أصدرت وزارة التعليم العالي و البحث العلمي "ميثاق الأطروحة" الخاص بشهادة الدكتوراه الذي يهدف إلى تحميل مختلف الشركاء المسؤولية و تحديد حقوق و واجبات كل طرف", كما ورد في منشور من الحجم الصغير تلقت "وأج" نسخة منه اليوم السبت.
وتم التوضيح في مقدمة الوثيقة أن ميثاق الأطروحة يشكل "دليلا مرجعيا,يقنن الإتفاق المبرم ما بين طالب الدكتوراه, و المشرف على الأطروحة و رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه و مدير مخبر دعم التكوين". و بعد الشرح بأن هذا الميثاق يوقع من طرف مختلف الشركاء عند التسجيل الأول, أوضحت الوزارة أن الميثاق الذي يتضمن في الملحق دفتر لطالب الدكتوراه, يسمح ب"متابعة و تقييم هذا الأخير (الطالب)".
و حسب مضمون في الوثيقة, يقوم كل من رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه والمشرف على الأطروحة, بتسجيل نشاطات الطالب في الدكتوراه (منشورات, مداخلات...الخ) و تدون ملاحظات لجنة متابعة الطالب في الدكتوراه. ويذكر المنشور النصوص التنظيمية في الدكتوراه نظام ليسانس, ماستير, دكتوراه (أل أم دي) و محاور أخرى تتعلق ب"النشاط و التقييم" و"التكوين في الدكتوراه" و"الأطروحة" و"المدة" و"متابعة و تقييم طلبة الدكتوراه" و"المنشورات والمداخلات". كما يتطرق الدليل للجوانب ذات الصلة ب"التسجيلات" و "المناقشة" و "السرية" و "النزاع و الوساطة" و كذا "حقوق و واجبات الشركاء". ويحدد ميثاق الأطروحة أيضا التزامات كل الأطراف بما فيها طالب الدكتوراه و المشرف على الأطروحة و مدير المخبر و رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه.
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Un débat national a été organisé ce samedi 20 décembre par le Syndicat national autonome des étudiants à Alger. On a mis l’accent lors du débat sur l’indéquation de l’université avec la réalité du marché du travail. Pire encore, l’université a failli à sa première mission : celle de former.
Le système licence, master, doctorat (LMD) pointé de doigt devient un pur asservissement à un patronat en quête du sur mesure. « Souvent, on incrimine l’étudiant ou le nouveau diplômé de ne pas savoir parler les langues étrangères, de ne pas avoir un niveau mais il n’en est pas responsable, ce n’est pas l’étudiant algérien qui a maintenu Benbouzid au poste de ministre de l’Education pendant 20 ans » tranche d’emblée Yamina Maghraoui, secrétaire nationale au Syndicat national automne des personnels de l’administration publique (SNAPAP).
Les étudiants représentants de différentes wilayas, eux dépeignent une université en ruine sous le poids des décombres et qui peinent à se remettre sur pieds.
Un étudiant de Bejaia présent à la rencontre propose de « construire un nouveau rapport de force pour remettre l’administration à sa place ». Pour lui si « dans les années 60-70, l’université se voulait avant tout formatrice et avait donné naissance à des cadres qui, au fil des années, se sont bureaucratisés ».
Aujourd’hui, par contre, « les universités répondent à une logique de patronat, c’est-à-dire former un simple travailleur mentalement asservi » se sont entendu à dire les différents intervenants de la rencontre.
Mais il ne s’agit pas seulement de cela, souvent l’université ne permet pas d’accéder au marché de l’emploi et voue le sort de plusieurs futurs diplômés au chômage.
« Le LMD, un copié-collé des pays capitalistes, l’Algérie n’a ni les moyens humains, ni matériels pour l’appliquer, elle s’est ainsi engagée sur un terrain trouble qui traine l’étudiant vers l’inconnu» a-t-on encore dit lors de la rencontre.
Au final le système LMD sert à faire gagner de l’argent à l’Etat qui en raccourcissant le nombre d’années d’études, il dépensera moins ».
