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L’idée de vendre des services e-paiement gagne les organismes publics - par djoudi le 14/10/2012 14:23

Les initiatives pour booster le commerce en ligne, à travers la proposition de services de e-paiement, se multiplient. Même les organismes publics s’y mettent. On l’attend depuis 2010 pour Air Algérie, et c’est le CNRC qui propose un paiement en ligne de ses services payants par le truchement d’une carte de recharge. Une initiative, après celle de ePay, eChrily, Guiddini, et Dzreduc, qui témoigne du besoin pressant d’aller vers ces nouveaux modes de paiement.

 

L’Algérie reste largement en retrait par rapport au paiement électronique ou le e-Payement, ce qui pénalise les initiatives de e-Commerce. Et pourtant, les idées de vente de produits ou de services en ligne abondent, même si le concept ne soit pas trop différent d’un site à un autre, au point de gagner les organismes publics. Des sites comme epay.dz, guiddini.com, dzreduc.com, eChrily.com et bien d’autres qui proposent de commander et de régler ses achats sur le Net, essayent tant bien que mal de se frayer un chemin dans le monde du commerce électronique et de familiariser les algériens aux modes de paiement électronique. Aussi, des organismes publics s’essayent à ce mode paiement, bien qu’il se développe timidement dans le secteur public après la mise en berne du projet de la compagnie Air Algérie de paiement en ligne pour l’achat de billet. Une nouvelle initiative émanant du Centre national du registre du commerce (CNRC), proposant un nouveau mode de paiement en ligne pour ses services payants. Il s’agit de la carte «sidjil.com» qui « est un moyen sécurisé, simple et instantané pour payer les services à acquérir sur le portail CNRC ». « La carte "sidjil.com" est disponible à la vente au siège du CNRC et au niveau de ses 48 antennes de wilayas. La carte « sidjil.com » est à « validité illimitée », lit-on sur le portail d´information du CNRC. Ce service est décliné sous « trois modèles véhiculant des crédits distincts », à savoir une carte de crédit (de recharge) de 500 DA, de 1000 DA et de 5000 DA. Une fois le crédit chargé sur le compte utilisateur, l’usager pourra accéder aux services de vente en ligne que propose le CNRC. « A chaque utilisation d’un service payant, un montant équivalent à la valeur du service utilisé sera débité jusqu’à épuisement du crédit ». Cette énième et louable initiative proposant un mode « basique » de paiement électronique, par le recours à une carte de recharge, en attendant le véritable paiement en ligne avec des cartes bancaires, montre la disponibilité des utilisateurs et des entreprises à d’aller vers le paiement à distance, contrairement à ce que laissent entendre les arguments des pouvoirs publics pour justifier le retard pris dans de domaine en Algérie.

 

L’absence du cadre réglementaire freine l’élan du commerce en ligne

Les responsables du secteur des Technologies de l’information et de communication (TIC) justifient ce retard par la mise en place d’un cadre juridique pour sécuriser les transactions. « Certes ce nouveau commerce n’est pas réglementé mais il se fait quand même avec les moyens de bord. A quoi bon rester figé dans cet aspect réglementaire ? ». Cette question a été soulevée par les experts en TIC, à l’occasion d’une table-ronde consacrée à l’évolution de l’Internet en Algérie et son impact sur le développement, organisée il y a quelques jours par le nouveau journal DK News. Pourtant, la mise à niveau du cadre juridique national (législatif et réglementaire) est l’un des axes majeurs du programme e-Algérie. Les initiateurs de ce programme estiment que l’étude de l’ensemble de la législation existante permet de conclure que l’arsenal juridique Algérien ne couvre pas entièrement les questions juridiques suscitées par l’utilisation et le développement des TIC et l’édification de la société de l’information. « A ce titre il est impératif de mettre à niveau le cadre juridique, en adéquation avec les pratiques internationales et les exigences de la société de l’information, tout en tenant compte de l’expérience vécue, de toutes les insuffisances relevées et des difficultés rencontrées ». Ainsi l’objectif majeur consiste en la mise en place d’un environnement de confiance favorable à la Gouvernance électronique et induit un objectif spécifique à savoir la définition d’un cadre législatif et règlementaire approprié. Près de quatre années, cet objectif n’est pas atteint, puisqu’on continue à parler de la mise en place « prochaine » de cet environnement juridique qui freine l’élan du commerce en ligne avec des pertes en millions de dollars. L’apport de l’activité des TIC au PIB, tirée principalement par la téléphonie mobile, est actuellement de 4 % avec un chiffre d’affaires global de plus de 4 milliards de dollars, selon les estimations officielles. Le programme e-Algérie devait booster les activités liées aux TIC jusqu’à doubler ce chiffre. Le paiement électronique reste incontournable pour créer une industrie de la vente en ligne et augmenter la part des TIC dans le PIB.


Enquête sur le comportement des algériens face à internet : Le premier média des Algériens - par Belkherfi le 14/10/2012 09:46

Internet est devenu le premier média consulté par les internautes algériens pour obtenir des informations. 75 % d’entre eux utilisent le web pour s'informer sur les évènements de l'actualité. C'est la quatrième édition de l’enquête Webdialna qui le démontre.

Une étude détaillée sur les besoins et les attentes des internautes algériens a dévoilé, en effet, ce nouveau phénomène qui commence à s'ancrer en Algérie. Réalisée via un questionnaire électronique autour du comportement de 13.600 internautes en Algérie pendant six semaines, du 1er août au 15 septembre 2012, cette enquête prouve qu'à peine 8,5 % d’entre eux recourent à la presse classique pour s'informer. Deux entreprises, Ideatic et Med&Com, ont initié cette étude pour répondre aux besoins de ces acteurs de l’économie en se fixant pour objectif non seulement de décrypter les usages et les perceptions des internautes, mais également de récolter leurs opinions et leurs attentes sur des thèmes tels que l’ADSL, l’internet via le mobile, le e-Commerce, le projet Ousratic, sans oublier le phénomène social qu’est Facebook. L’étude en question a également permis de définir les besoins des internautes, afin d’améliorer les nouvelles offres et lancer de nouveaux services, tels que le e-paiement. En effet, les premiers résultats de l’enquête révèlent que 76,7 % des internautes déclarent qu’Internet est un outil indispensable et se connectent plusieurs fois par jour, et plus de 55 % y passent plus de trois heures par jour face à leur écran. L’étude révèle aussi que la gent masculine est largement plus attachée à Internet avec 68,3 % contre 31,7 % de femmes et que les internautes du Web algérien sont une population jeune, près de 60% sont âgés de 20 à 35 ans. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les internautes algériens commencent à bouder les cybercafés pour se connecter à partir de chez eux.
En effet, ils sont 88,7 % à préférer se connecter chez eux contre 31,2 % qui se connectent depuis leur lieu de travail. Cela s’explique notamment par le développement de l’offre ADSL pour les particuliers (plus de 585.455 abonnés en résidentiel) et la baisse des tarifs d’abonnement. Les 21,7% d’internautes restants se connectent le plus souvent à partir de cybercafés, des maisons de jeunes et des médiathèques. Les moins privilégiés, soit 10,8 %, déclarent se connecter le plus souvent à partir de leur école/collège/université, et
10,9 % de chez leurs proches.

