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Microsoft : Lancement de Windows Server 2008 en Algérie début mars - par elabweb le 27/02/2008 10:58
El MOUDJAHID
L'arrivée en Suisse du gardien de but égyptien Essam El-Hadary pour un transfert au FC Sion (1re div), s'est accompagné d'un flot de messages d'insultes sur le site du club ce qui a mis en panne son serveur, a annoncé lundi dernier le club suisse.
"Suite à l'arrivée d'Essam El-Hadary et à l'immense tapage médiatique que celui-ci a provoqué en Egypte, le site officiel du FC Sion a fait tomber à plusieurs reprises (en panne) le serveur sur lequel il était hébergé" a précisé la même source.
Le club cairote d'Al-Ahly a dénoncé samedi passé la "fuite" de son gardien, considéré comme le meilleur du continent africain. La presse égyptienne a réagi avec virulence au départ du portier de 35 ans, récent vainqueur de la CAN-2008 avec l'Egypte.
Le gardien des Pharaons, qui s'est à nouveau entraîné lundi après-midi au FC Sion (8e du championnat suisse sur 10 équipes après 22 journée), doit être engagé mais il reste à trouver un terrain d'entente financier pour la résiliation de son contrat.
Le taux de pénétration des TIC dans les PME est plus de 44 % - par elabweb le 23/02/2008 17:00
ALGER-
Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemâa Haichour, a affirmé que le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des Petites et moyennes entreprises (PME) algériennes est de 44,66 %. Dans une intervention au Club excellence management, le ministre a indiqué que ce chiffre est le résultat d'une étude non encore achevée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD). M. Haïchour a souligné que l'étude a englobé l'utilisation du téléphone fixe et portable, du micro-ordinateur, de l'Internet, de l'accès ADSL, des réseaux intranet et extranet, des sites web et des portails.
Source: aps.dz
Mobilis, passage à la numérotation à 10 chiffres - par elabweb le 23/02/2008 16:59
Mobilis, premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, annonce que la procédure de changement de numérotation s'est déroulée avec succès durant la nuit du 21 au 22 Février 2008.
Conformément au planning des travaux, Mobilis a ainsi procédé aux opérations de basculement des commutateurs et des différentes plate-formes de services.
Les équipes techniques ont travaillé sans relâche depuis une semaine pour préparer et procéder au basculement.
Mobilis précise que les plate-formes et tous les services (Voix SMS, GPRS, USSD,
) ont été testés avec succès.
Pour rappel, les abonnés Mobilis devront ajouter à leurs numéros un 6 après le 0 et cela comme indiqué sur le tableau suivant :
Offres Postpayée :
Ancienne numérotation : 061 XX XX XX
Nouvelle numérotation : 0661 XX XX XX
Offres Mixtes :
Ancienne numérotation : 060 XX XX XX
Nouvelle numérotation : 0660 XX XX XX
Offres Prépayée :
Ancienne numérotation : 062 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0662 XX XX XX
Ancienne numérotation : 097 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0697 XX XX XX
Ancienne numérotation : 098 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0698 XX XX XX
Ancienne numérotation : 099 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0699 XX XX XX
Mobilis informe que durant les 15 prochains jours, les deux numérotations sont acceptées par le réseau.
Mobilis invite tout de même ses clients à utiliser la nouvelle numérotation.
Source: Communiqué de presse d'ATM Mobilis
Internet dans les pays arabes - par elabweb le 23/02/2008 16:52
Internet dans les pays arabes : Le taux d'utilisateurs est inférieur à 1,8%
La production Internet on line et le contenu Internet algérien sont de plus en plus encouragés. Aussi, la rencontre de lundi, à Alger, entre spécialistes du monde arabe dans le domaine vient-elle confirmer cette option. Les différents conférenciers s'accordent à dire que l'édition électronique en tant que partie de la révolution des télécommunications modernes, sera de plus en plus consacrée à l'avenir.
Elle le sera, d'autant plus que les sociétés modernes se dirigent résolument vers ce qui est communément appelé «sociétés électroniques», ont souligné les spécialistes en information et communication.
Ainsi, le professeur Rabah Bellatrach, expert en informatique et consultant auprès de la société El-Rachidia, spécialisée dans la conception de sites Internet, a souligné, lors de son intervention sur «l'édition électronique et l'état des lieux dans la région arabe», que la révolution des télécoms a créé des opportunités nouvelles pour les écrivains, journalistes et spécialistes. Il a rappelé le lancement, en 1997, de l'université électronique arabe, la première du genre, destinée aux arabophones via Internet. Celle-ci est venue compléter la bibliothèque électronique arabe qui a édité des livres on line pour les mettre gracieusement à la disposition des internautes et contribuer à la diffusion des sciences. Dans son approche, ce spécialiste a estimé que l'édition électronique a créé une marge de liberté appréciable et a grandement contribué à la levée des contraintes et des facteurs de pression, notamment sur les journalistes et les intellectuels arabes. Abordant la situation socioéconomique dans cette région, il a précisé que la révolution informatique a permis une interconnectivité brillante des services des entreprises et collectivités, donnant naissance au système de commercialisation via Internet.
Le monde arabe n'a pas été en reste des progrès internationaux, ce qui a favorisé l'émergence de nouvelles attitudes sociales, voire une nouvelle «génération Internet». Un autre conférencier, le professeur Hassan Khelifa, web-designer de son état, a indiqué que l'édition électronique offre des avantages en termes de coût, de rapidité, de flexibilité et de facilitation de la recherche. Il a relevé l'existence d'un grand fossé numérique, intellectuel et scientifique entre le monde arabe et l'Occident, un fossé qui ne peut être éliminé que par la généralisation de l'Internet dans nos sociétés. Il a regretté que le nombre d'utilisateurs d'Internet dans le monde arabe ne dépasse pas 1,8%, déplorant l'absence d'une véritable politique de sensibilisation et d'incitation au recours à cette technologie.
Pour rappel, et pour souligner la volonté politique de l'Algérie d'accéder à ces technologies d'avenir, un grand concours sur les meilleurs sites Internet culturels algériens est organisé en 2008. Sous l'intitulé «Trophée Med-It 2008», il récompensera les créateurs des meilleurs sites Internet mettant en valeur le patrimoine culturel algérien.