Un autre étudiant de Tlemcen, ingénieur en équipements industriels qui dit avoir tenté l’émigration clandestine puis refoulé en 2001 d’Espagne, renoue aujourd’hui avec les études, master 3 en langue française, il reconnait que l’étudiant a été asservi car il subit alors que c’est à lui de protester afin de changer les choses.
« Etant donnée qu’une université qui pense représente un danger pour les régimes hémogéniques, on a réduit l’étudiant à une entité spécialisé dans un domaine donné sans voir plus loin »a encore constaté Mouloud, étudiant de Tizi Ouzou.
Ironique, le représentant du comité des chômeurs affilié au SNAPAP témoigne avoir passé par toutes les expériences de « précarité » qui malmène le citoyen Algérien, à savoir « j’ai été étudiant, ensuite, je me suis retrouvé sur le marché de l’emploi dans un contrat du pré emploi et enfin chômeur diplômé ».
En marge de la rencontre, nous avons également pu retenir que l’étudiant Algérien, amer et frustré, se compare à son voisin Tunisien qui lui en partant pour des études universitaires en France, on ne lui réclame pas le fameux test de langue, à savoir le TCF (test de connaissance de français), alors que l’étudiant Algérien est obligé de passer par cette étape.
En fin de journée, la rencontre des étudiants, des pré employés et diplômés chômeurs devra sortir avec des recommandations afin de mieux agir dans le futur et surtout élaborer une plate-forme de revendications.
El Watan le 20.12.20114
http://www.elwatan.com/une/universite-le-systeme-lmd-consacre-l-asservissement-des-diplomes-par-le-patronat-20-12-2014-282254_108.php
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Par : Meziane Rabhi
L’Algérie a réussi à améliorer son classement en matière de compétitivité économique. Elle occupe le 79e rang dans le classement mondial de la compétitivité économique établi tous les ans par le Forum économique mondial et publié mercredi dernier à Genève (Suisse).
L'étude du WEF a été réalisée auprès de 15 000 chefs d’entreprise dans 144 pays et donne un classement mondial des pays les plus compétitifs à partir d'une centaine d'indicateurs économiques. L’Algérie gagne ainsi 21 places par rapport à l’année 2013-2014 où elle occupait le 100e rang. Cette progression est principalement due à l’amélioration de son environnement macroéconomique. Sur cet indice, l’Algérie est classée à la 11e place grâce à un faible endettement et à une meilleure épargne nationale. Le rapport global sur la compétitivité 2014-2015 du Forum économique mondial relève également de faibles améliorations dans d'autres domaines, tels que les institutions et la sécurité. Certains aspects de l'éducation montrent aussi une tendance positive : par exemple, la qualité de l'éducation semble s'améliorer. En matière de santé et d’éducation primaire, notre pays occupe la 81e position, même si des efforts doivent être entrepris concernant la qualité de l'enseignement primaire (121e place). L’Algérie est, par ailleurs, bien positionnée sur le plan de la taille du marché
(47e rang). Si en matière d’environnement macroéconomique des secteurs de la santé et de l’éducation l’Algérie se positionne dans la moitié haute du tableau, elle est à la traîne dans beaucoup de domaines, notamment sur le plan du développement du marché financier, préparation technologique, facteurs d'innovation et de sophistication
Concernant les infrastructures, l'Algérie est classée 106e à l'échelle mondiale, indique le même rapport, notant la mauvaise qualité des routes (107e place), des ports (117e place) et des infrastructures du transport aérien (128e place). En matière de développement du marché financier, notre pays occupe la 137e position. En termes de disponibilité des services financiers, elle est classée à la 133e place.
Sur le plan de l’accessibilité, notre pays arrive au 135e rang et à la 72e place concernant la facilité d'octroi de crédits. En matière de fiabilité et de confiance du système bancaire, l’Algérie se positionne à la 138e position. Elle est classée à la 133e place en matière de solidité des banques. L'Algérie occupe le 136e rang en matière d'efficacité du marché des biens, selon le rapport qui déplore, à cet égard, la faiblesse d’intensité de la concurrence locale (136e rang) et la complexité des procédures de lancement des projets (139e rang).
