Avant de vous lancer, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez décrocher ce job. Pour cela, posez-vous les bonnes questions. Qu’est-ce qui vous plaît dans le poste ou dans la fonction ? En quoi le secteur d’activité est fait pour vous ? Ces motivations devront apparaître en début de lettre, pour faire comprendre d’entrée au recruteur qu’il ne pourra pas se passer de vous.
C’est le moment de vous mettre en avant. Qu’avez-vous à apporter à cette entreprise pour laquelle vous aimeriez tant travailler ? Dans ce passage de la lettre de motivation, vous pourrez indiquer quelles sont vos expériences et en quoi ces dernières, couplées à vos qualités et à vos compétences, sont en adéquation avec ce que l’entreprise recherche.
Avant de rédiger votre lettre de motivation, prenez le temps de rechercher à qui adresser votre candidature. Trouver la personne en charge du recrutement démontrera votre bonne volonté. Et puis, il est toujours mieux de savoir à qui l’on s’adresse
Imaginez cette responsable des ressources humaines un peu fâchée de se faire appeler monsieur en lisant votre courrier
Un mauvais point d’entrée de jeu.
Selon les candidatures et les entreprises dans lesquelles vous souhaitez postuler, il est bon de montrer à travers la lettre de motivation, que vous êtes bien au courant du fonctionnement, des activités et du développement de ces dernières. Savoir ce que l’entreprise prévoit pour demain vous permet de rebondir sur le fait que vous aimeriez, vous aussi, contribuer à sa future expansion.
Dans le cadre d’une recherche d’emploi, il est primordial d’éviter le courrier type. En effet, selon que vous répondez à une offre ou que votre démarche est spontanée, il est impératif de personnaliser votre lettre de motivation, tout comme vous devez le faire en fonction de l’entreprise et du poste proposé. Vos compétences varient d’un emploi à un autre, vos expériences aussi, il faut qu’il en soit de même pour votre lettre.
Camille Coutant
Parmi les cinq conditions de réussite pour l’implantation du numérique dans un grand établissement d’enseignement et de recherche, le rapport « L’université numérique : éclairages internationaux » publié en France en 2010 par la Caisse des Dépôts en partenariat avec l’OCDE et la Conférence des Présidents d’Université, cite en premier le fait que « les universités doivent développer une stratégie numérique globale en appui de la stratégie générale de l’institution ». La seconde précise que cette stratégie numérique doit être « portée par la direction de l’établissement et toujours considérée et menée comme un véritable projet de l’ensemble de l’institution ».
Or la plupart des initiatives au niveau des Technologies de l’Information et de la Communication au service de l’Éducation (TICE) ou de la formation à distance dans les établissements universitaires proviennent d’individus, au mieux de départements, mais trop rarement des rectorats et des présidences. Autant ces initiatives personnelles sont louables, autant elles peuvent entraîner des problèmes comme la multiplicité des plates-formes et des modèles pédagogiques, la difficulté de réutilisabilité des modules, le partage d’expérience réduit sinon inexistant avec les autres composantes de l’université, l’absence de suivi-qualité, la complexification de la maintenance technique . La mise en place d’un cadre formel et d’un référentiel au niveau d’une université ou d’une faculté, sinon d’un plan de développement bien structuré, permet d’éviter certains de ces écueils et favorise le dialogue entre les différents initiateurs de projet travaillant au sein de la même institution.
Afin d’encourager cette approche structurante, l’Institut de la Francophonie pour l’Ingénierie de la Connaissance et la formation à distance (IFIC) nouvellement créé par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) entend supporter les universités francophones du bassin méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne qui souhaitent s’engager de manière rationnelle dans un projet à grande échelle d’insertion du numérique dans le système d’enseignement, de recherche ou de gouvernance de leur établissement ou d’une composante majeure de leur établissement (faculté, institut, ).
Les plans stratégiques envisagés et proposés par les universités devront répondre à l’un des objectifs suivants :
L’appui de l’AUF consistera en la mise à disposition d’un expert TICE pour accompagner les établissements retenus dans la définition de leur projet stratégique, ou dans sa mise à niveau, ou dans sa refonte, ou encore dans la rédaction du cahier des charges ou du plan d’action. Il pourra également consister en la mobilisation d’experts pour la formation aux TICE des ressources humaines associées à un plan stratégique déjà engagé.