Par: Abdelkrim AMARNI - L'Expression
L’EEPAD lance la TV sur IP - par elabweb le 19/02/2008 15:40
En marge du séminaire sur la cybercriminalité organisé hier à l’hôtel El-Aurassi, M. Nouar Harzallah a annoncé que l’EEPAD lance la télévision sur IP à partir du mois de mai prochain. Dans un premier temps, le contenu sera alimenté par les trois chaînes locales.
Les experts en cybercriminalité dressent le constat - par elabweb le 19/02/2008 15:20
Le séminaire sur la cybercriminalité, organisé hier à l’hôtel El-Aurassi par le fournisseur de services à Internet Eepad, a ouvert un débat quelque peu prématuré dans notre pays, en ce sens que les Algériens sont davantage consommateurs du réseau qu’opérateurs. Selon des statistiques fournies par l’Eepad, 2,5 millions de concitoyens se connectent régulièrement ou occasionnellement à Internet soit de chez eux, soit dans l’un des 5 900 cybercafés ouverts à travers le territoire national.
Il n’en demeure pas moins que le pays ne connaît pas jusqu’alors d’attaques spectaculaires des systèmes informatiques, de l’aveu du ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication, Boudjemâa Haïchour. 3 000 incidents ont été recensés, en Algérie, par l’Eepad. Le directeur général de cet organisme a expliqué que ce sont des attaques commises par des amateurs. 80% des pannes techniques que nous avons enregistrées sont dues à de la négligence, a-t-il précisé. Il est d’autant plus difficile de parler de grande menace sur la sécurité informatique puisque l’Algérie n’est pas encore outillée pour l’utilisation, à grande échelle, des cartes d’accès aux comptes bancaires, la cible privilégiée des hackers. Jusqu’à présent, les délits spécifiques, inhérents à la transmission frauduleuse des données, accès indu à un système de traitement d’informations ou suppression de données, n’ont pas réellement le vent en poupe chez nous. Le danger provient plutôt des délits dits traditionnels, qui consistent en la propagation des idées extrémistes, qu’elles soient de nature xénophobe, terroriste ou portent atteinte aux bonnes mœurs.
La nuisance de la nébuleuse Al-Qaïda est accrue par sa capacité à faire l’apologie de son idéologie et de ses attentats et aussi à enrôler de nouvelles recrues via le Net. Les autorités algériennes sont, aujourd’hui, dans l’incapacité de contrer cette menace. M. Henni, directeur de la modernisation de la justice au ministère de tutelle, a affirmé, en marge de la conférence, qu’il est très difficile de bloquer ou simplement de contrôler l’accès aux sites web subversifs à cause de la multiplication des providers. Quelque 71 fournisseurs de services Internet sont agréés en Algérie, même si, dans le fait, uniquement quatre sont actifs. Chacun opère en cavalier seul. Si les providers se mettent d’accord pour bloquer ces sites, ça sera fait, a-t-il ajouté. Il a précisé, néanmoins, que la majorité des sites web de groupes terroristes sont hébergés à l’étranger. Notre interlocuteur a souligné que les groupes terroristes créent des sites juste pour quelques heures, le temps de mener à bien leur propagande, puis ils les annulent. Il devient donc ardu de les identifier ou de les localiser. Le cas échéant, l’Algérie a la possibilité d’introduire une requête auprès des autorités du pays qui héberge ledit site, en vue de le bloquer. Le principal responsable de l’Eepad a recommandé la sensibilisation des internautes sur les risques de la cybercriminalité, en attendant une législation coercitive contre ces crimes d’un genre nouveau.
Le ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication a soutenu que l’objectif assigné à son secteur est d’instaurer un dispositif juridique visant à renforcer, sur la base d’une synergie intersectorielle, le cadre légal de lutte contre les crimes et délits liés aux systèmes informatiques et aux TIC. Il a rappelé que l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a engagé, de concert avec les trois opérateurs de la téléphonie mobile, une opération d’assainissement quant au respect des procédures d’identification des acquéreurs de puces, condition exigée par les dispositions des cahiers des charges. Dans la réalité, aucun contrôle n’est procédé systématiquement, puisque des puces se vendent librement, sans aucune contrainte pour l’acheteur, au niveau des marchés informels ou dans les taxiphones. Il en est de même pour l’utilisation de l’Internet, qui n’est point protégée par des garde-fous. Les responsables du secteur des télécommunications souhaitent, à tout prix, réussir le challenge de mettre l’Algérie au diapason des pays investis pleinement dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication, pour un meilleur essor de l’économie. Pour cette raison, l’on est, à chaque fois, prompt à livrer des chiffres prouvant le bon fonctionnement du projet Ousratic, c’est-à-dire un PC pour chacune des 6 millions de familles.
L’objectif est loin d’être atteint eu égard aux 3 millions d’ordinateurs fonctionnels en 2006, en y incluant les postes utilisés sur les lieux de travail. 700 000 accès à l’ADSL sont enregistrés en juillet de la même année. Le ministre a pourtant affirmé, hier, que 1 351 communes, sur les 1 541, sont connectées au haut débit.
Souhila H.
La mort annoncée du HD-DVD - par elabweb le 19/02/2008 00:45
La fin du HD-DVD, le format de disque haute définition qui devait remplacer le DVD, semble inéluctable, tant les ennuis semblent s’accumuler. Début janvier, le format créé par Toshiba perdait le soutien de la plupart des majors du cinéma hollywoodien, qui se sont tournées en masse vers le Blu-Ray, format concurrent soutenu par Sony. Et les ennuis se sont accumulés : suite à cette défection, Toshiba a bien tenté de baisser le prix de ses platines HD-DVD, mais sans succès : sa part de marché a fondu face au Blu-Ray, qui domine désormais largement le marché des disques HD... tout en restant bien loin derrière le vieillissant DVD.
