivision systems qui est spécialisée dans l’intégration des systèmes d’informations, des systèmes de gestion du savoir, des systèmes de télécommunications ainsi que les méthodes destinées à la modernisation de la productivité des entreprises, offre la solution Capture Doc du nom d’une autre société américaine spécialisée dans le domaine de la gestion électronique des documents (GED).
Forte d’une expérience de dix ans, cette société dispose aujourd’hui des moyens technologiques les plus modernes utilisés dans le domaine de la numérisation des données. Elle offre des solutions de pointe facilitant l’accès à l’information aux entreprises, institutions et organismes en tous genres.
CaptureDoc aide donc les entreprises à mieux contrôler les documents qu’elles produisent, ce qui leur permet de réduire les coûts inhérents à la gestion de leurs documents. Elle propose également des services variés tels que la conversion des documents papier en format digital, la classification automatique des documents, la reconnaissance automatique de l’écriture et des formes, la suppression automatique des données confidentielles, le traitement numérique des images, etc.
Les technologies proposées par Capture Doc sont actuellement utilisées par 5000 entreprises. 25 d’entres elles figurent dans la liste des 500 plus grandes compagnies américaines.
D’ores et déjà, l’on apprend que certaines entreprises et institutions algériennes séduites par ce procédé inédit ont déjà bénéficié de la technologie Bivision et ont modernisé leurs moyens de gestion et système d’information.
Il s’agit là d’une plate-forme avec plusieurs briques modulaires, interface Web, gestion de procédure, système d’information géographique, visualisation support multilingue...le tout déjà pré-intégré, installé et facile à paramétrer.
Notons également que dans le domaine des télécommunications, Bivision Systems propose le téléphone portable fonctionnant en mode talkie-walkie baptisé Stak Spak. Un téléphone destiné essentiellement aux petites et moyennes entreprises éprouvant le besoin de communiquer à distance en groupes fermés.
Salim BENALIA
Bassim Karkachi, président de la société Bivision Systems qu’il a fondée aux Etats-Unis en 1999, a fait partie de la délégation des chefs d’entreprise américains en visite en Algérie du 5 au 15 avril dernier. Jouant le rôle d’interface entre les sociétés américaines et algériennes, M.Karkachi a évoqué alors, des contrats de partenariat et de solutions que présente son entreprise sur le marché algérien.
Un objectif que semble déjà atteindre ce jeune manager qui propose cette fois, et grâce à un partenariat paraphé avec la société de droit algérien Xerox, de numériser les archives nationales.
Dans ce joint-venture, la société Bivision systems qui est spécialisée dans l’intégration des systèmes d’informations, des systèmes de gestion du savoir, des systèmes de télécommunications ainsi que les méthodes destinées à la modernisation de la productivité des entreprises, offre la solution Capture Doc du nom d’une autre société américaine spécialisée dans le domaine de la gestion électronique des documents (GED).
Forte d’une expérience de dix ans, cette société dispose aujourd’hui des moyens technologiques les plus modernes utilisés dans le domaine de la numérisation des données. Elle offre des solutions de pointe facilitant l’accès à l’information aux entreprises, institutions et organismes en tous genres.
CaptureDoc aide donc les entreprises à mieux contrôler les documents qu’elles produisent, ce qui leur permet de réduire les coûts inhérents à la gestion de leurs documents. Elle propose également des services variés tels que la conversion des documents papier en format digital, la classification automatique des documents, la reconnaissance automatique de l’écriture et des formes, la suppression automatique des données confidentielles, le traitement numérique des images, etc.
Les technologies proposées par Capture Doc sont actuellement utilisées par 5000 entreprises. 25 d’entres elles figurent dans la liste des 500 plus grandes compagnies américaines.
D’ores et déjà, l’on apprend que certaines entreprises et institutions algériennes séduites par ce procédé inédit ont déjà bénéficié de la technologie Bivision et ont modernisé leurs moyens de gestion et système d’information.
Il s’agit là d’une plate-forme avec plusieurs briques modulaires, interface Web, gestion de procédure, système d’information géographique, visualisation support multilingue...le tout déjà pré-intégré, installé et facile à paramétrer.
Notons également que dans le domaine des télécommunications, Bivision Systems propose le téléphone portable fonctionnant en mode talkie-walkie baptisé Stak Spak. Un téléphone destiné essentiellement aux petites et moyennes entreprises éprouvant le besoin de communiquer à distance en groupes fermés.
Salim BENALIA
Tester la sécurité de votre ordinateur
- par elabweb
Pour voir si votre ordinateur serait éventuellement accessible à des pirates, allez sur le site http://check.sdv.fr:3658/. Il scannera les ports (liens avec l'extérieur) de votre ordinateur, et vous donnera votre niveau de sécurité.
L'aéroport Houari Boumediène se met en ligne
- par elabweb
Les horaires d'arrivée et de départ des vols sont accessibles aux voyageurs sur Internet. Un suivi en temps réel des arrivées ou des départs effectifs ou des retards n'est toutefois pas disponible. Le site se décline uniquement en français. Il gagnerait à se décliner, dans une seconde version, en langue arabe.