Le rapport souligne, également, qu'en dépit de la disponibilité des scientifiques et des ingénieurs (61e place), l'innovation demeure l'un des points négatifs pour l'Algérie qui occupe la 128e place, concernant cet indice. Le jugement est encore plus sévère concernant la capacité d’innovation, l’Algérie arrivant en queue de peloton.
En effet, notre pays est classé à la 143e position. Une refonte du cadre institutionnel et mettre davantage l'accent sur l'efficacité des biens, du travail et en particulier les marchés financiers seront nécessaires pour mettre la croissance de l'Algérie sur une trajectoire plus durable, estime le rapport. Au niveau des pays du Maghreb, l’Algérie se classe en 2e position devant la Tunisie (87e), la Libye (126e) et la Mauritanie (141e), mais derrière le Maroc classé 72e au niveau mondial. L’Algérie figure dans le top 10 (6e) des pays les plus compétitifs à l’échelle africaine. L’île Maurice est le pays le plus compétitif en Afrique, suivie par l’Afrique du Sud, le Rwanda, le Maroc et le Botswana.
Pour la sixième fois consécutive, la Suisse occupe le premier rang mondial de ce classement. Singapour conserve sa deuxième place et les États-Unis figurent désormais au troisième rang, gagnant 2 places par rapport à 2013. La Finlande (4e) et l'Allemagne (5e) perdent chacune une place. Ils sont suivis par le Japon (6e), les Pays-Bas (8e) et le Royaume-Uni (9e). La Suède (10e) ferme la marche du Top 10.
Les économies qui occupent les premières places du classement ont toutes en commun d’excellents résultats en matière de formation, de rétention et d’attraction des talents, ainsi qu’une politique d’investissements encourageant l'innovation. Ces investissements dits intelligents et ciblés sont possibles grâce à une approche coordonnée reposant sur une collaboration étroite entre les secteurs public et privé.
http://www.liberte-algerie.com/actualite/le-manque-d-innovation-plombe-le-classement-de-l-algerie-rapport-du-forum-economique-mondial-227912
L’étude « Value of Education » commandée par HSBC classe 15 pays selon le coût de leurs études et la qualité de l’enseignement qui y est dispensé.
Si près de 75% des parents de la planète aimeraient envoyer leurs progénitures étudier à l’étranger, c’est pour plusieurs raisons. D’une part l’assimilation d’une langue étrangère, puis la confrontation à l’international et donc l’accès à l’autonomie et à l’indépendance. C’est bien beau, mais ce n’est pas donné à tout le monde. Le classement ci-dessous présente 15 pays qui sont les plus prisés en terme d’études.
Il les classe selon deux indices : le coût et la qualité de l’enseignement. Les Etats-Unis forment avec le Royaume-Uni et l’Australie le trio gagnant en termes de qualité mais aussi en termes de coûts.
La France se situe à la 6ème position avec Singapour, ce qui n’est pas une mauvaise place avec un coût dépassant les 16.000$ pour un cursus.
Australie 42 093 3
Singapour 39 229 6
Etats-Unis 36 564 1
Royaume-Uni 35 045 2
Hong Kong 32 140 7
Canada 29 947 4
France 16 777 6
Malaisie 12 941 9
Indonésie 12 905 11
Brésil 12 627 11
Taïwan 11 911 10
Turquie 11 365 11
Chine 10 729 5
Mexique 9 460 11
Inde 5 642 8
L’Inde remporte la palme des études les moins chères, à hauteur de 5 642$ par cursus, et rafle pourtant la 8ème position en termes de qualité. La Chine est aussi à envisager puisqu’elle se situe au-dessus de la France, à la 5ème place du classement pour un cursus s’élevant à 10 729$.
Et oui, comme tout ce qui est, l’éducation a un prix et il est très élevé.