Mais c’est la semaine dernière que le sort du HD-DVD semble avoir été définitivement réglé : coup sur coup, le loueur de vidéo Netflix et les chaînes de grande distribution BestBuy et surtout Wal-Mart ont annoncé l’abandon de la distribution de HD-DVD au profit du Blu-Ray. Ce qui, dans les faits, rend pratiquement indisponibles les films au format HD-DVD. Et même Toshiba semble désormais s’interroger sur la pérennité de son format. « Nous avons commencé à préparer notre sortie du marché de la nouvelle génération de DVD », déclarait samedi à Reuters une source interne à Toshiba, ajoutant que la décision officielle arriverait sous peu. Officiellement, toutefois, l’entreprise précise qu’« aucune décision n’a été prise pour le moment, même si Toshiba passe actuellement en revue les stratégies possibles. ». Un conseil d’administration prévu demain chez Toshiba pourrait être l’occasion d’enterrer le HD-DVD.
Un retrait du HD-DVD permettrait à Sony d’officialiser sa victoire, déjà réelle, avec le Blu-Ray. Mais la base de platines Blu-Ray installées et le nombre de films vendus restent encore très faibles par rapport au DVD, qui pourrait continuer à dominer le marché vidéo jusqu’en 2012 au moins, selon une étude de décembre dernier. Sans oublier le téléchargement de films en haute définition (avec des offres de vidéo à la demande qui se multiplient depuis quelques mois sur PC et même sur consoles), qui pourrait également se poser en rival surprise sur la route du Blu-Ray.
Bientôt un portail Internet sur le tourisme - par elabweb le 16/02/2008 10:38
Un portail Internet englobant une multitude d’informations sur la destination Algérie sera lancé prochainement à Alger par le Touring voyages Algérie (TVA), a-t-on appris hier auprès de TVA.
Ce site Internet comporte des informations, notamment sur les infrastructures d’accueil à travers le pays, à l’instar de ce qui se fait dans ce domaine de par le monde, a-t-on indiqué auprès du TVA, filiale du Touring club Algérie (TCA). Ce portail devra renseigner également sur les différents sites touristiques, culturels historiques et archéologiques pour faire connaître la destination Algérie. Il proposera de plus, des activités liées au tourisme de santé et de plein air, ainsi que différents sites de camping et randonnées pédestres, a-t-on précisé, soulignant que ce portail informera, en outre, sur les différentes formules proposées pour la Omra et le Hadj. Des liens vers les différents partenaires de TVA sont affichés sur le site tels que ceux des compagnies aériennes, ferroviaires et maritimes ainsi que les tour-opérateurs et les agences de voyages. L’achat de la billetterie ou la réservation des chambres d’hôtels devra se faire à travers ce site, qui sera opérationnel le 22 mars prochain, a-t-on ajouté.
Yahoo! rejette l'offre de Microsoft, le dénouement reste ouvert - par elabweb le 12/02/2008 10:44
e groupe internet Yahoo! a rejeté lundi l'offre de rachat lancée par le leader mondial des logiciels Microsoft, jugeant celle-ci, avec un prix proposé de 44,6 milliards de dollars, "nettement sous-évaluée" par rapport à la valeur que s'attribue ce pionnier du web. Yahoo! a confirmé une position éventée par voie de presse pendant le week-end: "après une évaluation minutieuse, le conseil d'administration a jugé que l'offre de Microsoft sous-évalue nettement Yahoo!, qu'il s'agisse de notre marque, de notre audience mondiale, de nos investissement massifs récemment faits dans des plates-formes publicitaires et dans la croissance future".
La direction de Yahoo! "a conclu de manière unanime que cette proposition n'est pas dans le meilleur intérêt du groupe ni de celui de nos actionnaires", a affirmé le groupe dans un communiqué. L'offre de Microsoft serait la plus grosse opération de fusion-acquisition jamais réalisée dans le secteur. Et avec un prix de 31 dollars par action, le leader mondial du logiciel offre une prime de 62% par rapport au cours de Bourse de Yahoo! la veille de l'annonce de Microsoft, le 1er février. Le projet aurait marqué l'union historique entre l'icône mondiale de l'informatique et un pilier du web, né en 1994 et resté longtemps le site internet plus populaire du monde, avant d'être dépassé par Google.
A New York, l'action Yahoo! prenait 0,89% à 29,45 dollars et celle de Microsoft perdait 1,93% à 28,00 dollars à 15H35 GMT, tandis que les analystes étudiaient les suites possibles: une offre réévaluée côté Microsoft ou une alliance défensive nouée in extremis entre Yahoo! avec un tiers. Elément penchant en faveur de rebondissements sur ce dossier: le côté évasif de la déclaration de Yahoo!. Le groupe a indiqué "examiner continuellement toutes les options stratégiques dans un contexte de changement rapide de l'environnement de notre industrie".
"Si Yahoo! devait accepter une offre de rachat de la part de Microsoft, cela semble assez improbable que le groupe accepte une offre initiale", relève Jordan Rohan, de RBC Capital, qui parie sur la volonté de Yahoo! de faire monter les prix. Yahoo! refuserait de considérer toute offre inférieure à 40 dollars par action, d'après la presse. Concernant une éventuelle offre améliorée chez Microsoft, rien n'était clair lundi quant à la position de ce dernier. Jusqu'ici, la direction de Microsoft s'est bornée à déclarer que son offre est "généreuse", et a exprimé sa volonté de boucler rapidement un accord avec Yahoo! pour former une entité qui rivaliserait avec le leader mondial de l'internet, Google.
Pour Patrick O'Hare, analyste de Briefing.com, "personne n'imagine que Microsoft tourne les talons à ce stade", et "l'attente d'une offre améliorée est la raison pour laquelle l'action Yahoo! grimpe aujourd'hui". Quant au scénario d'un "chevalier blanc" venant bâtir une alliance défensive avec Yahoo!, le suspens reste entier. Selon le quotidien britannique Times, Yahoo! chercherait à reprendre les discussions avec le portail internet AOL (groupe Time Warner) en vue d'une possible fusion. Les deux groupes avaient dans le passé envisagé un rapprochement, mais les discussions, qui s'étaient tenues dans un tout autre contexte, avaient capoté. Le nom d'AOL vient s'ajouter à d'autres candidats potentiels, après celui du groupe de médias Disney et surtout celui de Google, pour un partenariat. Google s'est déjà insurgé contre l'offre de Microsoft, accusant ce dernier de vouloir étendre sa domination de l'informatique à internet.
Google se lance dans la sécurisation du courrier électronique des entreprises - par elabweb le 07/02/2008 00:56
Le moteur de recherche intègre les solutions de sécurisation de Postini (racheté en 2007), à sa plate-forme de service en ligne Google Apps. Des solutions pour filtrer les spams et logiciels malveillants et sécuriser les messageries en entreprises.