Tout établissement membre de l’AUF du pourtour méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne.
Les plans stratégiques attendus pourront concerner :
L’IFIC privilégiera les demandes faisant l’objet d’un appui collectif et/ou d’un partenariat régional.
L’engagement des universités bénéficiaires dans le financement de l’action prévue (par l’inscription du projet dans le projet d’établissement par exemple, ou par un début d’investissement à la date de dépôt du dossier) est une condition nécessaire à l’appui.
En réponse à cet appel, le responsable d’établissement est invité à transmettre au plus tard le 30 juin 2013 à l’adresse suivante :
IFIC / CNF de Tunis
INSAT - BP 519
1080 Tunis Cedex (Tunisie)
Le dossier devra comprendre les éléments suivants :
1) Le formulaire de candidature officiel à télécharger ici, à remplir, à faire signer et tamponner par le Président ou le Recteur de l’université porteuse du projet,
2) Le document descriptif du projet présenté selon les normes définies dans le formulaire,
3) Le CV du porteur de projet,
4) Les CV du personnel de l’établissement impliqué dans le projet,
5) Tous documents attestant le partenariat établi autour du projet signés par les autorités compétentes.
Une version scannée du dossier sera envoyée à l’adresse courriel suivante : ific@auf.org avec la référence « POLNUM13 » pour prendre date.
Les dossiers sont déposés auprès de l’IFIC qui en examine la recevabilité administrative. Ne sont considérés que les dossiers présentés et argumentés par la plus haute autorité de l’établissement, membre de l’Agence universitaire (AUF).
Les dossiers sont instruits par une commission d’experts réunie et animée par l’IFIC. Les dossiers sont retenus en considération de l’enveloppe budgétaire dédiée par l’IFIC à cet appui. La sélection est ensuite présentée à la Commission Régionale d’Experts (CRE) dont dépend l’université porteuse de projet. Les résultats définitifs sont portés à la connaissance des établissements par courrier sur l’initiative de l’IFIC.
La mise en œuvre du soutien de l’AUF est assurée par l’IFIC et le bureau régional concerné. Une fois l’appui terminé, l’expert désigné doit remettre à l’établissement, à l’IFIC et au bureau régional de l’AUF un rapport final répondant aux attentes exprimées dans le projet soumis par l’établissement.
07 Mai 2013 - Lancement de l’appel à manifestation d’intérêt
30 Juin 2013 - Date limite de réception par l’IFIC des réponses à l’appel
A 33 ans, Abdenour Abbas, originaire de Makouda dans la wilaya de Tizi-Ouzou, vient de révolutionner la recherche mondiale. En effet, ce jeune chercheur algérien de l'université de Washington à Saint Louis aux Etats-Unis d'Amérique, a inventé des biocapteurs ultrasensibles à base d’anticorps artificiels pour le diagnostic médical.
Le chercheur algérien a créé une nouvelle technologie qui permet aux patients de faire des tests à domicile pour diagnostiquer des maladies comme la grippe, le cancer, le sida en utilisant de la sueur, de l’urine ou du sang, rapporte à ce sujet la publication scientifique américaine Technology review. Selon cette source, grâce à cette invention, "les malades n’auront plus besoin de se déplacer dans des cabinets médicaux et les hôpitaux pour diagnostiquer ce genre de maladies", explique sur son site internet cette prestigieuse publication scientifique. Le travail remarquable accompli par ce jeune chercheur algérien établi aux Etats-Unis lui a permis d'être classé dans le top 10 des chercheurs les plus innovants et âgés de moins de 35 ans !
Abdenour Abbas figure ainsi "dans le Top 10 des lauréats de la première édition française du concours conduit par la Technology review, pour l’Institut américain de technologie de Massachusetts (MIT)", explique à ce sujet le quotidien électronique Tout sur l'Algérie (TSA) qui ne manque de précise que "ce concours, dont les résultats ont été publiés le 21 mars dernier, permet de distinguer chaque année de jeunes talents de moins de 35 ans, dans les nouvelles technologies. Il est à l’origine de la célébrité de plusieurs génies comme : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, Serguei Brin, co‑fondateur de Google, Max Levchin, co‑fondateur de Paypal, Linus Torvalds, développeur de Linux, Jack Dorsey, co‑fondateur de Twitter".