Les Algériens impatients de l’arrivée de la 3G
Dans une deuxième partie de l’étude menée par Ideatic en collaboration avec Amine Kessouri, enseignant-chercheur à l’ENSSEA (ex-INPS), les orientations des internautes ont été passées à la loupe. Une fois sur la Toile, les internautes algériens sont partagés en trois grandes catégories : il y a ceux qui communiquent à outrance, ils sont une majorité, avec 78,2 %, à envoyer et à recevoir des mails (courriers électroniques), 55,3 % utilisent les réseaux sociaux comme Facebook, 45,1% utilisent une messagerie instantanée (type MSN, Yahoo Messenger), 28,7 % passent leurs coups de téléphone via le Web (Skype), et 5,2 % font de la visioconférence. Concernant le chapitre de l’Internet mobile, le sondage d’Ideatic relève que les téléphones avec options très avancées (Smartphones) sont très prisés par les internautes. Samsung et Nokia sont les marques de téléphone les plus préférées avec, respectivement, 46,9% et 42,5%, Apple I phone 11 %, Sony 8,7, LG 7,8, Blackberry 4,2%, HTC 2,7 %. Ces téléphones portables sont utilisés, selon 46,4 % des internautes, pour écouter de la musique, 40,3 % pour se connecter à Internet, et 34,9 % pour utiliser des applications. Sur un autre volet, impatients de l’arrivée de la 3G, plus de 57 % d’internautes souhaitent avoir une offre prépayée et près de 50% avouent être prêts à débourser pas moins de 500 DA pour se connecter à Internet via leur mobile. A propos du paiement électronique, l’étude renseigne que 17 % d’internautes possèdent une carte de paiement électronique, et près de 36% souhaitent l’avoir. 87,2 % déclarent l‘utiliser pour retirer de l‘espèce, 26,9 % pour payer leurs achats et 15,5 pour payer leurs factures. On se référant à la réalité, le paiement électronique n‘existe pas encore en Algérie, donc cette partie d‘étude ne reste pas fiable. Le volet E-commerce à occupé une partie importante de l‘étude. Afin d‘améliorer les nouvelles offres et lancer de nouveaux services, Webdialna a voulu connaître ce que les internautes souhaiteraient acheter comme biens et service en ligne. Résultat : en première position on retrouve les meubles, appareils électroniques, électroménagers, TV et vidéo avec 55,3 %, et ce, pour en finir avec les longues files d‘attente auprès des différents fournisseurs.
55 % souhaitent acheter leurs billets d‘avion, de train via Internet. En deuxième position, il y a les réservations d‘hôtels avec 53,4 % et l‘achat de vêtements, de bijoux et de cadeaux avec 46 %.
L’Algérie pays “le plus heureux” d’Afrique et dans le monde arabe - par djoudi le 13/10/2012 22:56

 

Selon le Think Tank anglais New Economics Foundation, l’Algérie est le pays le plus heureux de toute l’Afrique.et dans le monde arabe.

Au niveau international, l’étude s’étend sur 151 pays et l’Algérie se classe alors au 26ème rang.

L’indice utilisé, le Happy Planet Index (HPI), se base sur trois critères : l’espérance de vie, le respect de l’environnement et enfin, la perception subjective du bien-être par les habitants.

Pour parvenir à ces résultats, mille personnes de chaque pays sont interrogées et doivent attribuer une notre « bonheur » sur une échelle de 1 à 10 en tenant compte des critères énoncés plus haut.

L’Algérie se distingue ainsi par une longue espérance de vie, une perception du bien être noté 5,2/10 et une empreinte carbone (émissions de CO2) qui ne dépasse pas les 1,6 hectares par habitant, ajoute cette source.

L’empreinte carbone n’est pas mesurée dans ce cas en tonnes de gaz émis par habitant, mais en surface de terres nécessaires par habitant pour soutenir le niveau de consommation d’un pays, explique cette étude.

Les critères pour obtenir ce classement n’ont rien à voir avec le développement économique ou la situation des libertés individuelles, et il n’est donc pas comparable avec l’IDH de l’Organisation des Nations Unies.

Par ailleurs, parmi les plus heureux viennent également la Tunisie (39éme au rang mondial), le Maroc (41éme), la Libye (81ème) et l’Egypte (91ème), selon la même source.

Le Costa Rica, le Vietnam et la Colombie sont les trois pays qui sont considérés comme les plus heureux au monde, selon la même étude.

 


- par Djoudi le 09/10/2012 08:37


L'ALGÉRIE CLASSÉE 6E DANS L'UTILISATION DES RÉSEAUX SOCIAUX DANS LA RÉGION MENA 3.451.300 Algéri - par Belkherfi le 01/07/2012 00:23