Google propose à ses utilisateurs professionnels de souscrire à des services de sécurisation des messageries électroniques. Le moteur de recherche s'appuie sur la technologie développée par Postini, une société qu'il a rachetée en juin 2007 pour 625 millions de dollars.
Ces nouveaux services sont intégrés à la plate-forme payante Google Apps, qui comprend entre autres une messagerie mail (Gmail), une messagerie instantanée (Google Talk), une application tableur et traitement de textes, et une page personnalisée. Ce package vise en priorité les entreprises et les organisations.
Mais Google souligne que les solutions technologiques de Postini peuvent être déployées, même si l'entreprise n'utilise pas Gmail comme client de messagerie.
Le moteur de recherche propose ainsi un service de filtrage de spams et de logiciels malveillants pour 3 dollars par an et par utilisateur ; une solution de filtrage de messages, avec une détection de virus améliorée, un système de gestion des contenus et du support pour empêcher les fuites par e-mail pour 12 dollars par an et par utilisateur.
Contrer les agissements illégaux de certains employés
Enfin, une dernière solution reprend toutes ces fonctionnalités, avec en plus un an d'archivage des données pour permettre aux sociétés de se mettre en conformité avec les législations sur la rétention des données. Une solution facturée 25 dollars par an et par utilisateur.
Cette dernière offre vise en particulier les directeurs informatiques qui s'inquiètent des activités illégales de leurs employés, comme le téléchargement de contenus sous copyright ou la fuite d'informations confidentielles via les e-mails, explique à CNET News.com Sundar Raghavan, directeur produit chez Google.
Selon lui, ces services permettent de retrouver des informations qui sont cachées dans les bases de données des sociétés et dans leurs systèmes d'e-mails, d'agir sur ces informations, et surtout d'en garantir la sécurité.
Contacté par ZDNet.fr, Google France n'a pas été en mesure de nous dire quand et à quel prix ces solutions seront disponibles en Europe.
Source: zdnet.fr
TIC: la fracture numérique reste 'importante', selon la CNUCED - par elabweb le 07/02/2008 00:55
PARIS (France)- Le représentant de la CNUCED, Angel Gonzalez-Sanz, a souligné, mardi à Paris, que la fracture numérique "reste importante, voire grave", en dépit du développement "notable" enregistré de la part des pays en développement. Présentant le rapport 2007-2008 de la CNUCED sur l'économie de l'information intitulé "Science et technologie pour le développement: le nouveau paradigme des TIC", M. Gonzalez-Sanz, chargé du développement des capacités dans le domaine des TIC, a longuement mis en exergue, au cours d'une conférence de presse, la nécessité d'une meilleure acquisition, circulation et partage des connaissances à travers le monde, partant, selon lui, du principe que "la connaissance est un facteur de croissance".
Source: aps.dz
2009 pour le téléphone fixe - par elabweb le 04/02/2008 08:33
Le ministère des postes et TIC vient de fixer la fin du premier semestre 2009 pour le passage à la numérotation à 10 chiffres dans la téléphonie fixe, indiquent des sources concordantes. A rappeler que le secteur de la téléphonie mobile passera à la nouvelle numérotation dès ce 22 février.
Microsoft veut mettre la main sur Yahoo ! - par elabweb le 04/02/2008 07:50
Microsoft veut mettre la main sur Yahoo !
Le groupe américain Microsoft a présenté une offre de 44,6 milliards de dollars pour racheter le spécialiste de l’internet Yahoo, ce qui leur permettrait de mieux concurrencer Google.
Un tel rapprochement constituerait la plus grosse opération dans le secteur depuis la fusion Time Warner-AOL en 2001, qui a depuis été un échec, notamment pour des raisons de différences de cultures d’entreprises.Yahoo a déclaré que son conseil d’administration allait étudier rapidement cette offre et agir au mieux pour ses actionnaires. Les spéculations allaient bon train depuis au moins un an sur un tel projet de rapprochement, nombre d’investisseurs jugeant logique une alliance Microsoft-Yahoo face à la montée en puissance ininterrompue de Google. Le cabinet spécialisé comScore estime que Google détient 77% du marché des moteurs de recherche sur Internet, contre 16% pour Yahoo et 3,7% pour Microsoft. Mais au-delà des moteurs de recherche, c’est évidemment le marché de la publicité qui motive les grandes manœuvres stratégiques dans le secteur. Microsoft estime lui-même que le chiffre d’affaires de la publicité en ligne devrait atteindre près de 80 milliards de dollars d’ici 2010, contre plus de 40 milliards en 2007. Mais le groupe souligne aussi que ce marché est « de plus en plus dominé par un seul acteur », une référence transparente à Google. Yahoo regroupe plus de 500 millions de visites par mois, avec notamment Yahoo Mail, premier service de courrier électronique grand public mondial. Mais le groupe perd des parts de marché face à Google. Le groupe a annoncé jeudi dernier que son président non-exécutif, Terry Semel, quittait le conseil d’administration, ce qui rompt les liens officiels de Yahoo avec son ancien PDG. Semel, à qui l’on fait crédit d’avoir donné un second souffle au groupe, avant de perdre la main, avait quitté son poste de PDG en juin. Yahoo s’est laissé distancer ces derniers temps dans la publicité par Google et par l’émergence de sites communautaires comme Facebook et MySpace. « Nous avons le plus grand respect pour Yahoo et, ensemble, nous pouvons offrir aux consommateurs, aux éditeurs et aux annonceurs une gamme de solutions encore plus attractive tout en renforçant notre position sur le marché des services en ligne », déclare dans un communiqué Steve Ballmer, le directeur général de Microsoft. Microsoft précise avoir identifié quatre domaines susceptibles de générer des synergies qu’il estime à un milliard de dollars par an au moins pour le nouvel ensemble. Le groupe fondé par Bill Gates se dit prêt à coopérer « étroitement » avec la direction et le conseil d’administration de Yahoo. Il assure que l’opération obtiendra toutes les autorisations réglementaires nécessaires. Paul Mendelsohn, stratège investissement chez Windham Financial Services, estime qu’une telle opération fait sens. « Yahoo a bien du mal à concurrencer Google », explique-t-il. « Pour ce qui est de savoir si le prix proposé est bon, je ne vois personne faire une offre supérieure à celle de Microsoft. » Tim Smalls, chez le courtier Execution LLC, est moins enthousiaste quant aux bénéfices d’un tel rachat : « C’est choquant ! La prime me semble exorbitante dans un secteur en baisse. Je ne vois pas comment les synergies entre Microsoft et Yahoo vont leur permettre de lutter contre Google. » Certains observateurs soulignent aussi les différences entre la culture d’entreprise de Yahoo et celle de Microsoft, et ils font valoir leurs nombreux doublons, notamment dans la messagerie instantanée ou la publicité. « Je ne serai par surpris si cette offre était relevée à l’avenir », estime de son côté Mark May, analyste chez Needham & Co. « Je pense qu’il y a des groupes comme Comcast ou Viacom et d’autres qui doivent encore se positionner face à l’émergence des médias en ligne et qui ne l’ont pas fait. Il y a donc clairement là d’autres sociétés stratégiques. »
Samir Ben Djafar
Sites web des banques - par elabweb le 22/01/2008 09:01
La BEA tisse son réseau
La Banque extérieure d’Algérie (BEA) a lancé un nouveau site Internet (www.bea.dz).