"Dans 10 ans, on aura moins besoin de médecins pour le diagnostic, mais on aura toujours besoin de leur suivi quand c’est nécessaire. Ces tests vont également permettre aux individus de connaître les risques qu’ils ont pour certaines maladies afin de se pendre en charge avant même que la maladie ne se déclenche", a confié à ce sujet ce jeune chercheur qui ne cache pas sa fierté d'avoir été sélectionné parmi les meilleurs chercheurs dans le domaine des nouvelles technologies. Diplômé de l'université de Tizi-Ouzou en 2003, Abdenour a été contraint de quitter l'Algérie à cause des horizons bouchés auxquels il était confronté . Pis encore, ce génie n'a jamais été considéré dans son propre pays et évoluait dans des conditions plus que défavorables. Au lieu de développer son ingéniosité et de faire de la recherche, en Algérie, ce jeune talent passait de longues heures dans de très longues files d’attente "au restaurant universitaire de Hasnaoua à Tizi Ouzou, avec une cuillère dans la poche, il y a à peine 10 ans". "J’ai un frère qui me dit que c’est toujours le cas aujourd’hui", a-t-il déploré dans son témoignage recueilli par TSA. Un témoignage au cours duquel il n'a pas hésité à faire savoir qu'il "n’y a pas plus triste qu’un talent gâché". Mais cette vérité amère, nos dirigeants n'arrivent toujours pas à la comprendre ou la saisir...
La Rédaction de NessNews
Agir sur l’intention entrepreneuriale nécessite de développer des compétences spécifiques et des attitudes adéquates associées à « l’art » d’entreprendre.
L’accompagnement des jeunes promoteurs, développé par l’Eftg dans le cadre du projet PME Conform mis en place par la Coopération Technique Allemande GTZ, est le résultat des nouveautés mondiales dans le domaine de la recherche en matière d’enseignement de l’entrepreneuriat.
Que vous soyez :
L’Eftg met à votre disposition un pool de consultants internationaux ayant accompagné des centaines de créateurs d’entreprises à travers le monde, y compris en Algérie.
Nous vous invitons à découvrir une pédagogie active ayant fait ses preuves dans plus de 130 pays de par le monde.
Auteur Bouhedli Mohamed Nassim
elkhedma.com Emploi et Formation
Auteur Bouhedli Mohamed Nassim
L’Algérie est en phase active de développement.
L’objectif de plein emploi signifie la poursuite d’une politique ininterrompue dans la création des emplois et dans la formation des travailleurs.
L’objectif de Pigier est d’apporter une réponse concrète aux problèmes que pose ce besoin de formation
Auteur Bouhedli Mohamed Nassim
Écrit par Hafidh Abdelsalam Mercredi, 16 Janvier 2013 03:00
http://www.maghrebemergent.info/high-tech/83-it/20046-linformatique-et-ses-applications-luniversite-de-saida-en-pole-dexcellence.html
L’Informatique et ses applications : L’Université de Saida en pôle d’excellence |
L’Université Dr Tahar Moulay de Saïda accueillera, en mai 2013, la 4e Conférence internationale sur l’informatique et ses applications. Si l’établissement a capitalisé de l’expérience dans le domaine, en organisant les trois précédentes éditions et en disposant d’un "potentiel de jeunes chercheurs", il reste que les produits de recherche ne sont "pratiquement jamais exploités", explique un membre du comité d’organisation. La 4ème édition de la Conférence internationale sur l’informatique et ses applications (CIIA 2013) sera organisée les 4 et 5 mai prochain à l’université Dr Tahar Moulay de Saida avec, à l’ordre du jour, des thèmes d’actualité qui constituent les grandes tendances de la recherche dans le domaine de l’informatique. Organisée par le département d’informatique de l’Université de Saïda, avec le soutien du Réseau de recherche en formation et TIC en Algérie, la CIIA 2013 est, désormais, une tradition qui revient tous les deux ans. L’objectif de ce rendez-vous scientifique, lancé par des chercheurs algériens avec la participation de leurs homologues étrangers, est de promouvoir la recherche en Afrique, avec la création de réseaux, de développer des projets dans le domaine informatique et de faciliter l’échange d’étudiants. La rencontre permettra également de donner une plus grande visibilité aux chercheurs algériens, puisque les meilleurs articles sélectionnés pour cette conférence seront publiés dans des revues de renommée mondiale. Quatre