Si l'Algérie occupe une bonne place dans l'utilisation du réseau social Facebook, elle est, en revanche, en retard dans l'utilisation du réseau social Twitter.
Selon une étude de l'Université de Dubaï sur l'utilisation des réseaux sociaux dans le Monde arabe et le Moyen-Orient, publié sur Internet, l'Algérie occupe la 6e place dans la région en matière d'utilisation du réseau social Facebook, avec 3.451.300 Algériens abonnés. L'Algérie est dépassée de quelques centaines d'abonnés seulement par Israël qui totalise 3 466 320, mais arrive devant la Tunisie qui possède 3.017.120 abonnés. Au Moyen-Orient, c'est la Turquie qui est en tête de cette étude avec plus de 31.315.860 abonnés et dans le Monde arabe. C'est l'Egypte qui arrive seconde avec 10.732.360 abonnés facebook, suivie en troisième position par l'Arabie Saoudite avec 5.153.180 abonnés puis par le Maroc avec 4.445.340 millions.
Les Emirat arabes unis arrivent en 7e position avec 2.932.680 abonnés et la Syrie en 8e position avec 2 585 529 d'abonnés sur le réseau Facebook. Si l'Algérie occupe une bonne place dans l'utilisation du réseau social Facebook, elle est, en revanche, en retard dans l'utilisation du réseau social Twitter. Selon cette étude, qui date d'avril 2012, l'Algérie occupe la 17e place du classement des pays de la région Mena avec seulement 6350 utilisateurs. Elle-même dépassée par la Syrie, 16e avec 8420 utilisateurs, la Tunisie 15e avec 9140 utilisateurs, le Maroc 11e avec 24.500 utilisateurs. Dans ce réseau Twitter ce sont les Turcs qui sont aussi les premiers utilisateurs avec presque 1 million d'abonnés, suivis par l'Arabie Saoudite avec 480.000 utilisateurs, puis par le Koweit avec 378.000 utilisateurs et enfin l'Egypte arrive à la 4e place avec 182.000 utilisateurs. En ce qui concerne les Twitt, 1.725.000 twitt sont envoyés chaque jour dans le Monde arabe, soit 115 twitt par personne. Plus qu'un phénomène social importé des Etats-Unis, ces deux réseaux ont surtout explosé durant la révolution arabe qui a secoué la région depuis janvier 2011. Cette étude explique que le réseau social dans le Monde arabe était en octobre 2010 composé de 18,7 millions d'abonnés, pour atteindre les 43 millions en avril 2012, soit une augmentation de 21 millions depuis janvier 2011.
Les jeunes entre 15 et 29 ans représentent plus de 70% des utilisateurs et 34% sont des femmes. Certains pays comme la Tunisie, qui avaient des difficultés pour communiquer avec l'extérieur durant le régime Ben Ali ont carrément explosé après la révolution du Jasmin. Même cas de figure pour l'Egypte qui, avec ses 10 millions d'abonnés sur le réseau Facebook, reste le pays arabe le plus expressif sur le réseau social, mais moins actif en proportion d'habitants, puisque seulement Egyptien sur 8 est abonné, alors que l'Arabie Saoudite est étonnamment plus expressive et plus connectée en matière de population, malgré les restrictions en matière de liberté d'expression. Il y a quelques mois, un Saoudien a été condamné pour avoir exprimé des propos offensants sur Twitter sur le Prophète Mohammed (Qsssl). Une femme saoudienne avait également dénoncé dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, la présence et le harcèlement de la police des moeurs dans les centres commerciaux en Arabie Saoudite. Le rapport explique aussi les moyens utilisés par les activistes syriens pour diffuser les informations et les vidéos sur le réseau social Facebook et Twitter.
Les régions de la contestation sont souvent dépourvues de connexion Internet et parfois même d'électricité. Ainsi, les vidéos des massacres sont diffusées grâce notamment aux téléphones satellitaires Thuraya offerts par des organisations de défense des droits de l'homme comme moyens de communication et de transmission d'informations et de vidéos. Les activistes syriens utilisent des procédés rudimentaires comme une batterie de voiture pour s'alimenter en électricité et envoyer leurs vidéos, via BlueTooth. Au regard de cette étude fort exhaustive, l'Algérie reste dans une position moyenne. Elle est souvent dépassée par le Maroc et la Tunisie en matière de taux de pénétration. Cette position résulte aussi de la mauvaise connectivité en Algérie qui demeure l'un des pays les plus en retard en matière de connexion Internet individuelle et n'utilisent pas en masse la connexion internet via le réseau mobile, comme c'est le cas chez nos voisins marocains, tunisiens et surtout égyptiens. Avec seulement 3, 4 millions d'abonnés sur Facebook, c'est seulement 10% de la population algérienne qui est connectée au réseau social le plus célèbre du monde.
Technoparc d'Oran: où en est le projet ? - par Belkherfi le 31/05/2012 23:55

Hier, le directeur du secteur TIC de la wilaya d'Oran, Salem Habib, a évoqué le projet du Technoparc. Un projet qui avait été dévoilé par Moussa Benhamadi, ancien Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, l'an dernier.

Il annonçait à cette époque que « les avis d’appel d’offres de ce futur parc technologique, qui sera édifié sur une assiette de 30 hectares à Belgaïd (Bir El Djir) à l’est d’Oran, seront lancés dans les tous prochains jours. Ce projet est appelé à développer la création de start-up de la région et à créer un certain nombre d’activités dédiées aux sociétés de technologies de l’information et de la communication ».

Aujourd'hui, on sait que les travaux d'aménagement du Technoparc seront lancés " prochainement ", que l’élaboration des études du projet se trouve à un " rythme avancé ", et qu'il devrait accueillir une centaine d'entreprises spécialisées dans le domaine. " L'incubateur servira à la promotion des TIC sur les plans industriels et de services et contribuera à la création de petites et moyennes entreprises spécialisées dans les domaines de la numérisation, des communications et de l'informatique ", a déclaré M. Salem Habib à l'APS.

En outre, l'espace devrait regrouper " des entreprises nationales et autres dans le cadre du partenariat entre opérateurs locaux et étrangers, ainsi que l’apport d’investissements de grandes sociétés internationales leaders dans ce domaine stratégique ".


Le père de la télécommande sans fil pour télévision n’est plus - par Belkherfi le 26/05/2012 18:08

Eugene Polley, né le 19 novembre 1915 aux Etats-Unis, ingénieur américain, et premier développeur de la télécommande sans fil pour téléviseur est décédé ce matin, de cause naturelle à l’âge de 96 ans.

Pionnier en matière d’appareils télécommandés, et ayant reçu même un Emmy Award pour cette raison en 2009, avec Robert Adler (à titre posthume), celui qui a perfectionné son invention, Eugene Polley avait développé la première télécommande sans fil pour un téléviseur du temps où il travaillait chez Zenith Electronics en 1955.

Même si la télécommande était loin de ne poser aucun problème, celle-ci a été un pas de géant vers la communication sans fil telle qu’on la connaît de nos jours.

Polley est décédé aujourd’hui, à l’hôpital Advocate Good Samaritan de Chicago, sa ville natale, à l’âge de 96 ans.
Google rend son moteur de recherche plus intelligent - par Djoudi le 17/05/2012 19:57

Le géant du web met à jour son moteur aux États-Unis pour affiner la recherche et donner des éléments de contexte dès la page de résultats.

Le géant de l'Internet frappe un nouveau coup. Google a annoncé une mise à jour de son moteur de recherche aux États-Unis qui sera prochainement étendu au reste du monde, afin d'affiner et de contextualiser ses réponses. De le rendre, en un mot, plus en prise avec la réalité, selon l'ambition affichée du groupe. Ainsi, vous tapez «taj mahal»? Google propose, dans un encadré à droite, de limiter les résultats au célèbre monument indien, à un chanteur utilisant ce pseudonyme ou à un casino du New Jersey du même nom. Autre nouveauté: on apprend ainsi dès la page de résultats de Google que le Taj Mahal est un mausolée de marbre blanc situé à Agra, en Inde, qu'il a ouvert en 1648 et qu'il mesure 174 mètres de hauteur. La recherche «Taj Mahal» est associée à celle d'«Ustad Ahmad Lahauri», le nom de l'architecte du monument.