Dans un communiqué de presse, il est précisé : « La mise en ligne de ce site s’inscrit dans le cadre du renforcement et de la modernisation de nos outils d’information et de communication en faveur de notre clientèle et du grand public, notamment à travers la rubrique de contact avec la hiérarchie de la banque. » La même source explique qu’à travers ce lancement, la banque « entend s’inscrire pleinement dans la dynamique d’adoption des nouvelles technologies de l’information et de la communication mises au service du client ». Conçu pour être évolutif, le site intègre déjà une banque de données relative à l’ensemble des produits bancaires (destinées aux entreprises et aux particuliers) et aux conditions d’accès à ces derniers. Le site donne également la possibilité de prendre connaissance de l’actualité et des événements internes et externes. Il éclaire sur certaines orientations stratégiques de la BEA qui entend offrir à sa clientèle une qualité de service à la hauteur de ses attentes et demeurer ainsi « une banque de référence orientée au service du développement de l’économie nationale ».
Avec ce site web, la BEA veut proposer un vrai service et non une coquille vide. Nombre de sociétés algériennes foncent tête baissée sur la voie du Web. Pour faire comme les autres. Et n’en tirent parfois aucun bénéfice réel.Un site Web est un projet à part entière qu’il faut mener avec méthode : définir un besoin, estimer un budget, adopter des règles de rédaction du contenu, soigner la clarté des parcours de navigation et trouver un hébergement adapté pour les performances et la sécurité. Le site donne une image de modernité à l’opérateur bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que le secteur évolue au rythme des NTIC.
De plus en plus de consommateurs dans le monde ont désormais le réflexe Internet avant de prendre une décision d’achat ou d’investissement. Et le caractère particulièrement impliquant du choix d’un produit bancaire ou financier justifie doublement que les banques soignent leurs informations en ligne. Les banques cherchent à faire d’Internet un canal de distribution à part entière et une source de croissance.
K. B.
La problématique de développement et ses relations avec l’information et la communication locales, n - par elabweb le 22/01/2008 08:41
Il est lancé par l’agence multimédia Djazia
El-Manar, le guide des 48 wilayas
Sous le thème La problématique de développement et ses relations avec l’information et la communication locales, nationales et internationales, le directeur général de l’agence Multimédia, Haarache Maâchou, et son assistante, Bourouis Halima, ont présenté le guide orange des 48 wilayas intitulé El-Manar. Dans sa conférence de présentation qui a eu lieu à l’hôtel Mercure, le directeur a expliqué que c’est par ambition de vulgariser l’information économique locale et la rendre accessible au plus grand nombre. Dans cette perspective El-Manar se présente comme une radioscopie et un instrument de promotion des activités tant économiques que commerciales. Dans un contexte de mondialisation, il participe de la volonté d’offrir à tous les intervenants dans la sphère économique un outil d’information à la mesure des défis imposés par l’économie de marché et la bonne gouvernance prônée par le président de la République.
Apple lance un ordinateur portable ultra-mince - par elabweb le 21/01/2008 09:04
Le MacBook Air, qui commencera à être commercialisé dans deux semaines, a une épaisseur de 0,4 cm sur le devant de l’appareil, et de 1,94 cm à l’arrière. D’un poids de 1,3 kg, sa batterie a une autonomie de 5 heures.
Dans le style théâtral qu’il affectionne, Steve Jobs a sorti l’ordinateur d’une enveloppe brune de courrier interne et lancé, lors du salon Macworld Expo à San Francisco qui s’est tenu du 14 au 18 janvier : « C’est le notebook (tout petit ordinateur portable) le plus mince du monde. » Il a assuré l’avoir comparé avec tous les portables de faible épaisseur existants. Pour parvenir à ce record de minceur, le numéro un mondial des semi-conducteurs, l’américain Intel a réduit de 60% la taille de son processeur à double noyau (dual core) le plus rapide. « Quand nous avons lancé ce projet, nous ne pensions pas que ce serait possible », a reconnu le PDG d’Intel, Paul Otellini. « Le MacBook Air pourrait doper le marché des ordinateurs ultra-portables », estime Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies, relevant que les portables représentent déjà la moitié des ventes d’ordinateurs Macintosh. « Il pourrait aussi attirer les utilisateurs de PC », selon lui. De son côté, l’association de défense de l’environnement Greenpeace a salué vendredi dernier « les premiers pas vers l’éco-conception » d’Apple, qui sort avec son MacBook Air un ordinateur sans arsenic ni mercure. Greenpeace, qui avait épinglé la marque à la pomme lors de la sortie de l’I-phone, relève qu’avec son dernier-né elle, va « au-delà des exigences de la réglementation européenne » sur les substances dangereuses et « place la barre très haut pour les industries concurrentes », selon un communiqué. L’ONG note également l’absence de retardateurs de flammes bromés et de plastique chloré de type PVC dans le câblage de la carte-mère, « ce qui constitue une grande avancée, même si la marque Sony l’a déjà réalisé sur plusieurs modèles de sa gamme d’ordinateurs portables », rappelle-t-elle. « Apple est sur la bonne voie », estime Yannick Vicaire, responsable des campagnes Toxiques de Greenpeace, cité dans le communiqué. A la suite d’une campagne de 50 000 « cyberactivistes », rappelle Greenpeace, Apple s’était engagé à éliminer de ses produits d’ici à fin 2008, les substances mentionnées nuisibles à l’environnement et à la santé.