Source : http://www.focusur.fr/actualites/2014/09/11/cout-classement-pays-etudes-superieures
« Nous devons mener le système LMD jusqu’au bout, et nous sommes tenus par la suite de faire une évaluation ».
En cette matinée du samedi, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a ouvert les travaux de la Conférence nationale des chefs des établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, réunis au niveau du centre universitaire de Koléa (Tipasa). Il a rappelé notamment dans son intervention quelques dysfonctionnements qui exigent des corrections.
« L’enseignement supérieur à deux systèmes dans notre pays est inadmissible. Est-il normal que 10 ans après la décision du gouvernement algérien, notre pays continue à fonctionner avec ces 2 systèmes d’enseignement. « Nous devons mener le système LMD jusqu’au bout, et nous sommes tenus par la suite de faire une évaluation », à déclaré le Mohamed Mebarki. Il indiqué aussi que « l’ouverture vers le master est inéluctable » et « l’octroie des stages de formations à l’étranger devra être transparent ».
Le ministre a annoncé que 40.000 lits et 62.000 places pédagogiques supplémentaires seront mises à la disposition des étudiants au cours de l’année universitaire 2014/2015. Le secteur de l’enseignement supérieur disposera d’une capacité d’accueil de 1.250.000 places pédagogiques pour la prochaine rentrée universitaire.
L’ordre du jour de cette conférence nationale des responsables des centres universitaires et de la recherche scientifique s’est articulé autour de la synthèse des travaux des conférences régionales et de la préparation de la rentrée universitaire 2014/2015.
Les universités algériennes s’attendent à un partenariat gagnant-gagnant avec les universités canadiennes, a indiqué, hier à Tlemcen, le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. "Les universités canadiennes sont d’une grande qualité qui les place parmi les plus performantes au monde, notamment dans certains domaines comme l’assurance de la qualité de formation et la gouvernance universitaire", a indiqué M. Mohamed Salah-Eddine Seddiki, en marge du colloque sur le partenariat universitaire algéro-canadien, ouvert, hier, à la faculté de médecine de l’université de Tlemcen.
Cette rencontre, à laquelle prennent part une trentaine d’universitaires canadiens, regroupe de nombreux recteurs et chercheurs algériens, qui auront à s'informer, au sein d’ateliers, des expériences canadiennes réussies et à échanger les leurs.
Des conventions de partenariat seront également paraphées au terme de cette rencontre, dans l’optique, a-t-il dit, de faire bénéficier les universités algériennes de l’expérience canadienne et permettre l'échange de programmes de recherches et la mobilité des enseignants.
Pour sa part, la chef de la délégation canadienne et présidente directrice générale du Bureau canadien de l’éducation internationale (BCEI), Mme Karén Mc bride, a indiqué que cette rencontre permettra de faire connaître le fonctionnement du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au Canada, de débattre et d’identifier, avec les collègues algériens, des besoins spécifiques de l’université algérienne et d’établir un partenariat dans divers domaines, notamment techniques tels que les énergies, les systèmes d’évaluation et l’environnement.
Les deux responsables cités ont procédé, au cours de cette journée d’ouverture, à la présentation des universités algériennes et canadiennes en détaillant tous les dispositifs pédagogiques, financiers et de fonctionnement des institutions de l’enseignement supérieur des deux pays.
Les travaux de ce colloque se poursuivent en ateliers pour débattre de la mise en œuvre des systèmes d’évaluation et d’assurance de la qualité et les domaines de collaboration possible en enseignement supérieur entre l’Algérie et le Canada. Les ateliers aborderont également les nouveaux modèles de coopération, les programmes et les mécanismes pouvant l’alimenter.