thèmes ont été retenus pour cette 4e édition: "Computational Intelligence", "Security & Network Technologies", "Information Technology", "Computer Systems and Applications". Ces thèmes sont tous liés à l’actualité informatique mondiale. Il sera donc question, expliquent le comité d’organisation de la CIIA 2013, du génie logiciel, des systèmes distribués, de la conception d’infrastructures (comme le cloud computing), d'e-Learning, d’"Energy-aware software" et autres technologies qui "peuvent être développés en Algérie et en Afrique", notamment dans les domaines de "l'approvisionnement et de la distribution d'énergie". Selon Mahieddine Djoudi, enseignant-chercheur en TIC à l'université de Poitiers et membre du comité de programme et du comité d'organisation, les sujets ont été choisis "pour permettre aux participants de mesurer leurs avancées dans la recherche informatique par rapport à ce qui se fait dans le monde". "Pour la première fois en Algérie et dans le Maghreb, les articles retenus pour cette conférence seront indexés par les meilleurs index de recherche dans le monde technologique comme Elsevier, SCOPUS, et DPLP. On permettra aussi aux meilleurs communicants de voir leurs travaux publiés dans des revues internationales de renom. Six revues internationales ont déjà donné leur accord pour publier les meilleurs articles de la conférence dans des numéros spéciaux", ajoute M. Djoudi. Les six revues, éditées par "InderScience Publishers", sont International Journal of Computational Science and Engineering, International Journal of Data Mining, Modelling and Management, International Journal of Knowledge and Web Intelligence, International Journal of Computational Intelligence Studies, International Journal of Reasoning-based Intelligent Systems et International Journal of Web Science. Un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques Le comité de pilotage de la 4e édition du CIIA est composé de chercheurs nationaux et étrangers dont Abdelmalek Amine (Université de Saïda), Otmane Ait Mohamed (Concordia University Canada), Ladjel Bellatreche (ISAE-ENSMA, France), Mahieddine Djoudi (Université de Poitier) et Carlos Ordonez (Houston University USA). Si la participation est "ouverte à tout le monde", l’anglais "est la seule langue de travail" de cette rencontre scientifique consacrée aux applications de l’informatique. Sont partenaires de la CIIA 2013 les éditions Springer, l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aéronautique (ENSMA France), le Laboratoire d'informatique et d'automatique pour les systèmes (LIAS - France), le laboratoire Signal, Image, Communications (SIC CNRS, France), Concordia University (Canada), et le Réseau national de recherche "Formation et TIC" (Algérie). Sur le choix de l’Université de Saïda, M. Djoudi explique : « Nous sommes déjà à la 4e édition de la conférence CIIA, après celles organisées en 2006, 2009 et 2011 toujours à Saïda. Depuis le début, nous avons pris le pari d’organiser chaque deux ans une conférence internationale d’envergure au sein de cette université qui dispose d’un capital d’expérience et détient un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques. Un petit noyau de chercheurs confirmés qui ont une ambition de hisser l’université de Saïda au rang des grands établissements dans le domaine des technologies de l’information et de la communication », ajoute Mahieddine Djoudi. Invité à commenter le développement de l’informatique en Algérie estime que "comparativement aux autres disciplines de recherche, l’informatique est bien positionnée dans le classement des universités algériennes". Par contre, "nous sommes encore très loin des pays développés et émergents du fait, notamment, que les produits de la recherche ne sont pratiquement jamais exploités dans l’environnement socio-économique". |
par Hafidh Abdelsalam
Quotidein d'Oran, le 16 01 2013
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5178011
Algérie- Une base de données des recherches scientifiques disponible en ligne
La recherche scientifique et universitaire en Algérie subit un manque d’accès à l’information, malgré quelques initiatives d’instituts et d’établissements universitaires, qui archivent les travaux de leurs étudiants et doctorants au fil des ans.