Il est loin le temps où pour pouvoir connaître l'heure d'arrivée ou de départ d'un vol à partir de l'aéroport Houari Boumediène, il fallait appeler un numéro où l'opératrice vous faisait regretter le jour où vous avez appris à utiliser un téléphone. Et si vous étiez chanceux, un voisin ou un cousin travaillant à Air Algérie vous aurait certainement filé le bon horaire. Dans le pire des cas, il fallait se déplacer à l'aéroport et attendre que la sono daigne vous cracher les horaires ou attendre que les écrans affichent l'information tant recherchée. Mais ceci est de la préhistoire ! Depuis le 1er juin, la veille du début de la saison estivale, l'entreprise qui gère l'aéroport d'Alger Houari Boumediène a lancé un site web www.aeroportalger.dz rendant accessible une somme d'informations qui intéressera les voyageurs et toute personne utilisant les services de l'aéroport. Il est clair qu'au top des informations recherchées, les horaires d'arrivée et de départ des vols sont au premier rang. Pour cette première phase, la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA) a mis en ligne les horaires des vols à partir de et envers le terminal 1 (international). Les dates disponibles vont jusqu'au 25 octobre 2008. Pour les autres terminaux (terminal 2 domestique, terminal 3 pour les vols pèlerinage et charters), l'entreprise n'a pas encore mis en ligne leurs horaires respectifs. Un suivi en temps réel des arrivées ou des départs effectifs et ou des retards n'est toutefois pas disponible. Le site se décline uniquement en français. Il gagnerait à se décliner, dans une seconde version, en langue arabe. Aéroport Houari Boumediène ou aéroport d'Alger ? « Des informations concernant tous les services et commerces disponibles à l'aéroport sont également disponibles sur ce site, tels les moyens d'accès à l'aéroport, les navettes et taxis ainsi que les bureaux de change, banques et hôtels », lit-on dans le communiqué de l'entreprise de gestion de l'aéroport. Le défunt président Houari Boumediène doit se retourner dans sa tombe. L'observateur est tenté de se poser la question du nom de l'aéroport : aucune référence au nom de Houari Boumediène. Est-ce que l'aéroport a été rebaptisé ? Ou, pire encore, on veut le rebaptiser en catimini en tablant sur l'habitude de la nouvelle dénomination ? Car, même le logo du site ne contient que : aéroport d'Alger. A noter que la conception et la réalisation du site a été confiée à Dynamic Pixels, une web agency de Biu Net. Elle a eu à réaliser plusieurs sites algériens dont Cevital (cevital.com), Hamoud Boualem (hamoud-boualem.com), la Poste algérienne (poste.dz) et Nissan (nissan.dz).
Par: Samir Ben - El Watan
Il est loin le temps où pour pouvoir connaître l'heure d'arrivée ou de départ d'un vol à partir de l'aéroport Houari Boumediène, il fallait appeler un numéro où l'opératrice vous faisait regretter le jour où vous avez appris à utiliser un téléphone. Et si vous étiez chanceux, un voisin ou un cousin travaillant à Air Algérie vous aurait certainement filé le bon horaire. Dans le pire des cas, il fallait se déplacer à l'aéroport et attendre que la sono daigne vous cracher les horaires ou attendre que les écrans affichent l'information tant recherchée. Mais ceci est de la préhistoire ! Depuis le 1er juin, la veille du début de la saison estivale, l'entreprise qui gère l'aéroport d'Alger Houari Boumediène a lancé un site web www.aeroportalger.dz rendant accessible une somme d'informations qui intéressera les voyageurs et toute personne utilisant les services de l'aéroport. Il est clair qu'au top des informations recherchées, les horaires d'arrivée et de départ des vols sont au premier rang. Pour cette première phase, la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA) a mis en ligne les horaires des vols à partir de et envers le terminal 1 (international). Les dates disponibles vont jusqu'au 25 octobre 2008. Pour les autres terminaux (terminal 2 domestique, terminal 3 pour les vols pèlerinage et charters), l'entreprise n'a pas encore mis en ligne leurs horaires respectifs. Un suivi en temps réel des arrivées ou des départs effectifs et ou des retards n'est toutefois pas disponible. Le site se décline uniquement en français. Il gagnerait à se décliner, dans une seconde version, en langue arabe. Aéroport Houari Boumediène ou aéroport d'Alger ? « Des informations concernant tous les services et commerces disponibles à l'aéroport sont également disponibles sur ce site, tels les moyens d'accès à l'aéroport, les navettes et taxis ainsi que les bureaux de change, banques et hôtels », lit-on dans le communiqué de l'entreprise de gestion de l'aéroport. Le défunt président Houari Boumediène doit se retourner dans sa tombe. L'observateur est tenté de se poser la question du nom de l'aéroport : aucune référence au nom de Houari Boumediène. Est-ce que l'aéroport a été rebaptisé ? Ou, pire encore, on veut le rebaptiser en catimini en tablant sur l'habitude de la nouvelle dénomination ? Car, même le logo du site ne contient que : aéroport d'Alger. A noter que la conception et la réalisation du site a été confiée à Dynamic Pixels, une web agency de Biu Net. Elle a eu à réaliser plusieurs sites algériens dont Cevital (cevital.com), Hamoud Boualem (hamoud-boualem.com), la Poste algérienne (poste.dz) et Nissan (nissan.dz).
