Nouvelles
La gestion de sa visibilité en ligne devient alors un enjeu important pour le producteur de contenu. Au fur et à mesure qu’il évolue dans la publication sur internet et que son image et sa « réputation numérique » se diffuse au travers de ses écrits et de ses actes, des « connexions » s’établissent avec les autres producteurs de contenus et de véritables « systèmes d’informations » se créent.
Friend Wheel sur FaceBook
Il est donc important de savoir ce qu’il se dit dans sa/ses sphère(s) d’intérêts, de repérer les bonnes sources d’inspirations et d’éviter les « mauvaises ». Un « travailleur de l’information » se doit d’être sans cesse connecté avec ses pairs (les personnes évoluant dans la même sphère d’intérêt) pour savoir ce qui se dit, ce qui se fait et ce qui se prépare pour l’avenir afin de pouvoir y trouver sa place pour y apporter sa valeur personnelle.
Plus un individu est visible, plus il sera connecté et plus il aura besoin de maitriser d’outils pour gérer l’information qui circule et interagit autour de lui. L’individu hypervisible à donc tendance à être également hyperconnecté.
A un niveau extrême de connectivité, l’Internet permet d’atteindre un certain degré d’ubiquité étant défini alors comme la faculté d’être présent à plusieurs endroit en même temps. En effet vous pouvez être « présent » en chat avec une ou plusieurs personnes en temps réels, en même temps il est possible que l’on parle de vous dans une discussion ou alors que l’on passe du temps à pensez à vous en lisant un de vos articles. L’individu hyperconnecté atteint donc un niveau de « présence spirituelle » au travers des différents liens numériques et physique qu’il entretient avec son entourage.
Le langage type SMS figure en tête du Top 5 des pratiques qui agacent le plus les destinataires de courriers électroniques, devant l'envoi d'e-mails groupés à plus de cinq destinataires (16%), l'utilisation des majuscules (16%), l'absence d'objet clair et précis (12%) et la présence d'accusés de réception (10%).
Les résultats de cette enquête ont conduit Yahoo! à éditer un petit "Guide des bonnes manières pour l'usage du courriel". Ce petit livret dévoile 10 conseils avisés pour aider les internautes à "mieux communiquer à travers des écrans interposés".
Dans son guide, Yahoo! conseille par exemple de ne pas utiliser de majuscules dans les mails afin de ne pas agresser le destinataire, de bannir le langage texto, ou encore d'éviter les mails groupés qui paraissent froids et impersonnels.
Le guide proposé par Yahoo est téléchargeable gratuitement. Il peut également être partager sur Facebook, Twitter, et autres blogs.
Yahoo! rappelle que 210 milliards de mails sont enchangés chaque année dans le monde. En France, 89% des internauts utilisent ce mode de communication.
Site : http://ymailfr.com
Orange commercialise le HTC Dream, premier terminal sous Android lancé en France, qui embarque les applications pré-installées telles que Recherche Google, Google Maps, Gmail et YouTube.
MontaVista Linux + Fresscale = un temps de démarrage record
Le démarrage se fait depuis une machine éteinte et non mise en veille. La démonstration aura lieu au Virtual Freescale Technology Forum qui se tient depuis mardi et montrera un dashboard ou tableau de bord en français. Il s’agit d’une interface bâtie sur MontaVista Professional Edition Linux 6 et conçue pour le processeur Freescale MPC5121e utilisant une architecture Power.
Un produit destiné à un usage industriel
MontaVista explique qu’il a réussi à concevoir un système d’exploitation pouvant démarrer en une seconde grâce à l’ajustement de nombreux logiciels et paramètres ainsi que la conception d’un kernel hautement optimisé. La firme se félicite donc d’avoir fait taire les plus sceptiques qui pensaient qu’un système embarqué Linux démarrant en une seconde n’était pas possible. On s’attend à ce que ce produit soit utilisé avant tout dans le cadre industriel avec des machines demandant une réactivité immédiate.
Source : MontaVista
Cette manifestation, qui se poursuivra aujourd’hui, a pour objectif de favoriser les échanges d’expertises et le développement de partenariats entre entreprises, universitaires et institutionnels (financiers et autres). Il s’agit également de présenter les nouveautés et nouvelles utilisations dans le domaine des TIC.
Cette manifestation, articulée autour de la thématique Système d’information et le Management de l’entreprise, est devenue le rendez-vous régulier des PME, start-up et institutions tunisiennes et celles de la région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA) qui souhaitent élargir leurs activités dans la zone euromed.
Au programme de cette manifestation auront lieu workshops, conférences et contacts d’affaires devant mettre en relation l’offre et la demande et favoriser des partenariats.