Pour remédier à cet état de fait, un projet nommé Algerian Scientific Abstracts (ASA) a été initié en 1994 par le CERIST, suite à l’introduction d’internet dans le pays.
ASA est une base de données qui réunit les publications scientifiques et techniques et ce, au niveau du territoire national.
Parmi les disciplines prises en compte par l’ASA, citons les sciences exactes et techniques, les sciences sociales et humaines ainsi que les sciences naturelles.
Les travaux publiés dans des magazines ou revues scientifiques par des Algériens et ce, au niveau local, sont également répertoriés par l’établissement.
Dans le même ordre d’idées, le Système National de Documentation en Ligne (SNDL), mis en place l’an passé, permet l’accès à une large palette de thèses de recherches en cours, de mémoires et autres supports sur la toile.
La base de données ASA compte actuellement plus de 4000 ouvrages et publications.
PR Newswire
AMSTERDAM, November 15, 2012 /PRNewswire/ --
Elsevier, a world-leading provider of scientific, technical, and medical information products and services, announces the winners of the Algerian Senior and Early Career Researcher Awards in Chemistry. The award ceremony was held on November 8 at the Sofitel in Algiers, Algeria.
The awards, sponsored by Reaxys®, are designed to highlight and reward two generations of chemists in Algeria. The criteria used to assess candidates included: recent publication history, publications in impactful journals, citations, and H-index. Award winners were selected by members of the General Directorate for Scientific Research and Technological Development from the Algerian Ministry of Higher Education & Research.
The Algerian Senior Researcher Award in Chemistry was awarded to Prof. Zahia Kabouche from the Université Mentouri Constantine. Prof. Kabouche has published extensively in the field of natural products chemistry. Her career began in 1987 at the University of Constantine. She is currently professor of Organic Chemistry and director of the Therapeutic Substances Laboratory at the Université Mentouri Constantine. Prof. Zahia was presented with a trophy and one of Elsevier's major reference-works.
The Algerian Early Career Researcher Award was awarded to Mr. Dr. Khaldoun Bachari from the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. Dr. Bachari's research is in the field of mesoporous materials. His career began in 2000 at the Université of Sciences and Technology Houari Boumediene (USTHB). He is currently a research director and the President of the scientific board of the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. In recognition of his award, Dr. Khaldoun Bachari will be provided with funding to enable his attendance at a leading European chemistry conference in 2013.
"In science it is a sacred duty for us to discover the truth and it is a researcher's duty to protect science," said Professor Hafid Aourag, Director General of Scientific Research of the Ministry of Higher Education, Algeria in his congratulatory speech at the award ceremony. "I am very pleased we are meeting tonight to honour two of our nation's most distinguished researchers."
"For Reaxys, our goal is to enable researchers to do what they do best: make new discoveries", said Dr. David Evans, Scientific Affairs Director, Reed Elsevier Properties SA. "To help them do this, we strive to deliver the right information to them at the right time in the right context. Initiatives like these awards help motivate the scientific community to drive new discovery and ultimately bring exciting results and innovations."
About the Algerian Ministry of Higher Education & Research
The Ministry of Higher Education and Scientific Research is the department responsible for the development and the progress of the academic sector and scientific research in Algeria. To achieve these objectives, the ministry has created two institutions: The Research Centre on Scientific and Technical Information (CERIST) was founded in 1985 with the primary objective to implement programs of scientific research and technological development in the field of information science and technology. The General Directorate for Scientific Research and Technological Development (DG-RSDT) came into being in September 2009, and was set up by law # 08-05 of February 23, 2008, which defines the five-year scientific national research plan (2008-2012), expected to move the Algerian research system to excellency for a sustainable development. By this law, the DG-RSDT is the principal enabler of national scientific research and development.