Par: Samir Ben - El Watan
ePub : L'Europe rattrape les Etats-Unis
- par elabweb
Avec une croissance de 40 % en 2007 des dépenses publicitaires en ligne, l'Europe se rapproche des Etats-Unis, selon une étude couvrant 16 pays de PricewaterhouseCoopers pour la branche européenne de l'IAB (Interactive Advertising Bureau) . Le marché européen atteint 11,2 milliards d'euros, contre 14,5 milliards outre-Atlantique, où la croissance était de 26 %. Le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France comptent pour près des deux tiers du marché européen.
L'e-pub dépasse les 10 % des dépenses publicitaires globales dans sept pays : Pays-Bas (18,5 %), Norvège (15,6 %), Royaume-Uni (15,3 %), Danemark (14,3 %), Suède (13,3 %), Allemagne (11,6 %), et Pologne (10 %). Viennent ensuite la Belgique (9,1 %) et la France (8,8 %). Les plus fortes croissances sur 2007 sont enregistrées en Grèce (91 %), Espagne (55 %) et Slovénie (49 %).
Les annonceurs dépensent seulement 38 euros par internaute en France, contre 133 en Norvège, 121 au Royaume-Uni et 76 en Allemagne par exemple. Aux Etats-Unis, la dépense moyenne par internaute est de 92 euros.
L'e-pub dépasse les 10 % des dépenses publicitaires globales dans sept pays : Pays-Bas (18,5 %), Norvège (15,6 %), Royaume-Uni (15,3 %), Danemark (14,3 %), Suède (13,3 %), Allemagne (11,6 %), et Pologne (10 %). Viennent ensuite la Belgique (9,1 %) et la France (8,8 %). Les plus fortes croissances sur 2007 sont enregistrées en Grèce (91 %), Espagne (55 %) et Slovénie (49 %).
Les annonceurs dépensent seulement 38 euros par internaute en France, contre 133 en Norvège, 121 au Royaume-Uni et 76 en Allemagne par exemple. Aux Etats-Unis, la dépense moyenne par internaute est de 92 euros.
Lancement de Google Santé
- par elabweb
Le groupe internet Google, leader mondial de la publicité en ligne, a lancé Google Health (Google Santé), un service gratuit permettant aux internautes de stocker et de gérer leurs données médicales directement sur la toile.
En présentant ce nouveau produit, lors d'une conférence de presse à Moutain View, son siège californien, Google a affirmé que la plateforme d'accès à Google Health était totalement sécurisée et indépendante de la plateforme permettant aux internautes de surfer grâce au moteur de recherche de Google. Il n'y aurait donc aucun risque de voir ses données médicales se retrouver sur le net contre son gré. « nous avons mis en place la politique de protection des données privées la plus stricte qui soit », a insisté Marissa Meyer, vice-présidente de la division des produits de recherche chez Google. Connecté avec des pharmacies, des cliniques et des laboratoires, Google Health permet à tout internaute de stocker ses données médicales, d'avoir une copie électronique de son dossier médical, et de le partager comme bon lui semble. Un internaute peut par exemple décider de stocker sur Google Health ses résultats d'analyse, son CV sanitaire, ses séjours en clinique ou à l'hôpital, ses ordonnances, les médicaments qu'il prend, etc. Et lui seul peut décider avec qui partager ces informations. Ainsi, l'utilisateur peut décider par avance que tout son dossier médical ainsi stocké sera accessible par un hôpital en cas d'intervention urgente. « Google stocke une copie de vos données médicales, à votre place, c'est une base de données contrôlée par l'utilisateur que Google ne fait qu'héberger, a insisté Roni Zeiger, directeur de Google Health. Avec ce produit, Google lance un nouveau défi au géant du logiciel Microsoft, qui offre un service similaire depuis octobre avec HealthVault.
Source: El Watan
En présentant ce nouveau produit, lors d'une conférence de presse à Moutain View, son siège californien, Google a affirmé que la plateforme d'accès à Google Health était totalement sécurisée et indépendante de la plateforme permettant aux internautes de surfer grâce au moteur de recherche de Google. Il n'y aurait donc aucun risque de voir ses données médicales se retrouver sur le net contre son gré. « nous avons mis en place la politique de protection des données privées la plus stricte qui soit », a insisté Marissa Meyer, vice-présidente de la division des produits de recherche chez Google. Connecté avec des pharmacies, des cliniques et des laboratoires, Google Health permet à tout internaute de stocker ses données médicales, d'avoir une copie électronique de son dossier médical, et de le partager comme bon lui semble. Un internaute peut par exemple décider de stocker sur Google Health ses résultats d'analyse, son CV sanitaire, ses séjours en clinique ou à l'hôpital, ses ordonnances, les médicaments qu'il prend, etc. Et lui seul peut décider avec qui partager ces informations. Ainsi, l'utilisateur peut décider par avance que tout son dossier médical ainsi stocké sera accessible par un hôpital en cas d'intervention urgente. « Google stocke une copie de vos données médicales, à votre place, c'est une base de données contrôlée par l'utilisateur que Google ne fait qu'héberger, a insisté Roni Zeiger, directeur de Google Health. Avec ce produit, Google lance un nouveau défi au géant du logiciel Microsoft, qui offre un service similaire depuis octobre avec HealthVault.