Cette rencontre méditerranéenne d’affaires constitue une précieuse opportunité pour tous ceux qui cherchent des marchés au Maghreb et dans les pays francophones d’Afrique, des partenaires pour externaliser leurs services au moindre coût, un laboratoire d’école d’ingénieurs ou d’universités pour développer leurs projets de recherche et développement (R et D), une implantation sur un parc technologique au Maghreb
Mme Lamia Chaffai Sghaier, secrétaire d’Etat chargée de l’informatique, de l’Internet et des logiciels libres a souligné, à l’ouverture de cette manifestation, que la Tunisie n’a cessé d’œuvrer pour mettre en place les fondements de l’économie du savoir et pour s’adapter aux évolutions technologiques. L’information économique, devenue un outil indispensable de management au sein de l’entreprise et un support d’aide à la prise de décision, joue un rôle important dans ce cadre, surtout si elle répond aux critères de crédibilité, de transparence et d’efficacité, a-t-elle dit.
La secrétaire d’Etat a également mis l’accent sur le rôle des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans l’amélioration de la productivité et de la compétitivité des entreprises économiques sur les plans national et international.
Le dispositif comprend un voyage virtuel de onze étapes au fil desquelles les internautes vont avoir l'occasion de voir et revoir les moments forts de cette mission historique vers la Lune. Au programme de cette reconstitution : enregistrements audios de la Nasa, clichés, ou encore clips vidéos.
Outre ces communications désormais légendaires entre astronautes et centre de contrôle de Houston (Texas), des alertes par courrier électronique viendront agrémenter ce voyage de quatre jours. Elles avertiront les internautes du déroulé de la mission et particulièrement du moment précis où l'engin spatial se posera sur la Lune.
Pour aller encore plus loin sur les traces de la mission Apollo 11, un widget téléchargeable gratuitement permettra de suivre les exploits de l'équipage depuis son bureau ou sur les sites communaitaires, à commencer par Twitter.
Après ce voyage "guidé" virtuel de quatre jours, les visiteurs pourront accéder durant un an librement et autant de fois qu'ils le souhaitent aux étapes de leur choix.
Site : www.wechoosethemoon.org

A suivre !
meta name="robots" contents="noindex,nofollow"
sans oublier de le mettre entre < />

Pour éviter cela, il suffit de rajouter dans l'en-tête de votre page HTML la balise de code suivante :
" "
Vous souhaitez peut-être archiver des pagesHTML sur votre site, sans pour autant les rendre accessibles à vos visiteurs.
La solution nécessaire mais non suffisante consiste tout d'abord à ne pas créer des liens qui correspondent à ces pages. Cependant, les moteurs de recherche risquent malgré tout de trouver ces pages et de les divulguer au monde des internautes curieux !
Pour éviter cela, il suffit de rajouter dans l'en-tête de votre page HTML la balise de code suivante :

Vous souhaitez peut-être archiver des pagesHTML sur votre site, sans pour autant les rendre accessibles à vos visiteurs.
La solution nécessaire mais non suffisante consiste tout d'abord à ne pas créer des liens qui correspondent à ces pages. Cependant, les moteurs de recherche risquent malgré tout de trouver ces pages et de les divulguer au monde des internautes curieux !
Pour éviter cela, il suffit de rajouter dans l'en-tête de votre page HTML la balise de code suivante :
It's been an exciting nine months since we launched the Google Chrome browser. Already, over 30 million people use it regularly. We designed Google Chrome for people who live on the web searching for information, checking email, catching up on the news, shopping or just staying in touch with friends. However, the operating systems that browsers run on were designed in an era where there was no web. So today, we're announcing a new project that's a natural extension of Google Chrome the Google Chrome Operating System. It's our attempt to re-think what operating systems should be.
Google Chrome OS is an open source, lightweight operating system that will initially be targeted at netbooks. Later this year we will open-source its code, and netbooks running Google Chrome OS will be available for consumers in the second half of 2010. Because we're already talking to partners about the project, and we'll soon be working with the open source community, we wanted to share our vision now so everyone understands what we are trying to achieve.
javascript:AddSmiley('%3Cimg=eek%3E','rapporter','ptxt');
Speed, simplicity and security are the key aspects of Google Chrome OS. We're designing the OS to be fast and lightweight, to start up and get you onto the web in a few seconds. The user interface is minimal to stay out of your way, and most of the user experience takes place on the web. And as we did for the Google Chrome browser, we are going back to the basics and completely redesigning the underlying security architecture of the OS so that users don't have to deal with viruses, malware and security updates. It should just work.
Google Chrome OS will run on both x86 as well as ARM chips and we are working with multiple OEMs to bring a number of netbooks to market next year. The software architecture is simple Google Chrome running within a new windowing system on top of a Linux kernel. For application developers, the web is the platform. All web-based applications will automatically work and new applications can be written using your favorite web technologies. And of course, these apps will run not only on Google Chrome OS, but on any standards-based browser on Windows, Mac and Linux thereby giving developers the largest user base of any platform.