Le projet de la e-gouvernance à plus de 80% de sa maturation - par elabweb le 21/01/2008 09:00
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Boudjemaâ Haïchour, a annoncé que le cabinet français chargé de l’étude sur l’introduction de la troisième génération du mobile sur le marché algérien rendra son expertise au début du mois de février prochain. Interrogé sur la possibilité d’ouvrir l’exploitation de cette technologie à d’autres opérateurs, en dehors des trois acteurs actuels de la téléphonie mobile, il affirmera que cette question sera tranchée une fois les résultats de l’expertise du bureau français seront prêts, tout comme la possibilité d’enjamber la 3G vers d’autres technologies plus innovantes.
Sur le projet de l’e-gouvernance, devant relier les différents départements ministériels et les institutions d’Etat, le ministre informera que l’opération que chapeaute l’e-commission, présidée par le chef du gouvernement, poursuit sa progression et a atteint un taux de maturation appréciable de 80%. L’ouverture du capital d’Algérie Télécom, qui constitue le dernier virage de la série des réformes du secteur engagées depuis l’an 2000, a été également longuement abordée par les journalistes qui se sont interrogés sur la nécessité de la démarche, d’autant que l’entreprise enregistre une embellie financière. Rappelant que le dossier a été relancé, il y a deux mois, sur instruction du chef du gouvernement et devra aboutir durant ce premier semestre 2008, il précisera aussi qu’il ne s’agit pas de privatiser l’entreprise mais de trouver plutôt un partenaire stratégique à même d’apporter au groupe une meilleure maîtrise des technologies et de le rendre plus compétitif. «Dans tous les cas, la majorité du capital d’Algérie Télécom restera en possession de l’Algérie», devra-t-il ajouter. Et c’est dans cette perspective de «booster» les entreprises publiques des TIC et de les rendre plus performantes sur le plan marketing et management que M. Haïchour inscrit le dernier mouvement «tout à fait ordinaire» qui a concerné les dirigeants du groupe et de ses filiales. L’accès haut débit au réseau internet et le déploiement des technologies Wifi et Wimax actuellement en phase d’organisation de la répartition des fréquences constituent l’autre défi du département de M. Haïchour qui aspire à offrir de l’ADSL aux 1.541 communes algériennes durant ce premier trimestre de 2008. A ce sujet, il notera qu’il a recommandé aux providers de faire un effort sur les tarifs d’accès au haut débit. A une question faisant état de l’échec de l’opération Ousratic visant à doter les familles algériennes en micro-ordinateur, le ministre fera savoir que l’opération poursuit normalement son cours et devrait donner de meilleurs résultats d’ici à 2010.
En matière de lutte contre la cybercriminalité, il indiquera qu’une législation est en cours d’élaboration et en parallèle l’Autorité de régulation a instruit les opérateurs de la téléphonie mobile pour procéder à l’identification de leurs clients, afin d’éviter les actes criminels commandés par des téléphone portables. Le Cyberparc de Sidi Abdellah, constituant le village algérien intelligent, devrait livrer, par ailleurs, une partie de ses bâtiments cette année, dont l’incubateur attendu en juin prochain.
Au volet de l’activité postale, le ministre a mis l’accent, hier, sur le renforcement des mesures de contrôle, avec notamment la multiplication du nombre des contrôleurs passé de 70 en 1999 à 400 actuellement, ce qui a réduit, de son avis, de 50% les détournements qui constituent 0,000013% de la totalité des fonds manipulés par la poste.
Plus lion, il ajoutera que grâce aux opérations de contrôle périodique et inopiné plus de 50% de l’argent détourné sont récupérés.
S’agissant du problème de manque de liquidité au niveau de certains bureaux postaux, notamment durant la saison estivale, il dira que la responsabilité n’incombe pas à la poste, mais plutôt à la Banque centrale qui ne fournissait pas les sommes exactes demandées.
L’autre problème lié à la rareté des carnets de chèques que le ministre explique par le souci de vulgariser le système de retrait automatique, il précisera pour les clients encore attachés au retrait traditionnel par chèque qu’un formulaire unique de retrait est disponible dans tous les bureaux de poste.
Les TIC dans l’entreprise algérienne - par elabweb le 10/01/2008 06:17
Pour quel objectif et quelle réalité ?
L’état global du marché mondial au début de ce siècle est marqué par une forte mutation d’une économie d’échelle vers une économie d’envergure caractérisée par une compétition intensive, un marché imprévisible turbulent et segmenté, des produits et des systèmes de production ayant un cycle de vie de plus en plus court et enfin, une valeur ajoutée générée plus par la connaissance que par la matière première.
Dans cet environnement mutant et changeant, la compétitivité de l’entreprise dépend de plus en plus de sa capacité d’anticipation et d’adaptation. L’intelligence économique est de fait une bouée de sauvetage indispensable pour se maintenir permettant à l’entreprise de détecter et d’interpréter des signes d’alerte précoces concernant les changements, les mutations ou tout simplement les ruptures pouvant se produire dans l’évolution de son environnement social, économique, culturel et technologique.
Pour s’insérer dans le marché, les entreprises de production et de services, privées ou publiques, sont appelées à entamer immédiatement, simultanément et en continu l’amélioration de la valeur de leurs produits, de leurs systèmes de production, de leurs services et de leur gestion en vue d’offrir le meilleur rapport qualité/prix dans les meilleurs délais. Les TIC (technologies de l’information et de la communication) sont soutenues par un discours très optimiste quant à leurs potentialités techniques et aux améliorations de gestion qu’elles peuvent procurer aux entreprises. Dans le cadre du développement des PME et l’ouverture du marché algérien à l’international, cette promesse technologique suscite un grand intérêt. Il semblerait en effet possible de combler certaines carences des PME algériennes : difficile connaissance des marchés intérieurs et extérieurs, collecte de l’information onéreuse, mauvaise connaissance en techniques de gestion, impossibilité de se déplacer de façon fréquente sur les marchés intérieurs et extérieurs par manque de moyens humains et financiers. Par ailleurs, les nouvelles technologies de l’information et de la communication de par, le monde ont permis aux entreprises d’entrevoir de nouvelles techniques de gestion et un gain de productivité.