Source: El Watan
Smart Link Communication (SLC), opérateur et intégrateur de services, vient d’inaugurer son bureau régional et son centre de maintenance à Hassi Messaoud, en présence de ses partenaires Alcatel-Lucent, Systimax et HP.
Au cours d’une conférence de presse animée en marge des ateliers consacrés à l’occasion pour les nouvelles solutions d’intégration, l’organisateur et ses partenaires, en présentant leurs sociétés respectives, sont revenus sur les réalités et perspectives du marché algérien des Tic notamment dans son segment de solutions d’accès à internet haut débit.
En s’associant à des partenaires comme Alcatel-Lucent pour la partie commutateurs, HP pour les serveurs et Systimax pour le câblage intelligent, SLC avec son millier de clients/entreprises utilisant la technologie WiMAX tend à devenir un intégrateur complet de solutions.
«Il va de l’intérêt national que les technologies de l’information qui constituent désormais un élément central dans toute les activités humaines soient mobilisées et encouragées, afin de permettre des solutions rationnelles aux différents problèmes et, partant, de favoriser l’essor économique», a déclaré en substance Lotfi Nezzar, directeur général de SLC.
Cela dit, l’encouragement de l’utilisation des Tic à commencer par la démocratisation de l’accès haut débit ne devrait pas se faire, précise le manager de SLC, au détriment des intérêts des opérateurs. Ce dernier en saluant l’initiative prise par Algérie Télécom de réduire de 50% les tarifs d’accès à internet mettra l’accent sur l’autre aspect de cette décision qui aurait engendré de son avis des ventes à perte pour Algérie Télécom et d’une manière encore plus accentuée pour la concurrence.
Pour que les providers retrouvent leur équilibre dans cette nouvelle tarification, arrangeant plus bien sûr le client final qui est le citoyen, M. Nezzar dira qu’Algérie Télécom doit faire des efforts sur les prix d’interconnexion qu’il propose de réduire de 70%.
A ce sujet, il annoncera, en sa qualité de fournisseur de services Internet, que sa société compte saisir l’Autorité de régulation sur ce qu’il qualifie de «concurrence déloyale».
Abondant sur la dernière coupure dont a été victime son réseau WiMAX récemment, il pointera un doigt accusateur vers France Télécom Egypte qui serait derrière «l’acte malveillant», ayant endommagé le lien de SLC en Espagne. Reconnaissant la réaction rapide et efficace d’Algérie Télécom dans le rétablissement du lien, après une journée et demie de black-out, lequel opérateur a en plus exigé l’ouverture d’une enquête sur l’affaire, M. Nezzar annonce l’établissement d’un deuxième lien avec l’Italie pour éviter à sa clientèle ce genre d’incidents à l’avenir.
Par ailleurs, et en réponse à une question sur le volume du marché local des Tic, le responsable d’Alcatel-Lucent Algérie, Slimane Djellal, explique que dans un marché où la classification des entreprises n’est pas vraiment établie, il est difficile de quantifier son volume. Il reste qu’avec quelque chose comme 200.000 TPE (entreprises de 1 à 5 salariés) recensées et des institutions publiques représentant 80% du marché, le réseau algérien d’entreprise pèserait annuellement 100 millions d’euros.
A noter qu’avec un chiffre d’affaires de 80 à 100 millions de dollars réalisé en Algérie, cet équipementier détient une belle part du marché national des réseaux d’entreprises en sa qualité d’important partenaire d’Algérie Télécom.
Quant au nouveau réseau local de Hassi Messaoud qu’il vient d’investir avec les SLC, Systimax et HP, il constitue un autre apport de taille en sachant que les entreprises d’hydrocarbures, basées dans la région pour l’écrasante majorité, consacrent annuellement pour les Tic 3% de leur imposant chiffre d’affaires.
Au cours d’une conférence de presse animée en marge des ateliers consacrés à l’occasion pour les nouvelles solutions d’intégration, l’organisateur et ses partenaires, en présentant leurs sociétés respectives, sont revenus sur les réalités et perspectives du marché algérien des Tic notamment dans son segment de solutions d’accès à internet haut débit.
En s’associant à des partenaires comme Alcatel-Lucent pour la partie commutateurs, HP pour les serveurs et Systimax pour le câblage intelligent, SLC avec son millier de clients/entreprises utilisant la technologie WiMAX tend à devenir un intégrateur complet de solutions.
«Il va de l’intérêt national que les technologies de l’information qui constituent désormais un élément central dans toute les activités humaines soient mobilisées et encouragées, afin de permettre des solutions rationnelles aux différents problèmes et, partant, de favoriser l’essor économique», a déclaré en substance Lotfi Nezzar, directeur général de SLC.
Cela dit, l’encouragement de l’utilisation des Tic à commencer par la démocratisation de l’accès haut débit ne devrait pas se faire, précise le manager de SLC, au détriment des intérêts des opérateurs. Ce dernier en saluant l’initiative prise par Algérie Télécom de réduire de 50% les tarifs d’accès à internet mettra l’accent sur l’autre aspect de cette décision qui aurait engendré de son avis des ventes à perte pour Algérie Télécom et d’une manière encore plus accentuée pour la concurrence.