Google Chrome OS is a new project, separate from Android. Android was designed from the beginning to work across a variety of devices from phones to set-top boxes to netbooks. Google Chrome OS is being created for people who spend most of their time on the web, and is being designed to power computers ranging from small netbooks to full-size desktop systems. While there are areas where Google Chrome OS and Android overlap, we believe choice will drive innovation for the benefit of everyone, including Google.
We hear a lot from our users and their message is clear computers need to get better. People want to get to their email instantly, without wasting time waiting for their computers to boot and browsers to start up. They want their computers to always run as fast as when they first bought them. They want their data to be accessible to them wherever they are and not have to worry about losing their computer or forgetting to back up files. Even more importantly, they don't want to spend hours configuring their computers to work with every new piece of hardware, or have to worry about constant software updates. And any time our users have a better computing experience, Google benefits as well by having happier users who are more likely to spend time on the Internet.
We have a lot of work to do, and we're definitely going to need a lot of help from the open source community to accomplish this vision. We're excited for what's to come and we hope you are too. Stay tuned for more updates in the fall and have a great summer.


Selon l’étude menée dans 5 pays (dont la France), par EUN Schoolnet, pour le compte de Cisco, l’écart hommes/femmes dans les TIC perdure et les stéréotypes détournent plus que jamais les femmes des emplois technologiques
Les femmes seraient encore nombreuses, malgré leurs compétences équivalentes à celles des hommes, à renoncer à la poursuite de leurs études ou à occuper des emplois dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).
L’étude montre que, dans le secteur des TIC, seulement 27,8% des responsables informatique et des responsables de systèmes d’information sont des femmes, et parmi les ingénieurs en matériels informatiques, on ne compte que 9,6% de femmes.
Dans les domaines des sciences de l’ingénieur et des technologies, seuls 5,8 % des postes de professeur de l’enseignement supérieur sont occupés par des femmes.
L’étude révèle également que, parmi les jeunes femmes interrogées qui étudient actuellement les TIC au niveau secondaire, la majorité est intéressée par ce domaine, mais la moitié d’entre elles renonceront à poursuivre leurs études et à faire carrière dans les TIC.
Enfin, l’analyse des résultats montre que le facteur le plus démotivant de tous est l’impressionque le secteur technologique est avant tout un domaine réservé aux hommes.
Ce constat alarmant représente une déperdition de talents pour cette industrie à une époque où, malgré la récession économique, les pénuries de compétences menacent de freiner la productivité.
Pour Laurent Blanchard, Vice-président Cisco Europe et Directeur Général Cisco France, l’industrie et les pouvoirs publics devraient collaborer afin de faire évoluer les perceptions qu’ont actuellement les jeunes femmes.
« Outre l’effet que l’écart entre les sexes peut avoir sur les pénuries de compétences prévues, le trop faible nombre de femmes entrant dans le secteur des TIC représente aujourd’hui une perte de talents pour l’industrie et une perte d’opportunités pour les jeunes femmes qui arrivent sur le marché du travail. La sous-représentation des femmes dans les TIC va nécessairement perdurer si l’on ne fait pas davantage pour éduquer, soutenir et encourager les jeunes femmes et celles qui leur servent d’exemple. La collaboration entre le public et le privé pourrait bien avoir un rôle stratégique à jouer afin d’ouvrir l’esprit des jeunes femmes aux technologies en mettant à leur disposition des informations plus réalistes sur les TIC et les emplois dans ce secteur.»
Dans le cadre du projet Polles financé par le CRDI (Centre de Recherche pour le Développement International - Canada), le LRI-Annaba a réalisé la première installation du serveur Sakai en Afrique du Nord. Les efforts se poursuivent sur l'arabisation de Sakai et le développement de contenus, avec l'étroite collaboration des équipes du CRIM (Montreal), et de l'Université Hassan-II (Mohammadia-Casablanca) ainsi que d'autres équipes qui ont manifesté un intérêt pour le projet.
http://polles.univ-annaba.dz/portal)
Yves Détraigne est le co-auteur du rapport La vie privée à l’heure des mémoires numériques. Pour une confiance renforcée entre citoyens et société de l’information, fait au nom de la commission des lois, et présenté le 27 mai dernier. L’un des concepts défendus est la reconnaissance d’un droit à l’anonymat de ce qu’ils appellent « l’homo numéricus ». Il s’agit de pouvoir séparer son identité réelle de son identité numérique. Principalement dans le but de « préserver » l’identité publique d’un internaute d’informations qui pourraient, un jour, se retourner contre lui. Un droit à « être acteur d’Internet au travers d’un pseudo », a expliqué, hier, le sénateur. « Mais un pseudo qu’on s’attribuerait bien sûr pas librement comme ça, sans la moindre règle », a t-il précisé. Une autorité publique serait ainsi « l’interface, le gardien » de cette identité secrète.