«Ce n'est pas seulement un catalogue d'objets; c'est une présentation des relations entre eux. C'est l'intelligence entre ces différents éléments qui est la clé», explique Amit Singhal, vice-président de Google. Et pour ajouter à ces changements une note plus légère, Google proposera également des informations insolites sur l'objet de la recherche. Conséquence: l'internaute pourra obtenir des réponses à ses questions sans quitter la page Google.

Derrière ces nouvelles fonctionnalités se cache une technologie: le «graphe du savoir», ou «knowledge graph», «bâti pour comprendre les choses réelles du monde», résume un responsable de Google, Ben Gomes. Le groupe y travaille depuis l'acquisition, en 2010, de la société Metaweb spécialisée dans la gestion de base de données de films, livres, sociétés ou encore célébrités. Ainsi, Google a appris, et vite: à partir de Freebase, Wikipedia ou encore du CIA World Factbook, le géant a enregistré 500 millions d'objets, de lieux, de personnages et mémorisé quelque 3,5 milliards de relations entre eux.

Mise à jour de Bing la semaine dernière

En parallèle, le groupe a élargi sa connaissance sur les recherches des internautes. Google a en effet annoncé en janvier dernier de nouvelles règles de confidentialité pour mettre en commun les comptes des utilisateurs sur l'ensemble de ses sites (comme Gmail et Youtube). Un changement qui a fait polémique et qui sera l'objet, en France, d'une rencontre avec la CNil la semaine prochaine pour clarifier les nouvelles règles.

L'objectif pour Google est de prendre encore une longueur d'avance face aux moteurs de recherche concurrents, à commencer par Bing de Microsoft qui a annoncé la semaine dernière sa plus grande mise à jour depuis son lancement il y a trois ans. Parmi les nouveautés, Bing renforce son intégration au sein du réseau social Facebook, dont Microsoft est actionnaire. D'après le cabinet Comscore, Google a encore creusé son avance face à ses concurrents, concentrant 66,4% des recherches en ligne aux États-Unis en avril, contre 65,7% un an plus tôt. Bien loin devant les 15,3% affichés par Bing et les 13,7% de Yahoo!.

 


Le Web 2.0 au service de la société apprenante - par Belkherfi le 05/05/2012 17:05

Pour un enchevêtrement des communautés apprenantes dans le monde
L’émergence du Web 2.0 capitalise sur l’apprentissage informel qui se réalise à l’extérieur des formations officielles dans une proportion de plus de 70% (1 et 2), offrant à celles-ci de belles sources d’inspiration et l’occasion de répondre de manière dynamique aux besoins sociaux, politiques et économiques de la société. Paradoxalement, des communautés apprenantes se forgent à l’extérieur des réseaux scolaires habituels sans avoir expressément recours à l’outillage moderne de l’ère numérique (3 et 4). Pour fonctionner, elles mettent en opération des stratégies issues du socioconstructivisme et de la pédagogie par projet, et se dotent d’une infrastructure qui pourrait ouvrir la voie à l’intégration des TIC dans une perspective d’un nouveau dialogue international.

Grâce à ce lien étroit entre communauté apprenante et Web 2.0, deux grands espoirs sont permis : l’établissement d’une société apprenante (5) mondiale qui favoriserait un dialogue Nord-Sud provenant de la base, et une meilleure reconnaissance par l’école formelle de la valeur de l’apprentissage informel réalisée en dehors de ses murs. Dans cet article, je me propose d’illustrer ce phénomène à partir de ce que m’inspire le Barefoot College, (6) en y posant le regard d’un simple pédagogue ouvert au dialogue interculturel par le biais des TIC dans une démarche d’apprentissage tout au long de la vie (7).


1) Le Barefoot College : l’apprentissage informel érigé en communauté apprenante


Lors de ses conférences, Monsieur Sanjit Bunker Roy, fondateur du Barefoot College (8), explique comment il a su former des communautés apprenantes avec des hommes et des femmes peu scolarisés ou analphabètes, faisant d’eux les fondateurs d’un collège dans le village de Tilonia à Rajasthan en Inde. Par le biais de ce dispositif éducatif, des villages entiers atteignent l’autosuffisance indispensable à la victoire contre la discrimination et la pauvreté.

Sans aborder l’usage des TIC dans cette démarche, Monsieur Roy défendra la valeur de l’apprentissage expérientiel, attribuant aux étudiants le rôle de maîtres dans des domaines aussi variés que la dentisterie, le génie civil, l’informatique, etc., mettant non seulement leurs savoirs en valeur, mais faisant aussi confiance à leurs capacités à apprendre tout au long de la vie. Pour faciliter la communication entre des personnes de langues différentes, il aura même recours à des moyens rudimentaires, comme l’usage de marionnettes.

De cette entreprise sociale émergera un impressionnant complexe immobilier, moderne et high-tech conçu par le partage des savoirs expérientiels ; et ce, de la conception des infrastructures jusqu’à la confection des équipements. Par exemple, des femmes pratiquement analphabètes sont invitées à construire les panneaux solaires qui serviront à générer l’énergie employée par l’école et au fonctionnement des ordinateurs, aussi fabriqués par des étudiants du Barefoot College. Cette tâche les amène à acquérir une expertise et un avenir sous le signe de la dignité.

Cette vision de l’éducation en marge des standards officiels serait à ce point efficace qu’elle constitue des modèles inspirants de lutte contre la pauvreté pour plusieurs autres villages de l’Inde et ceux de pays limitrophes comme l’Afghanistan qui l’ont intégrée à leur pratique développementale.


2) La spirale de la formation globale


Une fois une première société apprenante mise en place, il semble bien que Monsieur Roy ait voulu générer un effet d’entraînement dans la population mondiale, en ayant recours cette fois-ci aux TIC et aux avantages viraux des médias sociaux. Ainsi le Barefoot College dispose-t-il de son propre site Internet (8). Près de 3 millions de personnes ont pris connaissance de l’existence du projet en accédant à l’enregistrement de la conférence présentée par ce pédagogue au TED le 11 juillet 2011. Plusieurs autres internautes ont plutôt choisi de visionner les vidéos disponibles sur YouTube et en véhiculent les informations dans leurs échanges informels sur Twitter, Facebook ou tout simplement dans leurs échanges quotidiens en présentiel à la maison ou au bureau.

Ce succès promotionnel illustre à sa manière la soif de savoir et de dialogue propre à l’être humain, ce que démontrent bien les chiffres sur l’usage du Web. Selon Chotard, les requêtes sur Google et les Twit se comptent par milliards, et Facebook compterait plus de 400 millions d’abonnés (9). L’organisation et la multiplication des communautés d’apprentissage (10) en marge des programmes de formation habituelle sont clairement appelées à un brillant avenir.