D’autres ateliers s’articuleront autour des relations université du monde professionnel, de l’enseignement des langues, des technologies de l’information et du management. APS
http://www.letempsdz.com/content/view/114354/1/
31-01-2014
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a affirmé jeudi à Alger que le programme d’action du secteur à court et moyen termes visait à garantir de meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, estimé à 1,7 million, à l’horizon 2016. Exposant le programme d’action sectoriel à court et moyen termes devant les membres de la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mebarki a dit que ce programme visait à renforcer les capacités du système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans ses aspects structurels et ceux liés à l’organisation, à la gestion et à la gouvernance en vue d’assurer les meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, soit 1,7 million, à l’horizon 2016.
Il vise également à engager le système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans une nouvelle ère qualitative "qui réponde aux exigences d’une formation de qualité aux normes internationales", a-t-il dit.
Ce programme concerne le développement et la réforme du secteur ainsi que des mesures de soutien en général, a affirmé le ministre, soulignant que le processus de développement tendait à soutenir et à étendre le réseau universitaire, conformément au plan d’orientation sectoriel pour l’élaboration d’une carte universitaire à l’horizon 2025.
Cette démarche englobe le développement des infrastructures pédagogiques et de recherches ainsi que des infrastructures des œuvres sociales inscrites dans le programme quinquennal de soutien à la croissance 2010-2014, qui englobe l’étude et la réalisation de 322.000 places pédagogiques, 161.500 lits et 13 centres de recherches.
Concernant le soutien de l’encadrement pédagogique et scientifique, "une attention particulière est accordée à la formation des formateurs, à travers la relance de la formation en doctorat, la poursuite de la mise en œuvre du programme de formation à l’étranger au profit des enseignants qui sont en voie de finaliser leur thèse de doctorat et au profit des étudiants lauréats, outre l’implication des compétences scientifiques algériennes établies à l’étranger dans l’effort national de formation et de recherche et la prise en charge de l’équivalence des diplômes pour ceux qui désirent revenir en Algérie", a-t-il expliqué.
Quant au développement de la recherche scientifique et technologique, il s’agit de l’élaboration d’une loi d’orientation et d’un cadre régissant les programmes et les activités de recherches, de façon à permettre au secteur d’"élaborer, de mettre en place et d’actualiser les programmes nationaux de recherche, à travers l’organisation", a indiqué le ministre.
Le programme d’action du secteur englobe également la réforme de l’enseignement supérieur. A cet effet, M. Mebarki a précisé que son ministère entamera la deuxième phase du processus de réforme qui sera consacrée à la finalisation de la mise en place d’un système de garantie de la qualité dans le domaine de la recherche scientifique, à travers l’amélioration continue de la qualité de l’enseignement, l’approfondissement de la culture de l’évaluation et la consécration de l’ouverture de l’université sur son environnement national et international.
Le secteur continuera sur sa lancée pour l’amélioration de la lisibilité des diplômes universitaires et la mise en place d’une base commune des références et des connaissances selon chaque domaine de formation, en vue d’imprégner davantage de cohésion aux offres de formation analogues et de faciliter les mouvements des étudiants entre les filières de formation et les établissements universitaires, a-t-il dit.
La stratégie de réforme comprend également la relance du système de formation de l’élite et le développement du caractère professionnel de l’enseignement supérieur, a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le secteur de l’enseignement supérieur poursuit le processus de réforme des œuvres sociales afin de "rationaliser la gestion, d’améliorer la qualité des prestations prodiguées aux étudiants, de renforcer les activités scientifiques, culturelles et sportives, en vue d’assurer un meilleur cadre d’instruction et de vie pour l’étudiant", a-t-il souligné.
Le ministre a évoqué le soutien de la gouvernance visant à améliorer le service public de l’enseignement supérieur, les compétences de gestion, l’activation des instances consultatives et des instances de permanence aux différents niveaux de l’organisation universitaire, insistant sur la "nécessité de réviser les cadres légaux régissant l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notamment en ce qui concerne l’amendement de la loi 11-98 portant loi programme sur la recherche scientifique et le développement technologique et l’amendement de la loi 05-99 portant loi d’orientation de l’enseignement supérieur".
Nous vous informons que la 1ère session 2014 du CSP aura lieu le 7 et 8 avril 2014 à Ghardaia.