Pour que les providers retrouvent leur équilibre dans cette nouvelle tarification, arrangeant plus bien sûr le client final qui est le citoyen, M. Nezzar dira qu’Algérie Télécom doit faire des efforts sur les prix d’interconnexion qu’il propose de réduire de 70%.
A ce sujet, il annoncera, en sa qualité de fournisseur de services Internet, que sa société compte saisir l’Autorité de régulation sur ce qu’il qualifie de «concurrence déloyale».
Abondant sur la dernière coupure dont a été victime son réseau WiMAX récemment, il pointera un doigt accusateur vers France Télécom Egypte qui serait derrière «l’acte malveillant», ayant endommagé le lien de SLC en Espagne. Reconnaissant la réaction rapide et efficace d’Algérie Télécom dans le rétablissement du lien, après une journée et demie de black-out, lequel opérateur a en plus exigé l’ouverture d’une enquête sur l’affaire, M. Nezzar annonce l’établissement d’un deuxième lien avec l’Italie pour éviter à sa clientèle ce genre d’incidents à l’avenir.
Par ailleurs, et en réponse à une question sur le volume du marché local des Tic, le responsable d’Alcatel-Lucent Algérie, Slimane Djellal, explique que dans un marché où la classification des entreprises n’est pas vraiment établie, il est difficile de quantifier son volume. Il reste qu’avec quelque chose comme 200.000 TPE (entreprises de 1 à 5 salariés) recensées et des institutions publiques représentant 80% du marché, le réseau algérien d’entreprise pèserait annuellement 100 millions d’euros.
A noter qu’avec un chiffre d’affaires de 80 à 100 millions de dollars réalisé en Algérie, cet équipementier détient une belle part du marché national des réseaux d’entreprises en sa qualité d’important partenaire d’Algérie Télécom.
Quant au nouveau réseau local de Hassi Messaoud qu’il vient d’investir avec les SLC, Systimax et HP, il constitue un autre apport de taille en sachant que les entreprises d’hydrocarbures, basées dans la région pour l’écrasante majorité, consacrent annuellement pour les Tic 3% de leur imposant chiffre d’affaires.
Colloque international sur la gouvernance des institutions et l’intelligence économique
- par elabweb
Ouverture, hier au Sheraton, du colloque international sur la gouvernance des institutions et l’intelligence économique organisé par l’Université de la formation continue. Cette rencontre internationale placée sous le haut patronage du Président de la République a vu la présence des ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, et de l’Industrie et de la Promotion des investissements, M. Abdelhamid Temmar, et du conseiller du Président de la République, M. Boughazi.
De nombreux chefs d’entreprises, des experts nationaux et étrangers, des universitaires et les représentants de la presse étaient présents à cette manifestation. Ce fut le recteur de l’Université de la formation continue qui a tracé les objectifs fixés à cette manifestation destinée à s’inspirer de ce qui se fait à l’extérieur et de l’adapter pour notre propre compte.
Le ministre de l’Enseignement supérieur a évoqué, dans son intervention, les nouveaux instruments qui accompagnent aujourd’hui l’économie de la connaissance qui, aujourd’hui, permettent la valorisation des ressources humaines et d’affronter dans les meilleures dispositions possibles la concurrence à l’échelle internationale. Les changements induits par cette éruption de l’économie de la connaissance visent à une sécurité accrue, à la mise en place par l’Etat d’une politique de l’intelligence économique. Cette culture et son prolongement en termes d’organisation nécessitent des investissements importants dans l’administration d’un pays, dans les universités et les centres de recherche, permettre aux entreprises de disposer d’informations de nature stratégique qui serviront d’aide à la décision. L’enseignement spécialisé initié par l’UFC sous la forme d’un DPGS en post-graduation en intelligence économique, ouvert en 2007, est une avancée substantielle.
Intervenant à la suite du ministre de l’Enseignement supérieur, le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, M. Abdelhamid Temmar, relève dans son propos qu’il n’existe pas de définition exhaustive de l’intelligence économique, du moins pas encore. L’intelligence économique s’adapte à tous les contextes présentement, un instrument qui soit sophistiqué et utile à ceux qui l’utilisent. Nous sommes à l’intérieur d’un système, un marché où les entreprises doivent aller au maximum de leurs capacités pour affronter la concurrence. Il faut donner du temps à nos entreprises pour se constituer et se doter en stratégie.
L’intelligence économique en Algérie est en construction, construction du concept et structuration de son contenu. Tout ce travail a été fait au travers de la stratégie mise en place par le gouvernement, selon M. Temmar.
Il s’agit du recueil et de l’exploitation de l’information au service d’un pilotage stratégique des entreprises et développement des connaissances. Tout ce qui peut donc permettre de décider dans les plus brefs délais. L’intelligence économique est cette information organisée. Il s’agit de toute opération visant à mettre à la disposition des décideurs des informations qui serviront d’aide à la décision.
Pour l’orateur, l’intelligence économique est un instrument qu’il faut savoir utiliser. Il est sophistiqué. Ceux qui sont appelés à l’utiliser doivent donc être préparés. La politique publique d’intelligence économique inclut de nombreux aspects, la mise à niveau notamment. L’innovation compte beaucoup dans une stratégie d’intelligence économique. Cela va avec une politique de promotion de ressources humaines. Il n’y a enfin pas d’intelligence économique sans support. Ce support est alors constitué par les TIC.