3) Le dialogue Nord-Sud et les communautés apprenantes


Le développement d’une culture apprenante et d’une infrastructure moderne dans certaines régions du Sud créeraient des
Développement des TIC en Algérie : La Malaisie comme modèle de coopération - par Belkherfi le 05/05/2012 17:01

A l’issue d’une première réunion de trois jours du groupe de travail algéro-malaisien, un plan d’action dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) entre les deux pays a été mis en place.

C’est ce qu’a indiqué lundi, le secrétaire général du ministère des Postes et des technologies de l’information et de la communication (PTIC), M. Mohammed Bait. «Le groupe de travail algéro-malaisien, réuni à Alger du 22 au 24 avril dernier, a élaboré un plan d’action dans le domaine des technologies de l’information et de la communication», a fait savoir M. Bait, lors d’une conférence de presse tenue au siège du ministère de la PTIC. «Ce plan, qui entre dans le cadre de la redynamisation du mémorandum d’entente signé entre les deux pays en 2003, prévoit la mise en œuvre dans les six prochains mois, d’un certain nombre de projets portant sur trois volets, dont la Malaisie est leader. Il s’agit, selon M. Bait, de «la gouvernance électronique, la cyber-sécurité, les parcs technologiques et l’innovation».

Le responsable a indiqué qu’au volet de l’e-gouvernement, l’Algérie se penchera dans un délai d’une à deux années sur le développement du système de gestion des ressources humaines. Le deuxième volet con-cerne les cyber-parcs. L’intervenant a indiqué que la coopération prévoit la mise en place d’un prototype innovant algérien sur la base du modèle malaisien. «L’échange des expériences et la formation des for- mateurs ainsi que le développement des centres d’appel figurent au menu de cette coopération escomptée dans le cadre d’un partenariat intelligent dans le domaine des TIC», a affirmé M. Bait, qui a fait état de l’étude de la possibilité d’un partenariat algéro-malaisien pour le parachèvement de la réalisation des deux tours de Sidi Abdallah, et le développement des laboratoires de métrologie. Il a annoncé également que la Malaisie apportera son concours pour la conception et le développement d’un cyber- parc à Oran. S’agissant du volet de la cyber-sécurité, M. Bait a indiqué que la coopération dans ce domaine repose sur la promotion du cadre juridique de la cybernétique. Il convient de souligner que ce plan d’action a été soumis aux gouvernements des deux pays, pour examen et approbation dans un délai de six mois.
CBS Xerox signe un accord de distribution exclusive avec WhiteCanyon, numéro un mondial de l’effacem - par FPEYRON le 01/05/2012 11:05

L’éditeur WhiteCanyon Software, spécialiste des solutions d’effacement sécurisé et certifié des données, lance la commercialisation de sa suite logicielle WipeDrive en Algérie.
La distribution exclusive sera assurée par le revendeur algérien de produits et de services IT, CBS Xerox. Acteur majeur dans le domaine de l’impression, des arts graphiques et de l’engineering en Algérie, la société CBS Xerox est présente sur tout le territoire. Elle dispose de quatre antennes commerciales : Alger (siège social), Oran, Annaba et Hassi Messaoud et d’un réseau de partenaires revendeurs. Site : www.cbs-xerox.com WipeDrive est un logiciel d'effacement certifié et sécurisé des données, facile à mettre en œuvre et économique, parfaitement adaptée aux obligations des sociétés et des organismes en matière de protection de données. Certifié EAL4+ par les Common Criteria, WipeDrive a déjà permis d’effacer plus de 25 millions de disques durs dans le monde. Site : www.whitecanyon.eu.
TIC Cybersécurité et e-gouvernance au menu de la 1e réunion de travail mixte algéro-malaisienne - par Belkherfi le 24/04/2012 15:22

La cybersécurité, le développement des parcs technologiques et la e-gouvernance sont aux centre de la première réunion de travail mixte algéro-malaisienne, qui a débuté dimanche à Alger.

Les deux parties ont identifié trois axes de travail à savoir la cybersécurité, le cyberparc et la e-gouvernance, a indiqué le secrétaire général du ministère de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, M. Mohamed Baït, en marge de cette rencontre.

Concernant la cybersécurité, le responsable algérien a expliqué que la rencontre permettra à l'Algérie de tirer profit de l'expérience malaisienne en matière de réglementation relative au commerce, à la signature et la certification électroniques. "Nous allons profiter aussi de l'expérience malaisienne pour gérer au mieux nos cyberparcs, ainsi que dans la e-gouvernance pour le développement du contenu et la formation des capacités humaines.

La Malaisie est membre fondateur de l'OCI-CERT (Computer Emergency Response Team, qui dépend de l'Organisation de la Conférence islamique), une organisation qui apporte une réponse rapide dans le domaine de la cybersécurité. Elle est classée 28e rang mondial en matière de développement des TIC pour l'année 2008-2009, selon le Readiness Index Ranking.

Cette réunion a été coprésidée par M. Mohamed Baït, et la secrétaire générale-adjointe du ministère malaisien de la science, de la technologie et de l'innovation, Mme Khatijah Benti Mohamad Yusoff, en visite officielle en Algérie.
Sicom 2012 « Nous nous attendons à 150 000 visiteurs » - par Belkherfi le 17/04/2012 03:44

La 21ème édition du Salon international de l’informatique, de la bureautique et de la communication (SICOM-2012) s’est ouverte aujourd’hui au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger en présence du ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi. D’après les organisateurs, près de 150 entreprises spécialisées, dont 13 étatiques et 20 étrangères, exposent dans ce salon qui s’étale jusqu’au 16 avril.


Dans une déclaration à la presse en marge du SICOM, M. Benhamadi a indiqué, qu’à travers le SICOM, « nous voulons permettre à des porteurs de projets de les concrétiser et d’en faire des solutions au service du citoyen, de l’entreprise et de l’administration algérienne ». Le SICOM est aussi un espace qui permet aux citoyens de découvrir le niveau de développement technologique atteint par l’informatique et les services et aux professionnels de faire connaître leurs produits, a ajouté le ministre des PTIC.

Le thème arrêté pour cette 21ème édition du SICOM est « La place des réseaux sociaux dans la communication de masse ». Pour Mme Samira Hocine, organisatrice du SICOM, ce salon est destiné aux professionnels du matériel informatique et bureautique qui proposent des équipements performants dans ce domaine ainsi que des solutions technologiques efficaces. Dans ce cadre, elle dira qu’une surface de plus de 9.000 m2 a été dédiée aux exposants. Aussi, un espace pour la vente de produits a été réservé aux consommateurs qui pourront bénéficier d’une multitude de promotions. « Le SICOM 2012 ambitionne de renforcer la dynamique enclenchée lors de la dernière édition par l’encouragement des PME dans les activités de création de logiciels et progiciels en tant que moyen privilégié d’assimilation des TIC par les compétences nationales», a-t-elle déclaré à la presse présente à l’ouverture de cet évènement.