Ordre du jour de la 1er session ordinaire 2014 :
Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013...
Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013.
Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013 :
Soixante-treize (73) personnes sont mortes et 880 autres ont été blessées dans 506 accidents de la route survenus entre le 19 et 25 octobre sur l'ensemble du territoire national, indique un bilan de la Gendarmerie nationale rendu public jeudi. Les unités de la Gendarmerie nationale ont enregistré le même nombre de décès, par rapport à la semaine précédente, et une légère hausse du nombre d'accidents (+3) et une hausse considérable du nombre de blessés (+65), précise la même source.
Selon le bilan, les wilayas d'Oran et de Sétif viennent en tête concernant le nombre d'accidents avec 23 accidents suivies de Médéa (22) accidents et Relizane avec 21 accidents, les wilayas d'Ain Defla, Mascara et Batna avec 20 et d'Alger (18 accidents). Ces accidents sont principalement dus à la perte de contrôle du véhicule (110), l'excès de vitesse (104), les dépassements dangereux (79), l'insouciance des piétons (56), le non respect de la distance de sécurité (36), et la circulation sur la voie gauche (20), ajoute la Gendarmerie nationale.
Les accidents de la route ont connu une hausse vertigineuse au mois de septembre dernier. Les statistiques, rendues publiques hier par la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, donnent froid dans le dos : 430 morts et 4 700 blessés enregistrés dans 2 541 accidents de la route, soit une augmentation de 324% par rapport à la même période de l’année 2010. Il faut dire que les automobilistes développent davantage un comportement très violent au volant (606 cas) et perdent de plus en plus le contrôle de leur véhicule (586 cas). Les dépassements dangereux (272 cas), le refus de priorité (76 cas), le non-respect de la distance de sécurité (130 cas) et la nonchalance des piétons (218 cas) sont les facteurs majeurs qui viennent juste derrière la responsabilité des chauffards qui roulent à une vitesse assez élevée pour causer des sinistres mortels.
Au total, note-t-on, ce sont 2 054 accidents qui sont dus au comportement des chauffeurs au volant. Au chapitre des wilayas touchées par ces accidents, on retrouve dans le sinistre Top-5 Sétif avec 130 accidents, suivie d’Alger et Oran (106 cas), Mascara (103 cas) et Aïn Defla (90 cas). Le rapport de la GN montre tout de même que d’autres facteurs viennent se greffer aux principales causes de ces accidents, et ce, malgré le renouvellement du parc automobile. Même les wilayas qui, autrefois, n’enregistraient pratiquement aucun accident dans le mois, ne sont plus épargnées puisque les 48 départements du pays sont touchés par ces sinistres.
Par : Farid Belgacem . Liberté
Durant la saison estivale, 2659 accidents de la route ont été enregistrés, causant la mort de 347 personnes et des blessures à 4858 autres. Le nombre des accidents à travers les wilayas côtières représente 34% du nombre global des accidents à travers le pays. En revanche, les nombres d'accidents, de décès et de blessés ont connu une hausse respective de 25%, 20% et 36%.
Les wilayas les plus touchées sont Oran avec 322 cas, Tlemcen, 301 cas, Alger, 271 cas, Tipaza, 258 cas, Chlef, 233 cas et Boumerdès, 191 cas. La prévention, approche privilégiée de l'action en sécurité publique, s'est concrétisée à travers l'amélioration de la couverture sécuritaire qui a atteint 88.25% au plan national et l'optimisation des dispositifs mis en place.
Pour cette année, la GN a eu à sécuriser 254 plages, soit un taux de 75% du nombre global des plages autorisées à la baignade, par la mise en surface des dispositifs dynamiques et statiques, notamment des postes de surveillance dont le nombre a atteint 149 postes.
Enfin, le commandement de la GN a misé sur l'amélioration de la qualité du service et les actions de proximité à entreprendre à l'égard des citoyens, pour parvenir à les impliquer à participer à leur propre sécurité en mettant à leur disposition un numéro vert, le «10.55». Les unités de la GN ont répondu à 65 502 appels dont 1813 ont été suivis d'interventions immédiates des unités concernées, soit un résultat positif dans 78 cas.