Le ministre a souligné que les experts présents au colloque peuvent nous aider, dit-il, à mieux cerner le concept et à mieux le définir, celui de l’intelligence économique. Pour M. Temmar, l’IE n’a de sens que si elle prépare l’entreprise algérienne à mieux s’assumer et défendre ses intérêts, affronter la concurrence, prendre les décisions les plus appropriées.
Le ministre a souligné que notre économie est déjà dans la mondialisation, que la phase d’intégration à celle-ci est achevée. Notre économie fonctionne dès lors sur un mode de liberté économique, on ne peut donner ses chances à l’économie du pays, la rendre compétitive que si elle se dote de capacités nouvelles.
Pour le ministre de l’Industrie, l’Etat tire sa puissance de la compétitivité de ses entreprises. Il faut donc renforcer la compétitivité des entreprises. Le fil conducteur en la matière demeure l’information. Si nos entreprises ne sont pas capables d’utiliser l’information, elles dépendront forcément de l’extérieur. L’intelligence économique passe par la réorganisation des entreprises, du dynamisme de leurs dirigeants. Notre économie est une économie ouverte, où l’action de l’Etat est une action nécessaire qui permet de réunir les conditions nécessaires pour que les entreprises aillent à la compétitivité. Nous avons des id
De nombreux chefs d’entreprises, des experts nationaux et étrangers, des universitaires et les représentants de la presse étaient présents à cette manifestation. Ce fut le recteur de l’Université de la formation continue qui a tracé les objectifs fixés à cette manifestation destinée à s’inspirer de ce qui se fait à l’extérieur et de l’adapter pour notre propre compte.
Le ministre de l’Enseignement supérieur a évoqué, dans son intervention, les nouveaux instruments qui accompagnent aujourd’hui l’économie de la connaissance qui, aujourd’hui, permettent la valorisation des ressources humaines et d’affronter dans les meilleures dispositions possibles la concurrence à l’échelle internationale. Les changements induits par cette éruption de l’économie de la connaissance visent à une sécurité accrue, à la mise en place par l’Etat d’une politique de l’intelligence économique. Cette culture et son prolongement en termes d’organisation nécessitent des investissements importants dans l’administration d’un pays, dans les universités et les centres de recherche, permettre aux entreprises de disposer d’informations de nature stratégique qui serviront d’aide à la décision. L’enseignement spécialisé initié par l’UFC sous la forme d’un DPGS en post-graduation en intelligence économique, ouvert en 2007, est une avancée substantielle.
Intervenant à la suite du ministre de l’Enseignement supérieur, le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, M. Abdelhamid Temmar, relève dans son propos qu’il n’existe pas de définition exhaustive de l’intelligence économique, du moins pas encore. L’intelligence économique s’adapte à tous les contextes présentement, un instrument qui soit sophistiqué et utile à ceux qui l’utilisent. Nous sommes à l’intérieur d’un système, un marché où les entreprises doivent aller au maximum de leurs capacités pour affronter la concurrence. Il faut donner du temps à nos entreprises pour se constituer et se doter en stratégie.
L’intelligence économique en Algérie est en construction, construction du concept et structuration de son contenu. Tout ce travail a été fait au travers de la stratégie mise en place par le gouvernement, selon M. Temmar.
Il s’agit du recueil et de l’exploitation de l’information au service d’un pilotage stratégique des entreprises et développement des connaissances. Tout ce qui peut donc permettre de décider dans les plus brefs délais. L’intelligence économique est cette information organisée. Il s’agit de toute opération visant à mettre à la disposition des décideurs des informations qui serviront d’aide à la décision.
Pour l’orateur, l’intelligence économique est un instrument qu’il faut savoir utiliser. Il est sophistiqué. Ceux qui sont appelés à l’utiliser doivent donc être préparés. La politique publique d’intelligence économique inclut de nombreux aspects, la mise à niveau notamment. L’innovation compte beaucoup dans une stratégie d’intelligence économique. Cela va avec une politique de promotion de ressources humaines. Il n’y a enfin pas d’intelligence économique sans support. Ce support est alors constitué par les TIC.
Le ministre a souligné que les experts présents au colloque peuvent nous aider, dit-il, à mieux cerner le concept et à mieux le définir, celui de l’intelligence économique. Pour M. Temmar, l’IE n’a de sens que si elle prépare l’entreprise algérienne à mieux s’assumer et défendre ses intérêts, affronter la concurrence, prendre les décisions les plus appropriées.
Le ministre a souligné que notre économie est déjà dans la mondialisation, que la phase d’intégration à celle-ci est achevée. Notre économie fonctionne dès lors sur un mode de liberté économique, on ne peut donner ses chances à l’économie du pays, la rendre compétitive que si elle se dote de capacités nouvelles.