Par ailleurs, vingt ateliers sur divers thématiques dont l’emploi, les réseaux sociaux, les technologies numériques et l’innovation, seront animés par des universitaires et experts nationaux et étrangers en marge du SICOM-2012. Concernant les nouveautés attendues pendant les sept jours que durera le SICOM, une bonne animation assurée essentiellement par des étudiants embauchés à cette occasion.
« Nous avons développé entre autre, le pôle emploi après le succès qu’il a eu l’an passé avec plus de 50 recrutements durant la tenue du salon. Un pôle que nous avons renforcé par un partenariat avec le leader du « e-emploi » en Algérie », a-t-elle encore précisé. Aussi, des formations sont prévues pour les postulants.
« D’ailleurs, nous prévoyons trois ateliers de formation avec ce même partenaire », conclut Mme Samira Hocine.
Un concours pour les start-ups au Med-IT 2012 - par Belkherfi le 28/03/2012 23:24

Le salon international des Technologies de l'Information se tiendra comme chaque année les 24, 25 et 26 septembre 2012 au Palais de la Culture Moufdi Zakaria, sous le haut patronage du Ministre de la Poste et des TIC. Cette année, le thème de l'innovation IT sera mis en avant avec l'organisation habituelle des trophées Med-IT 2012 qui récompenseront les meilleures start-ups IT.


Le tout premier Med-IT en Algérie remonte à 2004. Cet évènement a su devenir au fil des années un rendez-vous incontournable pour les professionnels du secteur des Technologies de l'Information et de la Communication. Chaque année, plus de 5 000 visiteurs professionnels et 150 exposants, dont les principaux acteurs algériens du secteur des TIC et 30% d'entreprises étrangères parmi lesquelles de grandes multinationales, participent au Med-IT afin de s'informer sur les grandes tendances du marché, nouer des relations ou tout simplement découvrir les nouvelles solutions IT.

Près de 50 conférences et ateliers sont programmés suscitant un vif intérêt du public, et un outil gratuit accessible depuis le site web du Med-IT permet à chacun de programmer à l'avance ses rendez-vous.

De plus, l'édition de cette année récompensera, via les fameux trophées Med-IT, les jeunes talents ayant lancé une start-up innovante dans le domaine IT en Algérie (Internet, télécoms, applications web ou mobiles, logiciels, services en ligne, e-commerce, réseaux sociaux, jeux,...). Peuvent concourir : tout dirigeant officiel d'une start-up, âgé de moins de 35 ans au 01 mars 2012, de nationalité algérienne et résidant en Algérie; toute start-up ayant été créée depuis moins de trois ans dont l'activité se concentre dans le domaine de l'IT.

7 experts dans le domaine du conseil, du financement, des start-ups et des TIC, retiendront les projets les plus innovants selon différents critères : innovation majeure et technologique objet de la création de la start-up, expertise de l’équipe porteuse du projet, perspectives de développement et de rentabilité sur le marché algérien et international.

4 lauréats recevront les fameux trophées le mercredi 26 septembre à 16h. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 31 juillet 2012 ici dans la rubrique "Trophées".

Bonne chance à tous...
Le business du spam - par elabweb le 28/03/2012 00:02

Vous en avez plein vos boites mail mais qui profite du spam et comment ? Tour d’horizon d’une pratique qui a déjà agacé plus d’un internaute.

Il sature nos boîtes aux lettres mail et nous fait perdre chaque jour un temps précieux à trier nos messages. Qui est-ce ? Le spam évidemment ! « Il a beau être sans danger pour notre ordinateur, le spam est un virus doux en pleine expansion » affirme Franck Cresson, administrateur réseau d’un cabinet d’expertise comptable.

Et cet informaticien de reconnaître que ces communications électroniques également connues sous le nom de « pourriel » portent très bien leur nom, a fortiori lorsqu’elles utilisent le carnet d’adresses des internautes à leur insu. « Ma boîte a été complètement gangrenée par des spams qui utilisaient mon compte pour envoyer des messages publicitaires à tous mes contacts y compris professionnels. C’est dire si ça faisait sérieux surtout lorsqu’il s’agissait de la promotion du Viagra ! » témoigne Stéphanie « Beaucoup de spammers sont des entreprises qui vendent des produits illicites ou contrefaits qui rivalisent d’ingéniosité pour diffuser leurs messages » constate F

ranck qui explique leur manière de procéder : « Tantôt ils piratent des listes d’opérateurs, tantôt ils inventent une multitude d’adresses mails à partir de noms de domaine existants, tantôt enfin ils installent à distance des programmes sur la machine des internautes pour relayer leurs spams. » Simple, rapide et efficace, ces courriers publicitaires non sollicités ne coûtent pas un centime à leur expéditeur, raison pour laquelle de plus en plus d’entreprises « légales » s’y mettent. Les répercussions en revanche peuvent s’avérer très juteuses. « Sur des millions de mails envoyés, il y aura toujours quelques personnes qui passeront commande. La rentabilité est donc optimale ! » affirme ce spécialiste.

Même s’il est actuellement difficile de lutter contre ces messages intempestifs, il est possible de s’en protéger. « Tout d’abord, conseille notre interlocuteur, il faut privilégier les adresses des grands opérateurs type Orange, Free ou Neuf Télécom dont les serveurs utilisent des filtres assez sérieux pour protéger leurs utilisateurs. » Si néanmoins vous préférez utiliser une messagerie web (Hotmail, Yahoo, …), vous pouvez télécharger des antispams (http://www.01net.com/telecharger/windows/Securite/anti-spam/). Utilisez ensuite des adresses différentes selon l’utilisation que vous en faîtes : « Distinguez d’un côté celle réservée à la consultation de vos comptes et le paiement de vos impôts et de l’autre celle dédiée aux achats commerciaux » préconise Franck. Soyez enfin très vigilant avec les données que vous renseignez sur Internet « quitte à donner une fausse adresse ou un faux numéro de téléphone car les spams arrivent sur nos mobiles ! » conclut notre expert.