About Reaxys
Reaxys® is a workflow solution for research chemists. Offering a wealth of experimentally validated information, Reaxys® combines reaction and substance data in organic, organometallic, inorganic and physical chemistry with synthesis planning. Researchers can get the information they need in a single overview, from source publications carefully selected for their importance and relevance to research chemists. Elsevier continues to engage with the chemistry community to ensure that Reaxys® continues to reflect how chemists think and work. https://www.reaxys.com/info/
Reaxys® and the Reaxys® trademark are owned and protected by Reed Elsevier Properties SA. All rights reserved
About Elsevier
Elsevier is a world-leading provider of scientific, technical and medical information products and services. The company works in partnership with the global science and health communities to publish more than 2,000 journals, including The Lancet and Cell, and close to 20,000 book titles, including major reference works from Mosby and Saunders. Elsevier's online solutions include ScienceDirect, Scopus, Reaxys, ClinicalKey and Mosby's Nursing Suite, which enhance the productivity of science and health professionals, and the SciVal suite and MEDai's Pinpoint Review, which help research and health care institutions deliver better outcomes more cost-effectively.
A global business headquartered in Amsterdam, Elsevier employs 7,000 people worldwide. The company is part of Reed Elsevier Group PLC, a world-leading publisher and information provider, which is jointly owned by Reed Elsevier PLC and Reed Elsevier NV. The ticker symbols are REN (Euronext Amsterdam), REL (London Stock Exchange), RUK and ENL (New York Stock Exchange).
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+31-20-485-27-36
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Dernier Appel à la mise en ligne
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Il nous a été signalé d’importants retards dans le versement de la première tranche (25%) des rétributions des enseignants-chercheurs impliqués dans les PNR, ainsi que des difficultés rencontrées par des chefs de projets dans l’utilisation de leurs budgets de fonctionnement. Le Directeur Général a donné instruction afin que ces dysfonctionnements soient inventoriés et discutés avec les principaux responsables des établissements de domiciliation des projets. Il nous est très difficile de changer les domiciliations des projets d’un établissement à un autre, mais peut être qu’il y a lieu d’envisager une gestion centralisée au niveau du Vice-Rectorat de la Recherche, pour les projets en souffrance, où des conflits d’intérêts persévèrent. Par ailleurs, Il est impératif que l’ensemble des porteurs de projets, ainsi que les chercheurs impliqués dans les PNR intègrent les données de leur projet sur la plateforme CERIST (pnr.nasr.dz). Seuls les projets mis en ligne sur la plateforme seront éligibles au financement de la deuxième année (rétribution et fonctionnement). Les chefs de projets PNR sont invités à compléter la saisie des données sur la plateforme, avant le 15 novembre 2012, délais de rigueur. Les experts des projets PNR devront valider entre le 15 et le 20 novembre 2012 leur rapport d’étape sur la base des données intégrées dans la plateforme. Les projets non saisis ne seront pas reconduits de fait.
Mise en ligne le 24 Octobre 2012 |
Le colloque sur la contribution de la diaspora algérienne à l’investissement en Algérie organisé, par les associations REAGE et AIDA le 11 octobre 2012 à Paris, a attiré selon les estimations d’un des organisateurs environ 250 personnes en provenance de France et d’Angleterre.
De notre
envoyé à Paris
Ils étaient pour la plupart en quête d’informations susceptibles de les conforter sur la volonté du gouvernement algérien de solliciter sincèrement leur contribution en leur facilitant notamment le travail d’approche. Ils ne trouveront malheureusement rien de nouveau dans les informations qu’ils ont pu glaner au niveau des institutions publiques et associations algériennes présentes à ce forum. Rien également au niveau des exposés qui se sont contentés de dresser un état des lieux déjà connu au moment où les élites expatriées présentes attendaient surtout de saisir, à travers le discours de notre ambassadeur en France, des signaux forts du gouvernement algérien.
Des signaux forts, il n’y en aura point et notre diaspora qui a déjà fort à faire dans le pays d’accueil continuera légitimement à attendre que quelque chose de nouveau, mais surtout de positif se passe en Algérie pour éventuellement prendre une décision en matière d’investissement. Evoquée périodiquement à coups de slogans plutôt que d’objectifs concrets et de moyens pour y parvenir, la question de la contribution de notre diaspora n’a de ce fait pas connu d’avancée notable. La question revient en effet de façon récurrente depuis la fin des années 1970, période à laquelle les autorités du pays avaient nourri l’espoir de la faire participer au développement du pays en offrant notamment aux élites les mieux formées des carrières dans nos universités et centres de recherche.