Pour le ministre de l’Industrie, l’Etat tire sa puissance de la compétitivité de ses entreprises. Il faut donc renforcer la compétitivité des entreprises. Le fil conducteur en la matière demeure l’information. Si nos entreprises ne sont pas capables d’utiliser l’information, elles dépendront forcément de l’extérieur. L’intelligence économique passe par la réorganisation des entreprises, du dynamisme de leurs dirigeants. Notre économie est une économie ouverte, où l’action de l’Etat est une action nécessaire qui permet de réunir les conditions nécessaires pour que les entreprises aillent à la compétitivité. Nous avons des id
colloque international organisé par l’UFC sur la gouvernance des institutions et l’intelligence écon
- par elabweb
Le recteur de l’Université de la formation continue (UFC), M. Abdeldjebar Lemnouar, a assuré, hier, au Centre de presse d’El Moudjahid, une conférence de presse destinée à informer les représentants des médias sur le déroulement des travaux du colloque international qui aura lieu les 14, 15 et 16 juin prochains, organisé par l’UFC. Il s’agit d’un colloque international qui aura lieu au Sheraton, placé sous le haut parrainage du Président de la République.
Il aura pour thème «La gouvernance des institutions et l’intelligence économique». Le recteur de l’UFC a fait état des modalités d’organisation et des objectifs poursuivis à travers ce colloque, en rappelant que le concept de gouvernance est aujourd’hui au centre de tous les débats à l’échelle des institutions, comme celle des entreprises. C’est un concept qui désigne le processus allant des prises de décisions à leur application, souligne l’orateur, qui y ajoute à leur contrôle aussi au sein des institutions et des organisations publiques, privées, entrpreneuriales, nationales ou locales.
S’agissant du concept d’intelligence économique, celui qui désigne l’anticipation et l’ensemble des actions permettant à une organisation d’identifier les raisons d’aller dans telle direction, compte tenu des informations et connaissances en sa possession. Le recteur de l’UFC, en évoquant l’association intelligence économique, gouvernance, affirme qu’elle paraît naturelle, puisque les deux concepts reposent sur la maîtrise des décisions pour agir de manière éclairée dans le respect des objectifs de l’organisation.
Parlant du colloque, M. Lemnouar souligne qu’il a pour objectif d’essayer de comprendre pourquoi l’institution publique, concernée comme l’entreprise par la gouvernance, peut bénéficier de l’appui de la démarche méthodologique de l’intelligence économique. Le recteur de l’UFC rappelle que le gouvernement algérien, voilà plus d’une année, a pris position pour le développement de la culture de l’intelligence économique dans les entreprises avec l’aide de l’Etat. Selon une déclaration finale d’un Conseil de gouvernement tenu en date du 20 décembre 2006, l’intelligence économique s’entend comme une démarche d’anticipation et de projection dans le futur, fondée sur les liens qui unissent les réseaux des entreprises et ceux des opérateurs économiques. C’est un volet qui s’avère en tout cas important dans la stratégie nationale industrielle. Le ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements a intégré l’intelligence économique dans son organigramme, en lui dédiant toute une structure sans compter qu’elle est sous-entendue dans l’ensemble des actions initiées.
L’ambition est la diffusion d’une culture de l’intelligence qui ambitionne d’agir sur les comportements individuels comme collectifs des acteurs économiques privés comme publics. Il y a aussi l’objectif de création d’une synergie public-privé, la promotion du développement, la mise en place de dispositifs de veille. Cet ensemble d’actions vise à faire face aux conditions de l’ouverture du marché à la concurrence et de décourager les pratiques déloyales en jouant la transparence.
Enfin, l’intelligence économique telle que perçue aujourd’hui fait appel à la prospective en décelant les actions stratégiques à entreprendre. Il est attendu de l’Etat, la mise en place d’une politique nationale d’intelligence économique et de veille stratégique à même d’offrir aux entreprises les moyens de se doter d’outils nécessaires visant à la conduite de sa politique.
La globalisation, l’ouverture des marchés et les déréglementations, note le recteur de l’UFC, sont les témoins de la poussée du libéralisme et de ses dérives : pénurie, spéculation, malversations et pratiques frauduleuses.
Les problèmes de gouvernance en sont rendus difficiles. L’orateur rappelle un certain nombre de caractéristiques majeures qui peuvent qualifier la bonne gouvernance comme la démocratie représentative, le respect de la loi, la transparence dans la gestion, la réactivité, la médiation, l’équité, l’efficacité, la responsabilité.
Ce sont autant de concepts qui, associés les uns aux autres, donnent une image aussi fidèle que possible de ce que peut être la bonne gouvernance. Quelle est alors la part de l’intelligence économique dans cette pratique de la bonne gouvernance, s’interroge M. Lemnouar et comment en faire profiter les acteurs institutionnels et les acteurs économiques, c’est un des buts du colloque organisé par l’UFC de dévoiler la marche à suivre. L’objectif de la manifestation est de favoriser le dialogue entre les acteurs publics et privés et d’avoir leurs témoignages sur ce qui a été entrepris. Le recteur rappelle que le colloque vient couronner la post-graduation spécialisée en intelligence économique créée en avril 2007, dans le cadre de la coopération algéro-française.