(APS) jeudi 20 octobre 2011 10 : 19
75 décès dans des accidents de la circulation au mois de septembre
ALGER - Un total de 75 décès et 2.023 blessés a été enregistré dans des accidents de la circulation durant le mois de septembre 2011, indique mercredi un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN). La DGSN a jugé la situation de "toujours regrettable", bien que le nombre de décès ait baissé de 16 comparativement au mois d’août.
Elle a relevé dans son bilan que le facteur humain est constamment à l’origine des accidents de la route, notant que durant le mois de septembre 1.593 cas dus à la négligence des usagers de la route ont été enregistrés, faisant remarquer que des vies humaines auraient pu être épargnées pour peu que les règles de prudence au volant soient respectées.
La DGSN a ainsi lancé un appel aux usagers de la route de faire preuve de plus de respect des dispositions du code de la route, notamment à l’approche de la saison des pluies, lesquelles rendent la conduite difficile.
En comparaison avec le bilan de la semaine dernière, la Gendarmerie nationale a enregistré une hausse du nombre d'accidents (+ 2 accidents) et de blessés (+ 49 blessés), contre une baisse du nombre de décès (- 4 morts). Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Skikda où 12 morts ont été dénombrés, suivie par la wilaya d'Alger avec 6 morts.
En tout, 77 personnes ont trouvé la mort et 918 autres ont été blessées dans 481 accidents de la route survenus durant la semaine écoulée sur l'ensemble du territoire national. Selon le bilan établi jeudi par la Gendarmerie nationale, la wilaya d'Alger occupe la première place avec 32 accidents enregistrés durant la même période, suivie d'Oran avec 24 accidents, Tlemcen avec 21 accidents, Médéa et Mostaganem 19 chacune et Tiaret avec 18 accidents.
Il faut noter que ces accidents sont principalement dus à la perte de contrôle du véhicule ayant fait 108 accidents, l'excès de vitesse avec 91 autres, sans oublier les dépassements dangereux et le non-respect de la distance de sécurité.
Soixante sept (67) radars mobiles de haute technologie seront mis en service pour renforcer la sécurité sur les axes routiers de la région ouest du pays, a-t-on appris vendredi auprès du commandement du 2ème groupement régional de la Gendarmerie nationale.
Il s’agit de radars modernes équipant des véhicules de la gendarmerie nationale pour détecter et intercepter les cas d’excès de vitesse et les véhicules volés en circulation, a précisé le Colonel Bessaha Kamel, chef d’Etat major du 2ème groupement régional de la GN, lors d’une conférence de presse, soulignant que ces moyens sont utilisables même en cas d’un grand trafic routier et sur les deux sens.
Outre, le « flashage » instantané des véhicules en situation d’excès de vitesse et le contrôle des routes, cet équipement permet de détecter les voitures volées, lors de leur passage devant ces radars grâce à un système d’alarme, utilisé dans ce type de matériel.
Selon le même responsable, cet appareil est doté d’une « mémoire intelligente » qui permet de stocker les différentes informations sur les caractéristiques des voitures volées, et de faciliter ainsi leur récupération et le démantèlement des réseaux criminels qui en sont à l’origine, comme cela a été le cas pour un certain nombre d’opérations effectuées récemment.
Ce matériel contribuera également au développement des opérations de sécurisation des routes et de renforcement de la prévention contre les accidents de la circulation, a précisé le même responsable.
Des statistiques présentées par cette structure précitée relèvent que 72 véhicules volés ont été récupérés depuis le début de l’année, contre 31 voitures récupérées l’année dernier, sachant que ces opérations ont été effectuées dans les wilayas d’Oran, Mascara et Ain Temouchent.
Le nombre d’accidents de la circulation dans les wilayas de l’Ouest a connu une augmentation durant l’année en cours avec 4.278 accidents contre 3.012 durant la même période de 2010. C’est également le cas pour le nombre de morts avec 597 décès contre de 441 en 2010, alors que le nombre de blessés a été de l’ordre de 7.597 cas cette année contre 5.323 en 2010.