Cependant, même si ce gain de productivité n’est toujours pas facile à mesurer, le paradoxe de Solow disant : « Les outils informatiques sont présents dans toutes les entreprises, mais pas dans les statistiques », comme toute nouvelle technologie, il lui faut un temps d’adaptation et de diffusion pour ensuite pouvoir mesurer son impact sur la productivité marginale de l’entreprise. Les « petites et moyennes entreprises » occupent une place de plus en plus importante au sein du tissu industriel algérien, notamment par le biais de l’élargissement du secteur industriel privé et l’arrivée en masse, ces dernières années, d’entreprises étrangères par le biais des IDE. Cette réalité impose à ces entreprises de se préoccuper davantage de l’utilisation des TIC dans son management quotidien, afin de bénéficier de leurs bienfaits, et surtout s’aligner sur la concurrence nationale et internationale pour une meilleure productivité et réactivité aux changements du marché.
Une avancée considérable menée par les autorités concernées ces dernières années pour la diffusion et la démocratisation des nouvelles technologies sur l’ensemble des activités économiques. A titre d’information, nous pouvons citer quelques exemples sur les projets lancés ces dernières années, 62% investis dans les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication), ce qui représente 6,451 milliards de dinars, 2 520 milliards de dinars dans les technologies, spatiales etc. Cependant, le secteur des TIC en Algérie reste insuffisant, et je dirais même dérisoire par rapport aux besoins du marché, il ne représente que 1% du PIB. Pour atteindre cet objectif, il s’agit, d’une part, d’entreprendre un ensemble d’actions multidimensionnelles relatives au parachèvement du processus de réforme et de restructuration industrielle, l’organisation du marché du libre-échange à la recherche des partenaires économiques étrangers, l’adaptation du cadre intervention des exportateurs aux règles et pratiques du commerce international, à la réhabilitation de l’outil de production et, d’autre part, en recours à des stratégies manufacturières qui assureraient plus de flexibilité, plus de rapidité d’exécution, une plus grande sensibilité aux besoins du marché mondial et plus d’indépendance à l’égard des économies d’échelle.
Ce deuxième aspect ne peut se concrétiser que par une réorganisation des activités de production, en tenant compte des contraintes de flexibilité, de rapidité, de qualité et de sécurité imposées par les conditions du marché. Quel serait l’impact de l’insertion des TIC sur le processus de modernisation et de redynamisation de nos entreprises ? Améliorer les performances : l’introduction des technologies de l’information et de la communication au sein des opérateurs économique, permettrait les échanges rapides d’information. Et, l’utilisation optimale de l’outil informatique dans la gestion de l’entreprise permet de réduire les coûts et les délais de production ou de logistique. Les TIC apporteront donc, un gain de temps et de productivité. Elles permettront d’augmenter la réactivité dans toutes les activités de l’entreprise : commerciale, achats, approvisionnements, services administratifs, fabrication, expédition, études ; s’aligner et rivaliser face à la concurrence ; elles permettent aussi de rivaliser grâce à la connaissance et de ne pas se laisser distancer par la concurrence.
En effet, les TIC, par l’échange rapide de gros volumes d’informations, permettent de rester toujours bien informées sur ce que fait la concurrence et même de la devancer, grâce, par exemple, à l’améliorations des échanges d’information avec les partenaires extérieurs : c’est le concept de l’entreprise communicante ou étendue. Se faire connaître : je commencerai bien ce point par cette belle expression : « N’attendez pas qu’on vous cherche, faites de telle sorte que l’on vous trouve. »
Les prodiges de ce merveilleux outil qu’est Internet ,en particulier et les TIC, en général, permettent à l’entreprise de se faire connaître et d’opérer même au-delà des frontières du pays. Son image de marque peut en être grandement améliorée. On peut communiquer en temps réel des informations avec le monde entier et, élément non négociable, on peut toucher des clients potentiels que l’on ne pourrait pas atteindre autrement : on augmente la part de marché de l’entreprise, on fidélise les clients et on leur offre de nouveaux services. Cette possibilité et cette capacité virtuelle à être présent sur les marchés mondiaux simultanément et d’une manière interactive ouvrent à l’entreprise algérienne d’autres horizons, une possibilité d’atteindre une clientèle plus importante de par le monde.
Cette vitrine est aussi une possibilité incontournable et inespérée de s’aligner aux côtés des entreprises étrangères de différentes nationalités. La question qui se pose maintenant est : « Sommes-nous en mesure de nous adapter à ces nouvelles réalités citées plus haut ? » Car aujourd’hui, la concurrence ne se fait pas seulement par le rapport qualité/prix, mais par la capacité à capter, analyser et transformer l’information en facteur déterminant dans la productivité. J’ouvre un autre débat pertinent et primordial, celui de l’intelligence économique ! Qu’en est-il en Algérie ?
L’auteur est Chercheur au CREAD, a_nafa2000@yahoo.fr
Aziz Nafa
Lutte contre la cybercriminalité - par elabweb le 08/01/2008 08:51
Les spécialistes d’internet souhaitent voir la mise en place d’un dispositif législatif pour faire face aux dangers de la cybercriminalité.