Evoquant la tenue du colloque des 14, 15 et 16 juin prochains, le recteur de l’UFC souligne que cette manifes
Il aura pour thème «La gouvernance des institutions et l’intelligence économique». Le recteur de l’UFC a fait état des modalités d’organisation et des objectifs poursuivis à travers ce colloque, en rappelant que le concept de gouvernance est aujourd’hui au centre de tous les débats à l’échelle des institutions, comme celle des entreprises. C’est un concept qui désigne le processus allant des prises de décisions à leur application, souligne l’orateur, qui y ajoute à leur contrôle aussi au sein des institutions et des organisations publiques, privées, entrpreneuriales, nationales ou locales.
S’agissant du concept d’intelligence économique, celui qui désigne l’anticipation et l’ensemble des actions permettant à une organisation d’identifier les raisons d’aller dans telle direction, compte tenu des informations et connaissances en sa possession. Le recteur de l’UFC, en évoquant l’association intelligence économique, gouvernance, affirme qu’elle paraît naturelle, puisque les deux concepts reposent sur la maîtrise des décisions pour agir de manière éclairée dans le respect des objectifs de l’organisation.
Parlant du colloque, M. Lemnouar souligne qu’il a pour objectif d’essayer de comprendre pourquoi l’institution publique, concernée comme l’entreprise par la gouvernance, peut bénéficier de l’appui de la démarche méthodologique de l’intelligence économique. Le recteur de l’UFC rappelle que le gouvernement algérien, voilà plus d’une année, a pris position pour le développement de la culture de l’intelligence économique dans les entreprises avec l’aide de l’Etat. Selon une déclaration finale d’un Conseil de gouvernement tenu en date du 20 décembre 2006, l’intelligence économique s’entend comme une démarche d’anticipation et de projection dans le futur, fondée sur les liens qui unissent les réseaux des entreprises et ceux des opérateurs économiques. C’est un volet qui s’avère en tout cas important dans la stratégie nationale industrielle. Le ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements a intégré l’intelligence économique dans son organigramme, en lui dédiant toute une structure sans compter qu’elle est sous-entendue dans l’ensemble des actions initiées.
L’ambition est la diffusion d’une culture de l’intelligence qui ambitionne d’agir sur les comportements individuels comme collectifs des acteurs économiques privés comme publics. Il y a aussi l’objectif de création d’une synergie public-privé, la promotion du développement, la mise en place de dispositifs de veille. Cet ensemble d’actions vise à faire face aux conditions de l’ouverture du marché à la concurrence et de décourager les pratiques déloyales en jouant la transparence.
Enfin, l’intelligence économique telle que perçue aujourd’hui fait appel à la prospective en décelant les actions stratégiques à entreprendre. Il est attendu de l’Etat, la mise en place d’une politique nationale d’intelligence économique et de veille stratégique à même d’offrir aux entreprises les moyens de se doter d’outils nécessaires visant à la conduite de sa politique.
La globalisation, l’ouverture des marchés et les déréglementations, note le recteur de l’UFC, sont les témoins de la poussée du libéralisme et de ses dérives : pénurie, spéculation, malversations et pratiques frauduleuses.
Les problèmes de gouvernance en sont rendus difficiles. L’orateur rappelle un certain nombre de caractéristiques majeures qui peuvent qualifier la bonne gouvernance comme la démocratie représentative, le respect de la loi, la transparence dans la gestion, la réactivité, la médiation, l’équité, l’efficacité, la responsabilité.
Ce sont autant de concepts qui, associés les uns aux autres, donnent une image aussi fidèle que possible de ce que peut être la bonne gouvernance. Quelle est alors la part de l’intelligence économique dans cette pratique de la bonne gouvernance, s’interroge M. Lemnouar et comment en faire profiter les acteurs institutionnels et les acteurs économiques, c’est un des buts du colloque organisé par l’UFC de dévoiler la marche à suivre. L’objectif de la manifestation est de favoriser le dialogue entre les acteurs publics et privés et d’avoir leurs témoignages sur ce qui a été entrepris. Le recteur rappelle que le colloque vient couronner la post-graduation spécialisée en intelligence économique créée en avril 2007, dans le cadre de la coopération algéro-française.
Evoquant la tenue du colloque des 14, 15 et 16 juin prochains, le recteur de l’UFC souligne que cette manifes
Près de 10.000 visiteurs ont été enregistrés à la deuxième édition du Salon national de la Bureautique, Informatique et du Multimédia, qui a pris fin hier après-midi à l'issue de dix journées de présentation au Palais des Expositions d'Oran. L'affluence relevée témoigne de l'intérêt accordé à cette manifestation par les ménages oranais qui y ont saisi l'opportunité pour s'équiper ou simplement prendre connaissance des dernières innovations en matière de technologies de l'information et de la communication, ont indiqué les organisateurs. Ce Salon a regroupé 25 exposants spécialisés dans divers segments d'activité du secteur des TIC, rappelle-t-on. Les micro-ordinateurs de bureau et portables ont constitué l'attraction majeure de cet événement, générée notamment par les prix promotionnels affichés aux différents stands d'exposition de ces produits, signale-t-o L'opportunité a été également offerte aux ménages de s'équiper de téléviseurs modernes à l'instar de ceux proposés par l'Entreprise nationale des industries électroniques (ENIE), unique organisme public présent à ce rendez-vous. Ce Salon a été organisé par la société "Sogexpo International", basée à Alger, en collaboration avec l'Entreprise des manifestations économiques d'Oran (EMEC).