[Via] APS, latribune-online.com
Le durcissement des sanctions prévues par le Code de la route en cas d’infractions ainsi que les campagnes de prévention n’ont donc pas eu d’énormes effets sur les comportements des automobilistes et des usagers de la route, même si l’élément humain n’est pas le seul à être mis en cause dans ce genre de désastres.
La Gendarmerie nationale , la Police et la Protection civile en sont réduits à compter le nombre de morts et de blessés tout comme les hôpitaux et les assurances, sans parler des séquelles endurées par les victimes et des drames vécus par leurs familles. Si l’on se fie aux données de la police, durant le mois de janvier 2011, on s’aperçoit que pas moins de deux personnes qui sont décédées et 87 autres blessées dans 68 accidents de la route, survenus durant ce premier mois de l’année.
Ces accidents sont principalement dus à la perte de contrôle du véhicule, l’excès de vitesse, les dépassements dangereux, la négligence des piétons, le non-respect de la distance de sécurité, le non-respect de la priorité ainsi que la circulation sur la partie gauche de la chaussée et enfin les manœuvres dangereuses.
vendredi 4 février 2011 | Khalil.Hedna@setif.info
Au moins 29 personnes ont été blessées, dont deux jugées dans un état très grave, dans deux accidents de la route distincts survenus hier, à l’est de la ville de Kherrata, indique-t-on auprès de la gendarmerie nationale.
Le premier accident, un carambolage entre trois véhicules, s’est produit à hauteur d’un pont situé au lieudit Marouaha, à 7 km à l’est de Kherrata. Dans une tentative de dépassement, un camion semi-remorque, se dirigeant vers l’est a heurté un fourgon puis s’en est allé percuter un bus de transport de voyageurs, avant de se fendre dans les barreaux du pont et finir sa course dans le vide, a-t-on expliqué. Le camion a fait un saut de plus de 50 mètres avant d’atterrir dans l’oued. Son chauffeur a été évacué dans un état très grave à l’hôpital de Kherrata. Les autres victimes ont été toutes dénombrées parmi les passagers du bus qui se dirigeait vers Sétif.
La protection civile a évacué huit des personnes blessées avec ses moyens, alors que le reste a été transporté par des automobilistes de passage, ont indiqué les mêmes services, dont les éléments ont déployé trois ambulances, un camion modulaire, un engin anti incendie et une équipe de plongée.
Selon la gendarmerie nationale, un second accident de même ampleur, a été déploré en début d’après-midi sur le chemin de wilaya 32, entre Adjiouene et Kherrata.
Onze (11) personnes ont été blessées à la suite d’un dérapage d’un fourgon de transport de voyageurs qui, à l’instar du premier accident, a fini sa course également dans un ravin.
Cinquante trois kilomètres de pistes ont été ouverts l'année dernière dans la wilaya de Mascara pour désenclaver les zones rurales et améliorer les conditions de vie des populations locales, a-t-on indiqué hier, à la conservation des forêts. Cette opération, inscrite dans le cadre du programme du renouveau rural, a touché des zones déshéritées disséminées à travers 30 communes, permettant ainsi de les relier aux réseaux routiers.
Ceci a permis de faciliter les déplacements des habitants de ces zones rurales, qui ont connu un retour massif des populations vers leurs terres d’origine, a-t-on ajouté. En vue de protéger ces zones rurales du risque des crues et lutter contre l’érosion du sol, des opérations de correction torrentielle, de gabionnage, ont été menées à travers 41 communes rurales.
Outre les travaux de reboisement, de nettoyage et autres travaux forestiers, des opérations de raccordement au réseau d’électrification rurale ont aussi été engagées, en coordination avec la direction des mines et de l'industrie. Ces opérations ont permis de raccorder 144.551 foyers sur un total de 144.954 habitations rurales, soit un taux de 98,96 %.