S’il est vrai que c’est un outil de développement, il n’en demeure pas moins qu’internet est devenu aussi un territoire clé de toutes formes de risques. Des spécialistes de l’internet n’ont pas manqué de soulever, hier au cours d’une table ronde animée au forum d’El Moudjahid, les dangers de la cybercriminalité sur les internautes et l’absence de mesures de sécurité et de législation. D’emblée, ces professionnels de l’internet ont affirmé lors de cette conférence sous le thème « Avancée technologique ou instrument d’atteinte aux libertés ? » leur opposition à « toute sorte d’enfermement », préconisant « la position offensive ». Cela sans omettre de mettre l’accent sur l’amélioration du contenu. « Il y a nécessité d’aller vers la création d’un cadre organisationnel technique et juridique doté de moyens d’action et de réflexion pour assurer la sécurité des sites », préconise Mebarek Bouakba, ingénieur télécoms à Saadnet. Ce fournisseur internet souhaite la révision du dispositif législatif et la mise en place d’un encadrement organisationnel de réflexion permanent. Mais aussi former des juristes et des magistrats internet. A ses yeux, « l’Algérie doit disposer de ses spécialistes dans les domaines de sécurité transactionnelle commerciale ». Un souhait que partagent les autres spécialistes présents à cette table ronde qui n’ont pas manqué de relever la difficulté d’instaurer une supervision gouvernementale sur la gestion des noms de domaine. Le commissaire de police chargé des enquêtes économiques, Abdelkader Mostefaoui, n’ignore pas l’utilisation de l’internet par des réseaux terroristes, mais reconnaît que les enquêteurs sont toujours confrontés à des difficultés de contrôle de cette pratique. Cette difficulté se pose, selon lui, pour la recherche des indices et des traces de ces recruteurs, a-t-il indiqué, précisant que la majorité des sites à caractère terroriste sont hébergés à l’étranger. « Toutes les demandes faites à des pays étrangers concernant ces sites n’ont pas abouti car aucune réglementation ne contraint les hébergeurs à vérifier le contenu des sites », a-t-il affirmé. Pour contrer les dangers de l’internet sur l’individu, notamment sur les jeunes, M. Mostefaoui a souligné l’importance de susciter l’intérêt des parents et des enseignants, dans le cadre de l’école, pour les méthodes éprouvées de protection des mineurs sur internet. Les mêmes spécialistes ont souligné également l’absence de législation réglementant cette activité en Algérie, la méconnaissance de ses risques et l’absence de mesures de sécurité en la matière. « Il faut un cadre juridique auquel tous les acteurs doivent se soumettre », selon M. Mostefaoui. Pour sa part, le président de l’Association algérienne des fournisseurs de services internet, Younès Grar, PDG de General Computing Systems, a insisté sur l’importance de trouver un moyen de gérer les effets négatifs de l’internet en mettant en place le dispositif légal nécessaire. « Il faut penser sérieusement pour contrecarrer cette révolution électronique », a-t-il préconisé. Pour sa part, le PDG de l’Etablissement d’enseignement professionnel à distance (EEPAD), Nouari Harzellah, estime que l’internet en Algérie est mal exploité. Il estime à seulement près de 20% de son contenu qui est utilisé pour des recherches. Pour lui, « c’est le moment d’ouvrir un débat sérieux sur comment encourager l’internet et contrecarrer ses effets négatifs », regrettant que « les hébergements des sites web échappent à tout contrôle ». Mebarek Bouakba regrette par ailleurs la disparition de beaucoup de providers algériens « pour des raisons économiques car nous étions dans une situation de monopole absolu ».
Rabah Beldjenna
Micro-ordinateurs : Le chinois Lenovo veut vendre des PC - par elabweb le 07/01/2008 13:00
Le constructeur informatique chinois Lenovo a présenté ses premiers ordinateurs grand public aux Etats-Unis, poursuivant son développement dans un pays où il a fait son entrée en 2005 avec le rachat de l’activité PC d’IBM.
Ces portables destinés aux particuliers, présentés mercredi dernier aux Etats-Unis, sont commercialisés sous la marque IdeaPad, dérivée de la marque ThinkPad (gamme de portables issue du rachat d’IBM). Les trois modèles sont dotés de différentes fonctionnalités avancées. Ils peuvent reconnaître le visage de l’utilisateur, lui permettant ainsi d’ouvrir une session et d’utiliser différentes applications sans entrer de mot de passe. Ils sont également dotés d’applications multimédias permettant d’écouter de la musique, de visualiser les photos et les vidéos. Cette nouvelle gamme s’inscrit dans une vaste stratégie du fabricant chinois pour s’affirmer sur le marché des ordinateurs grand public, alors qu’il était jusqu’ici plutôt spécialisé dans les PC destinés aux entreprises. Les nouveaux portables seront aussi vendus en France, en Russie, en Afrique du Sud, en Inde, en Australie, à Singapour et en Malaisie. Lenovo doit faire face à la concurrence du taïwanais Acer qui commercialise des ordinateurs grand public aux Etats-Unis, en Asie et en Europe.Le constructeur taïwanais a notamment racheté l’américain Gateway en octobre de façon à déloger Lenovo de la 3e place mondiale des fabricants de PC. Lenovo, dont le chiffre d’affaires s’est élevé à 4,43 milliards de dollars (3,01 milliard d’euros) au troisième trimestre, commercialise déjà des ordinateurs grand public en Chine, en Inde et à Singapour mais reste cantonné sur le marché des entreprises aux Etats-Unis. Il compte donc, grâce à ces nouveaux produits, conquérir des parts de marché et améliorer la reconnaissance de sa marque. En effet, les portables sont généralement plus chers que des ordinateurs de bureau dotés des mêmes fonctionnalités et leur marge bénéficiaire est supérieure. Ils représentent également le segment du marché qui connaît la plus forte croissance, avec une progression des ventes en volume estimée à 21% en 2007 contre un déclin de 3% des ventes d’ordinateurs de bureau prévu pour la même période, selon le cabinet d’études IDC. Alors que le Consumer Electronics Show (CES) s’ouvrira la semaine prochaine à Las Vegas, Lenovo n’est pas le seul fabricant à lancer de nouveaux portables. Les taïwanais Acer et Asustek Computer présenteront aussi de nouveaux modèles lors de ce salon. Les trois fabricants asiatiques tentent tous d’améliorer la reconnaissance de leur marque face à la suprématie des fabricants de PC américains Hewlett-Packard, Dell et Apple. Asus Computer International, filiale américaine du taïwanais Asustek, présentera à cette occasion un portable grand public doté d’une capacité de stockage de 1 teraoctet, soit 1000 gigaoctets, décrit comme une première par son fabricant. Hewlett-Packard, le premier fabricant mondial de PC, compte lui aussi présenter de nouveaux modèles destinés aux particuliers lors du CES. Figurent notamment sur la liste des nouveautés que HP compte dévoiler lors de ce salon un portable léger doté d’un écran rotatif et un ordinateur de bureau très puissant fonctionnant également comme une télévision.