La lecture du rapport complète ces déclarations. Dans le document, Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier expliquent l’importance, pour les internautes, de pouvoir « brouiller les pistes » à une époque « où les risques d’usurpation d’identité sont souvent pointés du doigt et où les Etats renforcent les moyens d’identification des personnes ». Ils proposent ainsi la mise en place d’un système où « chaque individu pourrait se forger de véritables personnalités alternatives, distinctes de la personnalité civile qui les exploite. Afin d’éviter que ce droit ne serve à commettre des infractions, ces identités alternatives pourraient être déposées auprès d’un organisme chargé de les gérer. En cas d’infractions par exemple, la justice pourrait demander l’identité civile de la personne. »
En clair, chaque internaute devrait déclarer sa ou ses identités anonyme(s) en ligne à une autorité. Au passage, on peut s’amuser à imaginer sur quels critères se ferait l’enregistrement de ces pseudos (quand on sait, par exemple, le nombre d’ados qui utilisent « darkvador666 »). Cette autorité serait en charge de gérer l’énorme base de données de pseudos de tous les internautes français, et de faire le lien avec la justice. On peut imaginer une Secrétaire d’Etat à la Famille qui voudrait poursuivre des internautes pour insulte au hasard pour l’avoir traitée de « Hou, la menteuse » en commentaire d’une vidéo en ligne sur Dailymotion. Elle n’aurait plus à demander au site de lui « fournir en urgence la date, l’heure et les adresses IP utilisées et tout élément d’identification », il lui suffirait alors de s’adresser à cette autorité pour avoir l’identité civique de l’internaute.
Mais allons au bout de la logique de ce droit à l’« hétéronymat ». Pour que cela fonctionne pleinement, cela voudrait dire que l’Etat obligerait chaque internaute à utiliser exclusivement son ou ses pseudos officiels sur tous les sites Internet de France et de Navarre... L’idée laisse perplexe.
A un intervenant du public qui soulevait l’absurdité d’un « pseudonymat » régulé par une telle autorité, le sénateur a répondu : « il est indispensable dans une société organisée que sous couvert d’anonymat, on ne mette pas n’importe quoi. Il faut que l’autorité publique mette de l’ordre. La liberté d’expression est une valeur importante, mais ça n’est pas pour autant qu’il faut pouvoir propager n’importe quoi. »
par Astrid Girardeau, Libération,
Dans son alerte, Websense explique qu'en cliquant sur ce lien, l'internaute est redirigé vers un site malveillant proposant de télécharger les dernières images prises de Michael Jackson. Les utilisateurs piégés court ainsi le risque de se faire pirater leur ordinateur.
Les internautes sont invités à ne pas ouvrir les emails qui leur semblent suspects et encore moins de télécharger les fichiers joints ayant un rapport à des vidéos de Michael Jackson.
Site : www.websense.com
Désormais, les sociétés travaillant en langue arabe n’auront plus de problème pour le traitement et la capture des données en langue arabe. En effet, la société Softwar a lancé, hier, une nouveauté dans ce cadre. Il s’agit de la nouvelle version de sa solution de capture «Kofax» V8 version arabe. «Cette nouveauté permettra la reconnaissance des données en langue arabe», ont déclaré, hier, les responsables du Groupe, SG Expert, Global document expert, lors d’une conférence de presse tenue à Alger.
Cette nouveauté permettra la reconnaissance des caractères arabes. Aussi, «Kofax Capture» compte des moteurs de reconnaissance de la plupart des caractères, ainsi qu’une application modulaire qui permet d’automatiser la chaîne d’acquisition documentaire, de la capture jusqu’à la diffusion des informations (documents et index) dans un système de gestion de contenu. S’agissant des raisons de développement de ce système, il y a lieu de préciser le grand potentiel du marché au Moyen-Orient, Maghreb et Afrique. A cela s’ajoutent la tendance forte et les exigences gouvernementales ainsi que la forte demande des partenaires et des clients finaux et la nécessité d’apporter une réponse plus efficace et plus satisfaisante. La fonction, reconnaissance optique des caractères, «OCR» sous «Kofax Capture», peut être effectuée par deux biais.
Concernant les bénéfices de «Kofax Capture», il utilise toutes les fonctionnalités avancées disponibles sous «Kofax Capture 8.0», compatible avec la quasi-totalité des systèmes de GED grâce aux scripts de communication et un outil collaborateur précis, puissant et rapide, une sécurité garantie par «Kofax Capture», vitesse de reconnaissance deux fois supérieure aux autres moteurs OCR du marché.
Smail DADI