Sandra Franrenet

http://www.yahoo.monnaietime.fr/2012/03/27/le-business-du-spam/

 


Des Algériens travaillant pour Apple, Google et Intel attendus à Alger Une expertise à capitaliser - par Belkherfi le 22/03/2012 21:48

Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national. Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie.
Une convention, sous-tendant une banque de données, portant sur la mise en place d’un portail Web destiné à rendre moins complexe l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans différents programmes sectoriels de recherche a été signée fin 2011. Elle l’a été entre le secrétariat d’Etat chargé de la Communauté nationale et le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce portail web sera mis en service en juin prochain. Il se donne pour objectif de diffuser l’information entre les compétences nationales à l’étranger autour de projets socioéconomiques en Algérie. De même, il permettra de créer une synergie entre ces compétences et les secteurs nationaux demandeurs de hauts potentiels humains. S’agit-il là d’une nouvelle politique à objectif à long terme ? Va-t-elle réellement attirer nos valeureux chercheurs établis à l’étranger ? Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national. Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie. Il a souhaité encadrer cette stratégie par des professionnels natifs du pays, craignant d’être floué par de grandes sociétés internationales peu scrupuleuses. De la sorte, l’Algérie veut récupérer l’investissement qu’elle a consenti pour la formation initiale de cette diaspora. Halim Benatallah se pose ainsi en facilitateur, pas plus. Il ne lui appartient pas d’apporter des garanties sur la politique gouvernementale relative à l’implication des compétences algériennes établies à l’étranger dans le processus de développement, ce n’est pas son rôle. Le secrétaire d’Etat a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration récente, que la nature des projets à mettre en place dans le domaine des TIC « ne relève pas de mes compétences, mais de celles du ministère la Poste et des Technologies de l’information et de la communication ». Le partage des rôles a été ainsi opéré ? Justement, les difficultés auxquelles sont confrontées les compétences algériennes résident dans le fait qu’il n’y a pas d’interlocuteur habilité à les écouter, à les orienter et à prendre en charge leurs doléances. Souvent, nos compétences sont ballotées entre plusieurs administrations dont le rôle reste diffus. Et souvent, elles s’en lassent, abandonnant la partie. Toutefois, dans le tableau, il n’y a pas que des zones grises ; des compétences algériennes à la pugnacité avérée ont réussi à monter des projets en Algérie, à s’y installer même. Elles se sont mises à contribution dans un processus de transfert de savoir-faire. La diaspora algérienne, issue de la technopole de Californie en est l’exemple. Elle s’attelle à la mise en place d’un projet d’accompagnement des entreprises innovantes algériennes, ce n’est pas rien. L’initiative est louable ; elle est fortement saluée par les jeunes promoteurs algériens. Des représentants de cette diaspora feront le déplacement à Alger pour discuter affaires avec des jeunes promoteurs et autres chefs d’entreprises. Ce sera un important forum regroupant une trentaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de Silicon Valley avec les représentants des ministères de l’Industrie de la PME et de l’investissement, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la PTIC et du Travail ainsi que des associations patronales et des entreprises. Cette diaspora, attendue donc à Alger, sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google ou encore Intel, ainsi que d’Algériens, patrons de leurs propres sociétés technologiques. Ce forum devra ainsi mettre au point une « feuille de route » à moyen et long termes avec pour finalité de promouvoir, en Algérie, les jeunes entreprises en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies. Les technologues algériens de Silicon Valley ont à cœur de travailler avec leur pays d’origine ainsi qu’avec les jeunes entrepreneurs algériens en ramenant avec eux l’expertise liée au savoir-faire nécessaire.
Faire des vidéos d’écran en toute simplicité - par Belkherfi le 12/03/2012 01:25

Faire des vidéos d’écran en toute simplicité

Screencast-o-matic est le logiciel idéal pour ceux qui veulent enregistrer des vidéos de leur écran en quelques clics. Ce logiciel ne nécessite aucune installation, il suffit simplement de se rendre sur le site de Screencast-o-matic. Vous pouvez en profiter de manière gratuite pour un enregistrement limité à 15min. Néanmoins, cela reste suffisant pour beaucoup d’usages d’autant plus que les options sont nombreuses et utiles.

1/ Accès direct sans installation

Pour utiliser Screencast-o-matic, pas d’installation, pas de téléchargement, il vous suffit de vous rendre à l’adresse suivante: www.screencast-o-matic.com

2/ Lancement en un clic

Arrivé sur la page, vous pouvez voir un bouton bleu « Start Recording ». Un clic sur celui-ci et le logiciel est lancé. Un applet Java est nécessaire, il faudra donc certainement autoriser le lancement du plug-in afin que Screencast-o-matic fonctionne.

3/ Réglage avant enregistrement

Après le court chargement de l’application, un cadre en pointillé s’affiche à l’écran. Il délimite la zone d’écran qui sera enregistrée. Vous pouvez la régler selon vos besoins en tirant sur les coins à l’aide de votre souris. Juste en dessous se trouvent les options d’enregistrement. Le premier bouton (rouge) est celui qui lancera l’enregistrement. S’en suit celui du microphone qui vous permet de choisir le périphérique d’enregistrement du son ou de couper le son (off). Le bouton suivant réglera le son du microphone. Le quatrième vous aidera à choisir une taille de vidéo prédéfinie allant de 640x480 au plein écran. Le bouton webcam vous permet d’incruster à l’écran la vidéo de votre webcam. Enfin, la croix annulera l’opération d’enregistrement.

4/ Lancer l’enregistrement

Après avoir soigneusement réglé les différents paramètres précédemment cités, vous pouvez lancer l’enregistrement de la vidéo de votre écran en cliquant sur le bouton rouge. Vous pouvez mettre pause à tout moment en appuyant sur les touches Alt+P (ou bouton pause de la barre). Réappuyez surle bouton d’ enregistrement pour reprendre. Vous pouvez recommencer depuis le début en cliquant sur Restart. Une fois votre enregistrement terminé, cliquez sur Done pour terminer la vidéo.

5/ Aperçu et réglage de la vidéo

Une fois l’enregistrement terminé, plusieurs choix s’offrent à vous pour éditer votre vidéo. En cliquant sur Show advanced option, vous pouvez choisir de faire apparaitre ou non la souris (show mouse cursor), ajouter un effet autour du curseur (show mouse halo), mettre en évidence les clics (show mouse clicks), couper le son, ou retirer la vidéo de la webcam. Grâce à l’aperçu, vous pourrez tester chacune de ces options avant la publication.

6/ Choix de l’enregistrement

Quand vous êtes satisfait du résultat, vous pouvez sauvegarder votre vidéo en la stockant sur Screencast-o-matic (un compte est nécessaire). Ou bien la publier directement sur YouTube HD en spécifiant le titre, la description, les mots clés, catégorie, etc. Enfin, vous pouvez récupérer votre vidéo en la téléchargeant sur votre PC en choisissant parmi les formats MP4, AVI et Flv movie.
L’Algérie parmi les sept pays arabes ayant progressé dans le domaine des TIC (UIT) - par elabweb le 06/03/2012 12:09

DOHA (Qatar)- L’Algérie figure parmi les sept pays arabes ayant progressé dans le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC), selon un rapport de l’Union internationale des télécommunications, établi sur la base de l’Indice de développement des TIC (IDI).
 