En faisant valoir des considérations d’ordre patriotique et sentimental plutôt que des garanties d’utilisations rationnelles bénéfiques, aussi bien pour le pays que pour les concernés, les appels des autorités politiques algériennes se sont constamment avérés infructueux. Peu d’élites expatriées ont en effet tenté l’aventure de s’installer dans leur pays d’origine et pour ceux qui ont pris le risque de le faire, la déception suivie d’un retour à la case départ a souvent couronné l’initiative. Il faut dire qu’il a toujours existé dans notre pays un net décalage entre le discours politique favorable à un recours intensif à notre diaspora et la réalité du terrain faite, comme on le sait, de réticences au recours aux élites expatriées que d’aucuns, parmi les responsables en poste, considèrent comme des concurrents potentiels.
La machine bureaucratique est alors actionnée pour les dissuader de se mettre au service de leur pays. Mais, pire encore, les machinations destinées à dissuader ces élites à revenir dans leur pays affecteront également les diplômés locaux qui sortent des universités algériennes et qu’on encouragera par toutes sortes de moyens pernicieux à quitter l’Algérie pour se mettre au service de pays étrangers. C’est ainsi qu’en moins de trente années, la diaspora algérienne à l’étranger aurait atteint le chiffre astronomique de 300 000 personnes, selon les estimations du REAGE.
Que de promesses non tenues !
Les données économiques et sociales plaidant aujourd’hui pour un appel à ces élites qui disposent, il est vrai, d’un très fort potentiel de contribution à l’effort de développement, il est dans la logique des choses de solliciter leurs apports et contributions multiformes, notamment en matière d’investissement et de création d’entreprises. Mais l’efficacité de la communication en direction de ces élites requiert que l’on change de méthode et qu’on abandonne l’approche sentimentale qui a montré son inefficacité, au profit d’une méthode plus pragmatique consistant à considérer les élites expatriées non pas comme des personnes tenues de remplir un devoir patriotique, mais comme des acteurs économiques autorisés à bénéficier des retombées positives de leurs actions. Il faut dire que ces dernières offrent la particularité d’être bien intégrées dans leur pays d’accueil, où elles ont, selon le cas, créé des entreprises, lancé des affaires qui marchent ou recrutées à de bons postes d’enseignants et chercheurs dans les universités et centres de recherche.
Elles n’envisagent une relation avec leur pays d’origine que dans la mesure où elles ont quelque chose à y gagner et qu’elles y partent avec un maximum de chances de réussite. On ne peut évidemment que comprendre ce souci de garantie quand on connaît l’instabilité juridique et le manque de visibilité économique qui prévalent dans notre pays, au point d’avoir valu de sérieux déboires aux élites expatriées qui s’y sont aventurées imprudemment sans prendre le soin de mesurer les risques financiers et managériaux qui les attendaient. Ce souci est d’autant plus compréhensible que les possibilités d’emploi et d’investissement sont énormes à travers le monde, où de nombreux pays sont en concurrence pour les attirer en rivalisant sur les avantages incitatifs.
L’Algérie ne semble malheureusement pas s’inscrire dans cette logique et en dépit des discours d’intention, force est de constater que rien de sérieux n’est malheureusement fait pour rendre le pays attractif aux investisseurs, en général, et à notre diaspora en particulier, qui pourrait, à l’évidence, jouer un rôle considérable en matière de promotion de l’investissement, de création d’entreprises, d’accompagnement des exportations hors hydrocarbures et de recherche-développement. Les appréciations malheureusement négatives des institutions internationales (Banque mondiale, FMI, etc.) que ces élites ne manquent pas de lire ne sont à l’évidence pas faites pour les inciter à engager de sitôt une aventure économique en Algérie. N’étant pas dans le besoin, il est bien évident que nos élites expatriées n’agiront en faveur du développement de leur pays que lorsque les gouvernants algériens auront enfin consenti à opérer les changements structurels souhaités. Ce que ces derniers ne sont, sommes nous forcés de constater, pas du tout pressés de faire.