Selon ce rapport, présenté lundi à Doha (Qatar) où se tient le sommet sur la connectivité du monde arabe (5-7 mars 2012), l’Algérie fait partie des sept pays de la région du monde arabe (Algérie, Arabie saoudite, Comores, Egypte, Maroc, Oman et Qatar) qui ont progressé dans le domaine des TIC (large bande), sur la base de l’indice IDI qui combine 11 indicateurs comparatifs à l’évolution des TIC dans 152 pays du monde.

Le rapport fait ressortir que sur les 16 pays arabes, cinq ont perdu du terrain entre 2008 et 2010 et ont reculé au classement mondial, quatre pays ont conservé leur position et sept (dont l’Algérie), ont progressé.

Dans un rapport présenté par le secrétaire général de l’UIT, Dr Hamadoun Touré, il est relevé que le taux de pénétration des services mobiles actifs (large bande et 3e Génération) dans la région du Monde arabe avoisine les 13%, et demeure "inférieur" à la moyenne mondiale qui est de 17%.

"Le moment est venu aujourd’hui de passer à l’étape suivante et de faire en sorte que tous, quel que soit le lieu où ils vivent et quelle que soit leur situation, aient accès aux avantages du large bande", a souligné M. Touré, précisant qu’au XXIème siècle, "les réseaux de large bande doivent être considérés comme faisant partie des infrastructures de base, au même titre que les routes, les chemins de fer et les réseaux d’alimentation en eau et en électricité".

"La large bande, qui agit comme un puissant catalyseur du développement socio-économique, contribuera à accélérer les progrès sur la voie de la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement, lesquels doivent être atteints dans un délai de trois ans à peine", a ajouté le secrétaire général de l’UIT.

De son côté, le directeur du Bureau de développement des télécommunications de l’UIT, Brahima Sanou, a indiqué dans ses recommandations que l’UIT encourage tous les pays à promouvoir l’inclusion numérique en élaborant un plan national en faveur des TIC, incluant des cibles concrètes pour évaluer les politiques, suivre les progrès et mettre en évidence les débouchés commerciaux.

"L’UIT est déterminée à mettre ses compétences spécialisées et son expérience au service de chacun des membres, en accompagnant les autorités nationales sur la voie de l’élaboration de cadres politiques sur mesure et de processus d’examen adaptés aux spécificités de leur environnement et de leur vision des TIC", a-t-il dit.

Organisé par l’UIT en collaboration avec la Ligue des Etats arabes, le sommet sur la connectivité du monde arabe tend à réunir les parties ayant des intérêts communs en vue de réhabiliter le rôle du secteur des télécommunications et concevoir une approche unifiée à même de développer le secteur des TIC dans les pays arabes.


M. Benhamadi met l’accent sur la priorité à accorder aux projets novateurs - par elabweb le 06/03/2012 12:06

OUARGLA - Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (P-TIC), Moussa Benhamadi, a mis l’accent, jeudi à Ouargla, sur la priorité à accorder aux projets novateurs en matière de TIC pour bénéficier des opérations d’accompagnement et d’orientation assurées par les parcs technologiques.
 

"La priorité sera accordée aux projets novateurs susceptibles d’apporter une valeur ajoutée et de répondre effectivement aux besoins des consommateurs", a indiqué M. Benhamadi lors d’une cérémonie d’inauguration du siège, temporaire, du techno parc régional d’Ouargla.

Pour le ministre, "ce techno parc régional, accueillant actuellement 16 porteurs de projets, constitue une occasion pour les jeunes doués et promus d’universités, de bénéficier du soutien nécessaire, d’obtenir un emploi et de se voir ouvrir de nouveaux horizons sur les marchés national, régional et même international".

Cet espace propose un incubateur pour l’accompagnement des porteurs de projets dans le domaine des TIC, a souligné M. Benhamadi, avant d’ajouter que la "réussite de ces techno parcs repose, en plus de la mobilisation des moyens humains et matériels nécessaires, sur la mobilisation des efforts de l’ensemble".

S’agissant de la faible couverture des régions du sud par l’Internet et son impact sur la qualité des prestations offertes, le ministre a fait état de "l’existence d’un plan à même de rattraper ce déficit et réduire l’écart existant en la matière entre les régions du Sud et du Nord du pays".

M. Benhamadi a signalé, dans ce cadre, que la wilaya d’Ouargla devra connaître prochainement une nette amélioration en matière de connexion à l’Internet, avec la mise en service de 9.000 nouvelles lignes en fibres optiques.

Dans le cadre de l’actuel programme quinquennal, "près de 6 millions de familles devront bénéficier de prestations, par fibre optique, et de nouvelles technologies assurant à la fois des prestations de téléphone, image et son, avec un haut débit atteignant 8 mégabits/seconde pour chaque utilisateur", a annoncé, en outre, le ministre.

Concernant la faible couverture des régions du Sud en téléphonie fixe et mobile, notamment sur certaines zones longeant l’axe de la RN-1, le ministre a affirmé que "des instructions ont été données aux directions de wilayas concernées pour faire une évaluation précise sur le taux de couverture dans les régions concernées afin de permettre d’entreprendre les mesures nécessaires à ce sujet".

M. Benhamadi a assuré, concernant le problème de disponibilité de liquidités dans certains bureaux de poste du sud du pays, que "les efforts se poursuivent pour remédier à cette situation, dont la généralisation de l’utilisation des cartes magnétiques afin d’atténuer le recours aux billets de banque et de réduire ainsi la demande sur la monnaie".

Au niveau du siège temporaire du techno parc de Ouargla, le ministre a suivi un exposé sur trois projets novateurs en N-TIC, en rapport avec l’exploitation de l’énergie solaire, l’agriculture et l’enseignement des langues étrangères.

M. Benhamadi a aussi inspecté, au niveau de la zone des équipements publics, le chantier du projet d’une nouvelle recette principale de la commune d’Ouargla.

D’une surface de 3.000 m2, ce projet, dont les travaux sont à 45% d’avancement, a bénéficié d’une enveloppe de 80 millions DA, selon sa fiche technique.

Le ministre a achevé sa visite d’une journée dans la wilaya par l’inspection du site devant accueillir le projet du techno parc régional, doté d’une enveloppe de 540 millions DA et couvrant une surface de 10 hectares.


Le site "Emploitic.com" a contribué à plus de 20.000 recrutements en trois ans - par elabweb le 06/03/2012 12:04

ALGER - Plus de 20.000 demandeurs d’emploi ont trouvé un poste de travail, dans différents secteurs d’activité, au cours des trois dernières années (2009-2011) grâce aux offres d’emplois publiées par les entreprises sur le portail "Emploitic.com", ont annoncé, lundi, les responsables de ce site.


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